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Motion de solidarité d’une AG de 300 Personnes qui se tenait a l’Université de Freiburg le 15.11
Publie le lundi 19 novembre 2007 par Open-Publishing2 commentaires
Appel de Freiburg
En ce moment, une vague de contestation secoue à nouveau la France. Dans le Universités on combat la dite LRU, qui force la Privatisation dans l’enseignement supérieur. Dans les trois semaines passées, des grèves, blocades et occupations de Campus dans 36 Universités ont été entammées, pour faire échouer les plans du Gouvernement UMP de Sarkozy. Dans le service Public et d’autres secteurs, le cours néoliberal du nouveau Président engendre la Résistance.
Nous voyons les efforts qui font grandir un mouvement social en France en rapport direct avec les Luttes qui sont mennées ici. Les Problèmes sont les mêmes au-delà des frontières, et seront les mêmes dans le futur. La Privatisation massive dans tous les domaines, un presqu’inconcevable développement dans le domaine de la politique écologique et le manque de réception de ces problèmes, la poussée dans le domaine de la surveillance et une précarisation généralisée sont les signes sous lesquels nous sommes supposées façonner nôtre futur.
Nous nous solidarisons avec tous ceux/elles qui prennent ces luttes au sérieux et combattent ces évolutions dans la pratique. Notre solidarité s’adresse en particulier aux camarades étudiants dans les Universités francaises qui, seulement un-an-et-demi après la dernière vague de contestation intense, osent à nouveau prendre le pas de la confrontation.
Pour un mouvement contestataire transfrontalier !
Messages
1. Mention de solidarité d’une AG de 300 Personnes qui se tenait a l’Université de Freiburg le 15.11, 20 novembre 2007, 01:22
Merci pour nos jeunes. Il serait encourageant d’y voir les autres états européens se joindre au mouvement de contestation française, car toutes ces privatisations et la casse généralisée de notre code du travail viennent directo de Bruxelles. Si c’est ça l’Europe, qui impose une dette publique inférieure à 3 %, eh bien on était mieux lotis avant qu’après.
Bruxelles nous fiche la pagaille dans nos vies, et il serait bon de le contrer lui aussi, de le ramener vers plus de social. Bruxelles est en train d’esclavagiser l’Europe. Avait-on besoin de cela pour s’épanouir ?