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Mediator : l’administration savait tout dès 1995.

Publie le dimanche 10 avril 2011 par Open-Publishing
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Une note inédite d’octobre 1995 révèle que l’Agence du médicament savait dès le début que le Mediator était un anorexigène et que sa « sécurité d’emploi » faisait l’objet d’une surveillance par les centres de pharmacovigilance.

http://www.mediapart.fr/journal/france/080411/mediator-ladministration-savait-tout-des-1995

Messages

  • Faire du pognon et, on le sait très bien sinon que de l’auto-aveuglement ou de l’auto-persuasion, ou même le même désir coupable de vouloir à tous prix devenir, soi, riche, hyper-riche, supra-riche, est le but de ces malades affectifs qui marchent sur les gens (à l’image de ces gens qui se marchent dessus, ne soyons, là-encore, pas dupes) pour être +++, pour justifier par cette position sociale socialement admise qu’ils sont puissants, les c.ns alors qu’ils n’arrivent pas même à bander sans ces succès-damnés.

    Ici, comme partout ailleurs, nucléaire ou produits "phytosanitaires" SALVATEURS (comme quoi on n’a rien compris à ce qui se passe de vouloir toujours faire appel à ce qui SAUVE de sa propre bêtise), les moyens sont la justifications de ce vide qu’il faut combler et qu’il faudra combler, le malheur superfétatoire advenu, par des moyens PIRES que ceux qu’on voulait sauver. On retrouve dans la troisième génération, un produit chimique dans le sang du nouveau-né, produit qui devait sauver de telle ou telle maladie et qui pourrit la vie de cette troisième génération. On trouve encore du DDT dans le lait maternel, en certaines régions du monde. Mais combien cela a-t-il rapporté à ses promoteurs, inventeurs, protecteurs politiques !

    Il y a plus d’un demi-siècle qu’on dit que le progrès n’est PLUS technique, mais AFFECTIF, que l’on doit progresser dans ce fait dilatoire qui est que l’humain est un débile affectif dès lors qu’il est en collectivité, qu’il doit organiser sa vie sociale ENSEMBLE pour son BIEN.

    L’humain, sans aucun doute bon lorsqu’il est isolé, pris collectivement, doit savoir qu’il est nuisible à son genre et doit l’admettre, le reconnaître pour prendre des dispositions qui restreignent cette aptitude. L’humain tue, éventre, castre, circoncit, infibule, meurtrit, torture, maltraite par mille chemins divers, pourrit la Vie avec son progrès du profit ; il sait que cela doit cesser car cela l’incommode, mais il ne sait pas comment, il n’a toujours pas trouvé de solution à cette débilité et tout ce qu’il fait l’éloigne de trouver SA solution à SON problème.

    Ce n’est que le fait tout simple de l’accumulation de l’absence de solution qui apparaît de nos jours lorsque tout craque, tout apparaît, comme un gros furoncle (je sais, la comparaison est surannée...) qui pète, mais il pète grave !

    Pourquoi l’humain est-il si con ? Le résultat de sa vie est devant lui, son nez est dans SA m.rde chimique radio-active et affective, il continuera à penser que le progrès est technique, alors qu’il n’est plus qu’affectif, que le progrès technique est un moyen palliatif à son affectivité débilisée, ne sert qu’à ce désir social malade de dominer l’Autre par peur de ce que l’on est soi.

  • Des lanceurs d’alertes, experts scientifiques, mettent pourtant en garde les pouvoirs publics depuis des années mais ne sont pas écoutés. Les intérêts mercantiles dépassent l’entendement. La santé humaine, la vie humaine ne semblent pas être la priorité des lobbys.

    C’est l’archaïsme du paradigme scientifique et son modèle animal, plus que centenaire, qu’il convient enfin de dépasser pour mettre la recherche médicale au service du bien commun.


    " Premier point, chaque espèce animale a un patrimoine génétique unique. Deuxième point, le patrimoine génétique détermine la structure des protéines qui assurent les fonctions biologiques. Troisième point et conclusion : deux espèces différentes auront des protéines différentes, donc, des fonctions biologiques modifiées.

    Conséquences

    La réaction face à un produit chimique constitue un bon exemple de ces différences. Toute substance de synthèse, dès qu’elle pénètre dans le sang, est amenée dans le foie où elle peut subir des modifications. Or, ces modifications dépendent du type d’enzymes que l’individu possède. Ainsi, une même substance sera toxique pour un individu et ne le sera pas pour un autre, selon le type d’enzymes que l’individu possède, dans son foie, pour modifier cette substance. De grandes différences sont constatées parmi les individus d’une même espèce. A plus forte raison d’une espèce à l’autre ! Nous savons, par exemple, que l’arsenic est beaucoup plus toxique pour les humains que pour les moutons, que le formaldéhyde est plus cancérigène pour les rats que pour les souris, etc. Mais comme toute cette connaissance est empirique, même si nous savons quel est l’effet d’une substance donnée sur un animal, rien ne nous permet de prédire quel en sera l’effet sur un animal d’une espèce différente.

    Les animaux ne sont pas de meilleurs modèles pour l‘étude des maladies humaines et la recherche de thérapies. Dans le domaine du cancer, par exemple, il y a peu de choses en commun entre la tumeur et les métastases qui se développent chez l’homme et les processus de cancérisation que l’on inflige aux animaux. L’origine et le développement de la maladie étant très différents, il y a peu de chances pour que de réelles avancées viennent des études faites sur les animaux. Quand on sait que le cancer débute par un dérèglement cellulaire, il y aurait tout intérêt à reporter les crédits sur la recherche en biologie cellulaire et moléculaire humaines.

    Enfin, dernier exemple dans le domaine des maladies infectieuses. On sait que, après inoculation du virus du sida à un chimpanzé, ce dernier ne développe pas la maladie ; après inoculation du virus de l’hépatite B, le chimpanzé aura une maladie bénigne tandis que ce même virus peut entraîner, chez un humain, une cirrhose et un cancer du foie ; après infection par le virus Ebola, chimpanzés et humains meurent de fièvre hémorragique. Encore une fois, les résultats ne sont connus qu’après observation chez l’une et l’autre espèce. L’organisme du chimpanzé, l’animal le plus semblable à nous, a des réactions différentes des nôtres. Un traitement mis au point sur le chimpanzé et qui serait efficace pour lui, ne le serait pas nécessairement pour nous."

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  • attention à la manipulation

    de plus en plsu on nous annonce que l’état savait.

    mais on s’en fout que l’état savait

    l’état est au service des capitalistes ; c’est à Servier lui-même de payer !!

    point barre !

    ne participons pas à une propagande qui va finir par nous faire payer les saloperies de Servier !

    Servier, en 2009 plus de 3 milliards de patrimoine ! il peut ET doit payer