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Les 2 nouvelles porte paroles du NPA....

Publie le vendredi 15 avril 2011 par Open-Publishing
6 commentaires

Myriam Martin (le bras en écharpe...)

Née le 17 mars 1968. Issue d’une famille ouvrière communiste et cégétiste, elle est la petite fille d’un combattant antifranquiste et membre des FTP dans l’Aude.

Elle s’engage en politique en 1986 après la grève contre le projet Devaquet. Elle rejoint d’abord les JCR puis la LCR à Toulouse participant à tous les combats de l’époque : syndicalisme étudiant, antiracisme, mobilisation anti FN, participation aux mouvements de solidarité avec la Palestine et le Nicaragua sandiniste. Elle y effectuera, en 1989, un séjour d’un mois au sein d’une brigade internationaliste.

Afin de payer ses études elle travaille comme pionne dans l’Education nationale. Puis, elle devient prof de lettres en lycée professionnel. Elle est adhérente de la CGT depuis 1998 et y prendra des responsabilités tant nationale qu’académique. Elle est actuellement déléguée CGT au sein de son établissement.

Au delà du combat permanent contre la casse du service public d’éducation, elle s’engage avec détermination dans le soutien aux élèves sans papiers. Cela lui vaudra une interpellation à l’aéroport de Toulouse lors de l’expulsion d’un père de famille dont elle était la marraine en 2008.

Elle représente la LCR lors d’échéances électorales, devenant porte parole locale en 2002. En 2008 elle est candidate et tête de liste de la liste » Debout, la gauche qui ne renonce pas » à Toulouse, coalition unitaire LCR, les Motivés et des antilibéraux toulousains. Cette liste passera la barre des 5%.

Début 2009 elle participe activement à la fondation du NPA et est élue à sa direction nationale. Elle conduit la liste aux élections européennes dans le Sud Ouest où le NPA obtient 5, 76%. Elle conduit la liste du NPA aux élections régionales de 2010, liste qui fait 2, 89%.

Christine Poupin

Née le 9 septembre 1957.

Elle commence à militer à Nantes au milieu des années 1970, au lycée puis à l’université, dans les grèves générales contre les réformes successives. Dans ces années, elle rejoint le mouvement des femmes, pour le droit à l’avortement puis contre le viol et les violences conjugales. Elle est toujours militante au Collectif pour les droits des femmes. Elle s’engage aussi contre le nucléaire.

Arrivée à Rouen en 1989, embauchée dans une filiale du groupe Total en 92, elle devient militante à la CGT, dans une usine qui voit se succéder les plans de licenciements, les fermetures d’ateliers… et aussi l’intensification du travail. Elle s’investit au CHSCT dont elle devient la secrétaire.

Lors de l’explosion de l’usine jumelle à Toulouse le 21 septembre 2001, elle se bat pour le lien entre les victimes de l’intérieur et celles de l’extérieur, toutes victimes du capitalisme.

Elle est particulièrement investie dans les questions de santé au travail, contre les accidents du travail.

Entrée à la LCR en 1980, elle est élue conseillère municipales en mars 2008 à Sotteville-lès-Rouen sur une liste d’opposition de gauche à la municipalité PS-PCF : « Sotteville à Gauche Vraiment » (LCR, Alternatifs, militante-es syndicaux et associatifs, 14, 6 %, 2 élu-es). Elle vient de démissionner afin de permettre, comme convenu, la rotation des élu-e-s.

Début 2009, elle participe à la fondation du NPA et est élue à sa direction nationale. Elle conduit la liste aux élections européennes dans le Nord-Ouest où le NPA enregistre son meilleur résultat, avec 5, 80%.Aux élections régionales de 2010, elle conduit la liste du NPA qui fait 2, 56%.

http://www.npa2009.org/content/les-2-nouvelles-porte-paroles-du-npa

Messages

  • Sympas mais j’aurai préféré que la parité soit respecté...

  • Elle est née en 68. Donc son père est né en 48 ou 38 ou 28 au maximum.
    Antifranquiste ? Il avait 18 ans en 1936. Au maximum. Plus surement, il n’était pas né, mais Franco pas mort, il est vrai.
    Militant FTP ? Il est né après la guerre 40-44, ou alors il était bambin.
    Et en 68, il faisait un enfant, sa fille. Très bien.
    Mais rien de plus à signaler en 68 ?
    Bizarre, ça.

    Bon, si j’étais sa fille, je dirais à mon père de ne pas la ramener avec ses stigmates d’ancien combattant. Point. Mais c’est trop tard.

    • Il est crit qu’elle est la petite fille... ce qui veut dire qu’il s’agit de son grand-père pas de son père. Plutôt que de calculer frénétiquement tu aurais mieux fait de bien lire...

    • Il est crit qu’elle est la petite fille... ce qui veut dire qu’il s’agit de son grand-père pas de son père. Plutôt que de calculer frénétiquement tu aurais mieux fait de bien lire...

      C’est quelque chose de très courant... en particulier de la part de certains (suivez mon regard) lorsqu’il s’agit du NPA : en préalable on déteste (on a été formé à ça), on veut dézinguer, puis on lit l’article avec le souci de trouver le "truc", l’expression ambiguë, qui permettra de faire du rentre dedans, ou plutôt de s’imaginer faire du rentre dedans (et le pire : en toute sincérité, et en se croyant malin...). On est tous plus ou moins susceptible de ce genre de fonctionnement. Comme le chante l’autre, "c’est comme ça..."

      Chico

    • non CHICO

      Pas de parano

       :)
      Un con reste un con, "antigauchiste" ou pas !

      Moi je vous ai cassé des banderoles, dans les manifs quand j’étais sectaire, stalinien et que les trotskystes de la Ligaléon eux étaient des agneaux intelligents( avec krivine on s’est raconté ça en se marrant) mais j’aurais jamais sorti une connerie d’âge !

      Because. ;

      UN : ma mère ayant été enceinte à 17 ans et demi du génie de
      la Gironde, ça ne m’empêche pas de rappeler son rôle dans la Résistance alors que je suis né en 1939.!!

      DEUX :
      .
      En plus, comme il faut que je me distingue dans les trucs hors norme.., j’ai eu des jumeaux à mon troisième mariage(..depuis suivi d’un troisième divorce) alors que j’avais 52 ans...et mon ex -dossard n°3 de l’équipe"officielle"..-29 balais !

      T’imagine un peu :

      Si mon petit fils qui a un an de plus que mes derniers enfants (because sa maman, donc ma fille ainée a vu le jour en 65) participe un jour a u BP du Parti révolutionnaire que je vais créer avec Copas., fait .rentrer au Comité Central ses oncle et tante..plus jeunes que lui.(est ce que tu suis ou faut il que tu cherches une explication dans le Programme de transition ?)...

       :))

      ....................du coup le copain qui mène sur B.C. l’enquête sur l’ADN des nouvelles porte paroles duNPA..il va être totalement paumé !

      c’est pas méchant de sa part :

      Il est surement formaté pécéien classique :

      Pour la familleLaurent, là il a compris :

      Paul, le père avait des couilles.et était devenu dirigeant d’un Parti ou t’avais quand m^me de la concurrence pour devenir célèbre..

      Le fils......chutt.!

      .on va me traiter d’antifrontisme de gôôche primaire !

      Bon dimanche

      AC

    • AC,

      oh là...

      tu ne t’en tireras pas comme ça...

      A une autre époque si tu avais eu le mauvais gout de diverger plus tôt on aurait ressorti tout ça pour montrer ton aspect petit-bourgeois libidineux...

      j’avais bien été accusé d’être passé du côté de la réaction parce qu’on m’avait vu avec une chemise rose. De la part de gus qui se faisaient niquer à la rose rancie c’était gouteux.

      Bon il y a prescription.

      Bien que souvent utilisé par diverses races de trotskystes, j’aime bien le terme de Parti Révolutionnaire des travailleurs que dans 20 ans notre métier on fera...

      Ach...

      j’en reviens aux femmes d’acier du NPA. On peut se passer des quartiers de naissance qui sont brandis là pour fesser les joues des résistants de la 25eme heure , mais ne permettent pas de savoir si de bons géniteurs font forcement des pur-sangs de la révolution.

      Bon, ceci étant dit, le parti c’est comme la légion, pas comme la noblesse, on ne recherche pas le sang pur qui n’a jamais failli , ni le pédigrée ...

      Mais bon, c’est un peu l’aspect dommageable de ce genre d’exercice...

      La génération de 68 dans ce courant disparait dans le rétro-viseur. Et la relève est socialement très différente.