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N’AURIONS-NOUS PAS OUBLIE....L’ESSENTIEL ?

Publie le dimanche 17 décembre 2006 par Open-Publishing
1 commentaire

Le concept de nos collectifs unitaires, s’il n’était pas excellent, ne créerait pas autant d’espoir : c’est une évidence !

Dans la pratique, la façon dont nous les utilisons, les règles que nous nous fixons ( surtout l’absence de règles me semble-t-il) nous conduisent droit dans le mur : c’est une autre évidence.
On dit UNITE mais les attaques fusent de partout : de l’intérieur comme de l’extérieur, et certains les deux à la fois.
Chacun (organisations et individus) prétend parler au nom des attentes populaires, alors que nous sommes moins de 20000 incapables de nous mettre d’accord sur un nom .

Allons-nous nous rendre compte enfin, que ces millions de personnes attendent autre chose qu’un nom sur le bulletin.

Ne voyons-nous pas que nous faisons le contraire de ce que nous disons : nous disons " la parole au peuple" et nous lui la confisquons ....c’est ça changer ?

Décidemment, l’urgence ce n’est pas le nom sur le bulletin, et nous verrions les choses tout autrement si nous agissions pour que le plus grand nombre nous rejoigne dans les collectifs ou nous apporte son soutien dans nos meetings.
Ce plus grand nombre n’a que faire (et trouve suspectes) nos querelles de pouvoir, et comprend bien que la triste résultante est de le lui confisquer encore.

On va donc continuer, par la force ou par des petites combines, à essayer de mettre un nom sur le bulletin, à prouver encore plus notre incapacité à réaliser notre unité ?

Il me semblait qu’on avait fait l’unité (malgré notre diversité) sur un programme.
Il me semblait qu’il suffirait que des milliers de collectifs de portes parole le fassent connaitre et soutenir.

Il me semblait....et me voila seul avec ma conscience de communiste embarqué dans des collectifs qui parlent d’unité sans etre capables de la faire...je nous souhaite bien du courage

j-c coualan

Messages

  • mais non, jcc, nous n’allons pas "continuer, par la force ou par des petites combines, à essayer de mettre un nom sur le bulletin, à prouver encore plus notre incapacité à réaliser notre unité."

    Nous allons laisser tomber cette querelle à propos du nom à mettre sur le bulletin ; la décision viendra en son temps. Nous allons reprendre la campagne avec le collectif des porte parole qui avait si bien démarré avec les meetings de Grenable et Montpellier.

    Si, du moins, la raison reprend le dessus.