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Mètrobus montre son vrai visage

Publie le mardi 20 janvier 2004 par Open-Publishing

Une fois de plus la société mètrobus filiale de la société Publicis , quatrième " entreprise " mondiale de décervelage publicitaire et dont la présidente n’est autre qu’ èlizabeth Badinter et oui… encore une " sociale démocrate " membre du pèesse ;montre son vrai visage celui de la défense des riches et des " puissants " et des intérêts financiers , monstrueux du monde de la publicité , témoins cet " article " tiré d’un des plus fidèles valets de la presse du pouvoir et de l’argent ( le fameux Ppa de nos amis Plpl et du site acrimed ) le parichien , torchon parmi les plus servile de la république de medef .

Oui qu’une écrivain(ne) réputée " féministe " et qui plus est membre du ps parait il parti de " goche " monte ainsi au créneau pour défendre… le capitalisme et surtout sa propagande la plus aliénante , sexiste , et patriarcale , est particulièrement choquant , voire dégoûtant

Qui plus est quand on apprends en plus récemment pour " contrer " les actions anti pubs ; que cette " brave " dame vient de créer un comité de soutien (sic) pour la défense de la " liberté " d’expression publicitaire

Nous l’avons dèja dit lors d’un précèdent article et nous le redisons , nous comprenons mieux maintenant les attaques de mme Elisabeth Badinter contre pas mal de nos camarades féministes , lors de son dernier livre , comment en effet ne pas critiquer les féministes les plus radicales qui critiquent un monde de la publicité ; pour les clichés sexistes et patriarcaux que celui véhicule a longueur d’années , quand cette industrie et ces mêmes publicitaires vous nourrissent et vous payent grassement

Collectif

Anarcho Keuponnes Anarcho Punks paris

Métrobus tente de cerner les anti-pubs

LA BATAILLE de Métrobus contre les anti-pubs continue. Cet après-midi, le tribunal de grande instance de Paris examinera pour la seconde fois, en référé, la demande de la régie publicitaire Métrobus visant à obtenir, via l’hébergeur électronique Ouvaton, l’identité des animateurs du site Stopub, qui avait appelé à plusieurs reprises au recouvrement des affiches publicitaires dans le métro. « Nous sollicitons des éclaircissements, plaide maître Kohn, avocat de Métrobus.
Ouvaton nous a communiqué des éléments d’identification inexacts. L’une des adresses semble fausse. » En réalité, deux noms - le compte ayant changé de nom - ont été remis à Métrobus : pour le premier, la rue donnée par le souscripteur n’existe pas dans le village précisé. Pour l’autre, il ne dispose pas dans l’annuaire d’un numéro de téléphone fixe. « Nous avons donné tout ce dont nous disposions, en respect de la décision du juge Binoche le 1 e r décembre, explique Alexis Braud, patron de la coopérative Ouvaton. Leur nouvelle demande résulte donc d’une méconnaissance technique ou relève du harcèlement. » Pour identifier les barbouilleurs, Métrobus est prêt à toutes les parades. En plus de la plainte contre X, une action au civil est sur le point d’être engagée nommément contre les personnes qui ont été prises sur le fait dans les stations et verbalisées par les agents de la RATP. Cette régie-ci va également porter plainte, avec constitution de partie civile, pour diffamation à l’encontre d’un anti-pub qui avait dans son sac à dos une affiche détournant l’image de la RATP et mentionnant la rafle du Vél d’Hiv. 1 * La régie publicitaire Métrobus est prête à toutes les parades pour connaître l’identité des anti-pubs qui recouvrent régulièrement les affiches dans le métro.

Julie Cloris

Article le parichien à enfermer , lundi 19 janvier 2004 "

1 * Si il y a bien un sujet ou la direction de la Ratp devrait faire son examen de conscience et même s’excuser Publiquement auprès des victimes c’est bien celui la

Les raffles du vel d’hiv vers Drancy ce sont bien faite dans des bus et avec le matériel de la Ratp

Tout comme quelques années plus tard , se firent sur son réseau de bus , les raffles suivies de meurtres du 17 octobres 1961 quand le sinistre Papon ordonna de rafler les manifestant(es) pacifiques algérien(nes) qui manifestaient ce jour la