Les coups de boutoir, il faut les mettre maintenant.

Le capitalisme est blessé mais pas mort. Telle une bete, c’est à ce moment qu’elle est la plus vulnérable mais la plus dangereuse et si elle en ressort elle s’en trouvera renforcée. Il faut donc l’achever maintenant par une prise de conscience populaire mondiale. Il faut donc s’organiser pour que nos économies (les sous que nous avons déposé dans les banques) ne servent pas à recapitaliser les banques qui ont créé par spéculation des valeurs dont ils veulent se débarrasser au profit de nos économies qu’ils veulent accaparer.

D’abord pour nous ce serait la perte de nos économies dans les tonneaux de danaïdes du capitalisme mais ensuite cette spoliation permettrait, n’en doutons pas, que la bete se refasse un santé sur notre dos.

Il faut donc manifester partout pour augmenter nos salaires et faire basculer la bete blessée dans le précipice à grands coups de boutoir.

Il faut faire le tour de notre voisinage et faire adhérer les gens au PCF, leur faire lire l’huma, les encourager à faire grève, manifester, s’exprimer.

C’est urgent. C’est vital.

Pascal LAMY sur France Inter, exprimait le fait que le capitalisme est déjà pret à rebondir après qu’il aura recouvré la santé sur notre dos. Et on peut alors parier que les belles paroles se seront envolées compte tenu qu’ils auront identifié la faiblesse du monde social et identifié leur force. Les peuples subiraient alors l’oppression capitalise comme jamais.