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NON A LA REDEVANCE TELE

Publie le jeudi 14 février 2008 par Open-Publishing
4 commentaires

Vive La liberté s’insurge contre la redevance télé, principale source de financement des chaînes publiques, lesquelles sont devenues, outre des outils de propagande du pouvoir UMP, le joujou de quelques-uns, souvent insipides, qui dilapident l’argent public dans la conception d’émissions injurieuses pour l’intelligence.

Notre argent ne doit pas aider à la diffusion de la propagande de l’extrême-droite UMP, ni favoriser l’idéologie ultra-libérale, toutes deux incarnées par Sarkozy, ni permettre la diffusion d’émissions conçues exclusivement pour abrutir et abêtir les téléspectateurs.

Il faut supprimer la redevance télé destinée à financer un audiovisuel public embrigadé, aux ordres du pouvoir UMP, dès lors que ce mode de financement n’est, par ailleurs, pas à même de garantir sa totale indépendance.

Un impôt arbitraire sans contrepartie

Un impôt basé arbitrairement sur la possession d’un appareil, non sur le service rendu, est un impôt sans contrepartie, donc injuste et injustifié ! Sans parler de la frustration qu’éprouvent des millions de gens de devoir subir des programmes et surtout…des têtes qu’ils n’ont pas choisies !

Car, depuis le 1er janvier 2004, « grâce » à Sarkozy, il s’agit d’un véritable impôt. La redevance télé a perdu son appellation de taxe parafiscale pour devenir une taxe à part entière. Ce qui permet de déclencher la procédure de « droit de communication » et d’obliger les opérateurs à fournir leurs données. Ainsi les fichiers de l’administration fiscale et ceux des opérateurs de câble et de satellite sont désormais croisés.

La redevance est due pour tous les appareils récepteurs de télévision, ou tout dispositif assimilé (pc ordinateur, téléphone portable, etc.) permettant la réception de la télévision et détenus à une même adresse.

La redevance audiovisuelle est payable en même temps que la taxe d’habitation. En moyenne, elle rapporte 2 milliards d’euros, ce qui correspond aux trois quarts des ressources de l’audiovisuel public. Elle est acquittée par 18 millions de redevables. L’Etat estime à 500 000 le nombre des fraudeurs.

Verdi

Vive la liberté

Messages

  • Y a-t-il une pétition en ligne quelque part pour s’opposer à l’augmentation de la redevance qui nous pend au nez (c’est ce que réclamaient les grévistes des chaînes publiques, hier...) Mieux vaut s’y prendre à l’avance....

    • Il y a de plus en plus de retraités ou de personnes seules qui n’ont pas de téléphone devenu pour eux inaccéssible, bientôt la tété le sera par obligation.

      Il devient urgent de faire quelque chose de concret pour ces personne la.

      Alain 04

  • c’est inexact. La réception télé à partir d’une carte intégrée dans un ordinateur n’est pas soumise à redevance.

  • Non à la redevance télé :

    1) les programmes de france télévision ne sont pas meilleurs, ni pire que ceux qui ne profitent pas de cet impôt.

    2) les fraudeurs sont très nombreux et aucun fonctionnaire n’ose aller contrôler là où il le faudrait (les paraboles sont un bon indicateur...). Pourquoi les personnes aux revenus moyens, contraints de payer impôt sur le revenu, taxe, cantine plein pot, etc, sont-ils obligés de payer voyant leur pouvoir d’achat si réduit qu’il faut s’endetter pour s’alimenter et vivre sur un découvert car c’est celà gagner un peu plus que le SMIC ou 1500 € ce qui n’est rien quand un logement minable vous coûte déjà 600 ou 700 € (sans allocation et avec des enfants à charge).

    3) A l’heure où l’on constate que la vie du Français moyen est loin de s’améliorer, pourquoi l’enfoncer encore et toujours en le poursuivant pour un euro trop perçu et faisant peser sur lui tout le poids de l’injustice permanente ?

    4) Baisser les salaires des présentateurs télé, arrêter de payer la venue sur les plateaux de personnalités venues faire de la promo. Que ceux qui veulent payer le fassent, vive le mécénat, quant aux autres qu’ils s’élèvent contre et refusent de payer, trop c’est trop.

    Décidons purement et simplement de la SUPPRESSION de cette taxe.