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Nous n’oublierons pas notre camarade assassiné a Londres Nous n’oublierons pas Strasbourg transformé en ville Guantanamo, Nous n’oublierons tout-es nos camarades emprisonnè-es a Strasbourgs et jeté-es en pature aux medias collabos et autres journaflics des médias Sarkozystes, nous n’oublierons pas tout-es nos camarades des mouvement sociaux criminalisé-es par la démocrature Sarkozyste
NON nous n’oublierons pas les saigneurs du G20 de l’Otan du FMI, de L’OMC, de l’OCDE les banquiers et les traders avides, la secte mortifére de Bildeberg, les Boucher du G8 TOUTE CES CANAILLE S ONT DU SANG SUR LES MAINS, LE SANG DES PEUPLES QU’ELLES EXPLOITENT, TUENT, REPRIMENT, TORTURENT TABASSENT, EMPRISONNENT AUX QUATRE COINS DE LA PLANETE
NON NOUS N’OUBLIERONS RIEN DE CES SAIGNEURS ET CES BOUCHERS DU CAPITAL ET NOUS LEUR FERONS PAYER AU CENTUPLE
Messages
1. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 05:58
Oué et à la base, il faudrait êtr + solidair, + doux, + raisonnables, soutenir ceux qui en veulent vraiment et corriger leurs erreurs lorsqu’ils en font eulieu de chercher à le sattaquer en permanence. Ya pas quele sommet qui est malade.
+devenirraisonnableen matièr de conso et demode devie. Plus de liens.
2. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 09:11
et nous n’oublierons pas que le 1er 1979, la façade de l’antre du grand patronat, rue Pierre de Serbie à Paris, était mitraillée par des camarades anti-impérialistes, dont certains croupissent encore en prison, mais une action qui a fait trembler le capital sur son propre socle.
N’oublions pas AD, qui a servit les intérêts du prolétariat et de la classe ouvrière dans des moments ou, les politiques politiciennes et syndicales servaient les intérêts du capital.
N"oublions pas qu’en avril 1979, dans les grandes villes de la sidérurgie du grand nord est, des centaines de milliers de travailleurs s’étaient battus contre l’état répressif et les fermetures, en employant la violence révolutionnaire contre le plan européen du baron Davignon, représentant des maîtres des forges, avec la complicité du père de Chérèque de la CFDT et de Sainjon de la CGT, tous les deux devenus par la suite, préfets honoraires et députés européens.
Aujourd’hui, les traitres des confédérations syndicales, les traitres des partis de la droite et de la gauche institutionnelle, sont des agents de l’Europe, agents de l’OTAN, du FMI, de L’OMC...qui vont à contre sens des peuples et de leurs aspirations sociales et de paix dans le monde...
Trahis en 1979, trahis en 2009, que faut il de plus pour réagir face à ces bandits ?
3. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 09:14
"J’ai de la colère parce que des gens qui sont présentés comme des militants anti-Otan alors qu’ils ne méritent que le nom d’imbéciles ont commis des actes très graves, qui méritent une condamnation claire et sans ambiguïté"
Marie-Georges BUFFET, candidate aux élections européennes pour le PcF
ALLEZ VOTEZ !
1. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 15:39, par starquizz
Ma pauvre marie georges !!! tu te trompes encore une fois de bataillle , tu vis dans un monde que tu ne comprend plus , le capitalisme nous entraine inexorablement vers la fin de notre planete et toi tu critiques des jeunes révoltés en leur demandant de voter , mais la seule chose que l’on peut regretter c’est qu’il n’y ai pas eu plus de monde avec ces jeunes qui essayent a leur maniere de nous sauver tous. Demande toi simplement pourquoi le PC s’est fait doubler par ces "salauds d’anar" comme vous avez l’habitude de les désigner.De plus voter pour quoi ?? pour que quelques députés grassement payés dans le cercle de l ’UE fasse des rond dans l’air en nous faisant croire qu’ils nous protègent contre les mauvais coup du KAPITAL !!! Leur monde , leur Europe , on n’en veut pas !!!
4. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 09:16
Chacun aura eu son anti-sommet. Pour nous,
Trois moments, trois instantanés :
Au centre Molodoi, fierté. Les camarades emprisonnés ne seront pas absents. La projection du film dans ce centre autogéré, un symbole. Attention soutenue et découverte pour beaucoup. Un moment fort, quand Joëlle explique le combat d’Action directe. On a l’impression qu’elle parle pour le sommet, tant le discours sur le capitalisme et ses instruments dont l’OTAN est précis. La discussion est animée. Bien entendu sur le combat de l’organisation, le débat est fort mais riche. Un accord, ce sont des militants révolutionnaires, leur combat est légitime. La solidarité est essentielle. Des questions précises : quelles lois sont mises en place. Et les informations sur la situation de chacun ont pu être données.
Blocage
Matin, six heures, l’initiative blocage commence par un gazage en bonne et due forme. La musique retentit dans le silence de la ville et permet au cortège de se reformer. C’est surréaliste dans le silence de la ville, ces tambours. Tentative d’aller en direction du Palais du Congrès. Mais peu à peu, le cortège est étouffé. Encerclement total des forces de police. On sent que l’arrestation de tous est imminente. Contre-ordre visible. La manif repart et bloque un carrefour.
Manif ghetto, manif piège
Finalement, nous ne participerons pas à la dite grande manif internationale. Les conditions acceptées faisaient craindre le pire. Símaginer, un parcours sur un ile, seuls accès : des ponts. Manif ghetto. Qui a pu penser à une telle configuration. Et le pire arrive. Pour participer, il faut passer entre des cordons de policiers lourdement équipés. Et interdiction de ressortir. Déjà le principe, comment des militants peuvent accepter de telles conditions de manifestation. C’est un problème politique, c’est un problème de conscience politique. Il ne fallait pas rentrer dans ces conditions , se rassembler pour forcer ou pour former une autre manifestation. Nous, nous sommes avec une camarade malade, le problème ne se pose même pas, il ne sera pas possible d’attendre le bon vouloir des flics pour ressortir de ce piège. Nous ne pourrons donc pas manifester. Les discussions avec les personnes rencontrées alors que nous nous éloignons, la rage au ventre, montrent cruellement l’absence de réflexion de presque tous, simples militants ou petits responsables. Et pire encore, l’absence de solidarité. Imperturbables, ils se dirigent vers leur manif. Quelques-uns cependant sont ébranlés. Problème de conscience politique, problème de conscience ...
LINTER
5. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 09:18
« On devrait être autour de 5 000, c’est beaucoup, dit Karl, venu de Berlin. Mais en face, ils seront 30 000 flics franco-allemands. On ne tiendra pas longtemps. » Le Dublinois Sean, lui, dit : « C’est sûr, ce n’est pas avec ça qu’on changera la société. Mais, au moins, on ne se résigne pas. »
6. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 09:40, par marie.lina
Tu l’as dit une manif dans une ile ;c’était un très joli piège !
Moi aussi je suis arrivé tard , et par méfiance tout simplement, ne pas oublier:Strasbourg est à côté de la prison de Stenheim...............souvenir
Mais des questions me taraudent tout de même :
D’accord vous êtes en rage (voir le résumé),mais au final nous voir sortir les bras levés:quelle amertume !
Il faudrait faire la grève de l’argent, c’est par les couilles dorées ,qu’ils sont fragiles et de partout, ne plus rien payer,confisquer les machines des usines, etc............ ; ;
marie.lina
7. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 10:06, par LE BRIS RENE
Je me rappelle avoir décrit comment les forces de l’ordre capitaliste avaient
encerclé la manif de St Lô dans la Manche. Strasbourg, ce fut une mise en place
raisonnée, voulue, consciente de la STRATEGIE DE LA TENSION. Cette stratégie
mise en place par le pouvoir sarkoziste a eu malheureusement la complicité de la
municipalité de Gauche de Strasbourg ! Donc la première condamnation à faire,
c’est D’ABORD cela ! Strasbourg est la démonstration vivante que nous sommes
rentrés DANS UNE SOCIETE TOTALITAIRE = contrôle des médias, entraînement de
certains journalistes avec l’Armée, brutalités policières systématiques, mise au pas
du système justiciaire, encadrement militaire des manifestations. Le mouvement
ouvrier doit donc prendre acte, et au lieu de faire des communiqués pour appeler
à plus de répression contre les casseurs, il faut ORGANISER L’AUTODEFENSE, non
pas dans une logique de guérilla urbaine minoritaire, mais dans un esprit de res
ponsabilité collective pour montrer que la violence est bien celle du pouvoir avant
tout ! et puis aussi dénoncer tous les complices du pouvoir qui comme à St Lô
préfèrent aller trinquer avec Sarkozy que d’être dans la rue avec les manifestants !
Nous ne sommes plus en démocratie bourgeoise, il faut donc en tirer les consé-
quences !!!!
1. Nous n’oublierons rien, 5 avril 2009, 10:18
Non, nous n’oublierons pas.... un jour viendra.
2. Nous n’oublierons rien, 6 avril 2009, 01:01
bravo pour l’analyse ! isolement, encerclement ; à strasbourg on ne peut pas parler de manifestation , mais d’un baroud d’honneur qui laissera des traces d’amertumes.