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(PCF) Réflexions lapidaires pour le congrès d’étape
Publie le lundi 24 mai 2010 par Open-Publishing3 commentaires
1. La présente note commencera par la question de la candidature à la Présidentielle, non pas pour entrer dans le jeu des autres pour qui ce serait la seule question politique, mais qu’ contraire parce que son approche différente appelle toutes les autres questions.
En effet, une candidature communiste devrait s’imposer, mais suppose prioriairement que
soient créées les conditions qui lui donnent son sens spécifique et est donc unséparable de la
bataille pour la reconquête du crédit du Parti dans les milieux populaires.
Or nous sommes confrontés à des difficultés de diverses natures :
D’abord la poussée combinée des institutions de la 5è et des médias vers le bipartisme à l’anglo-saxonne. Le Front de gauche vise notamment à y faire échec, mais
ce bipartisme fleurit sur le terran d’une crise de politisation de masse qui se caractérise de façon à la fois contradictoire et complémentaire par la délégation de pouvoir et le rejet de la politique politicienne.
Or l’acte de candidature de Mélenchon contribue à affliger le Front de
gauche de la même image politicienne, suggérant même à l’opinion publique qu’il n’est venu
au Front de Gauche et n’a créé le parti de gauche que pour cela.
Une des causes de la désaffection dont le parti est victime est que sous les orientations et pratiques d’une mutation opportuniste ramenant tout à des campagnes de consonnance racolleuse et des accords tacticiens purement électoralistes, il est apparu compromis dans cette politique politicienne. De plus la psychose de repentance a contribué à accréditer et alimenter la compromission avec l’échec soviétique de toute l’histoire passée du Parti et de ses acquis, alors qu’il eur convenu au contraire de souligner la part de l’histoire du Parti sourcée dans celle du mouvement ouvrier et révolutionnaire français.
La situation commande de se démarquer clairement, par le discours et par les actes, de tout ce qui fait la politique politicienne, de se libérer de l’hypohèque opportuniste de la « mutation », et de donner à voir et partager la dimension stratégique de cette alternative, non pas par des affichages programmatoires mais en reprenant un combat identitaire offensif, qui donne du Parti une image éclaireuse et porteuse d’une perspective alternative originale, fondée sur des repères fondamentaux à ressortir des oubliettes..
2. Ressortir les fondamentaux des oubliettes ne veut pas dire revenir au passé, et ne pas revenir au passé ne veut pas dire d’en diaboliser tout le capital. Avoir un regard neuf, pour répondre aux conditions d’aujourdh’ui qui ne sont plus celles d’hier, mais retrouver tout ce qui peut y être indispensable dans les fondamentaux (par exemple la priorité de l’Union à la base sur l’Union à la tête, l’idée que l’union, et le recrutement, se font dans l’action, que la démocratie ne se limite pas au bulletin de vote, que les élections se gagnent dans les luttes à longueur d’année et pas seulement dans les quelsques jours de campagne, le rapport entre classe, démocratie, nation et internationalisme, l’articulation entre indépendance de parti et rassemblement, etc.......
3. Ces princpes fondamentaux doivent être remis à l’ordre du jour ; en les adaptant aux conditions nouvelles, caractérisées par la révolution scientifique et technique, avec plusieurs conséquences essentielles : A) le consumérisme et son rôle de nouvelle forme d’aliénation.
B) la production idéologique a) la délégation de pouvoir (« laissez faire par ceux qui savent »), y compris la politique. b) l’idéologie de la modernité, qui implique de renier tout ce qui a pu être historiquement acquis. c) la réduction des rapports sociaux à des techniques au détriment des critères de contradictions de classe et du rôle du mouvement social. C) un processus mondial de concentration du capitalisme qui loin de périmer la contradiction de classe, déplace le front de prolétariat contre bourgeoisie à peuples (sans pur autant périmer la place motrice de la classe ouvrière) contre capitalisme mondial
4. En corollaire, le rôle des médias comme principal instrument de domination de classe.
Au dernier congrès où participait Maurice Thorez (1964 ?) ; l’une des questions centrales était que l’apparition de la télé allait rendre insuffisants les CDH, et la réponse était « faire de chaqsue communiste une télé du parti »
5. C’est ainsi qu’à l’épreuve de la lutte sur deux fronts à laquelle le Parti avait été contraint par mai 68 et l’agression du Pacte de Varsovie sur Prague, le parti avait acquis un niveau exceptionnel de culture politique de sa base.
6. Entre temps il avait opéré la vraie mutation fondamentale commencée en 1961 quad M Thorez défendait à la conférence des Partis le droit à une conception différente du passage au socialisme, formalisée en 1966 avec le manifeste de Champigny et la stratégie plus actuelle que jamais de la démocratie jusqu’au bout dans le domaine économique et politique. Le drame est que le Parti ne s’est pas avéré en mesure de mettre en pratique cette stratégie. Le fait d’avoir géré le programme commun comme un accord au sommet, puis d’avoir persévéré en 1981 n’y sont sans doute pas étrangers. Il reste que cette stratégie A) est la seule à constituer une alternative valable à l’abandon de la dictature du prolétariat, B) est la traduction politique de la différence d’avec la situation des partis communistes parasoviétiques, en ce sens que, répondant aux prévisions de Marx, le capitalisme ayant (à la différence des précédents d’Europe de l’Est) achevé sa fonction de développement, elle procède d’une commande historique de passage de plain pied du capitalisme développé au socialisme développé. C) est à l’opposé d’une prise de pouvoir le jour J par un Etat-major de parti, elle est un combat quotidien de dispute de pouvoir à tous les niveaux et dans tous les domaines (municipalités, comités d’Entreprise, défense du service public, etc...) par le mouvement populaire dont le rôle du parti, par chacun de ses militants et sur le terrain est d’être un éclaireur et un animateur, en articulant les luttes avec les institutions de toutes natures sur lesquelles exercer le rapport de forces dont elles sont à la fois le moyen et l’enjeu.
7. Quelques pièges, parfois d’apparence purement sémantique mais alors non moins révélateurs
La « société civile » : la propagation de cette formule n’est pas innocente : par rapport à quelle société non civile ? Implicitement c’est par différence avec la « classe politique ». C’est donc un aliment de la notion de professionnalisme politique et de politique politicienne, qui n’est pas étrangère à l’abstentionnisme.
X ou Y « dirigeant » du Parti : le terme alimente une notion qui, là encore est cultivée de faço non innocente par les médias lorsqu’elle parle de « chefs » de partis ou du « patron »de la CGT. Le vieux jargon de « responsable » était combien plus adéquate.
et même « Droite et gauche » a pour la conscience populaire une réponse politicienne, et
plus gravement alimente la dérive vers le bipartisme.
8. Enfin une telle revigorisation stratégique, mêlant action et formation semble à la fois
répondre à une prometteuse demande de la jeunesse ; à laquelle notre aide et nos
encouragements devraient être une de nos priorités, et de nature à regagner tous les militants
que l’affadissement et la banalisation du Parti ont découragés.
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Messages
1. (PCF) Réflexions lapidaires pour le congrès d’étape, 24 mai 2010, 16:00, par Alain Chancogne
Cher Roland,
Ta sincérité ne saurait être mise en doute.
Ton honneteté intellectuelle non plus.
Durant les 32 ans que j’ai passé en tant que militant au niveau départemental(un peu national..un brin "international"..) , en tant qu’élu , et parce que j’ai engrangé des souvenirs inoubliables, parce que que je ne renie rien, que j’assume mon passé qui ne fut pas simple( "marchaisien" pour les uns...puis déserteurs pour d’autres quand en 2001 j’ai rompu avec le pC..pour devenir -ou tenter de devenir- COMMUNISTE, je crois avoir le droit et le devoir de te dire une chose que beaucoup d’EX partagent avec des copains encore "encartés" : je le vérifie chaque jour, de plus en plus...
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Toi et tous ceux qui évoquez une activité l’intérieur du Parti" Communiste "..français de
"nature à regagner tous les militants que l’affadissement et la banalisation du Parti ont découragés."..nous avons besoin de te dire, de vous dire pourquoi je mets-nous mettons désormais - des guillemets à "communiste" pour parler de l’orga en convulsion , champ de batailles d’égos, ring pour combats de chefs et de clans,Parti qui va ouvrir un congrès bidon, hors de toute analyse marxiste.
Au sens que ce mot évoque : S’appuyer sur la REALITE pour la transformer" et non se réfugier dans une thérapie de repli en faisant comme si on pouvait réformer, changer le PCF..
On pourrait débattre sur le fait que , selon moi, le PC ne fut jamais réellemnt héritier de Marx..
Pour des raisons historiques, le "modèle" du léninisme greffé sur notre matrice nationale (ref Baboeuf par exemple) ça ne pouvait pas marcher ad vitam...
Cela n’enlève rien aux pages glorieuses que nous avons écrites.Ni à notre immense connerie de 1968.., notre engluement dans la stratégie programmatique, ce "syndrome de Fron Popu" qui a conduit le Parti de la Résistance à kollaborer de façon scandaleuse ave cle Kapital..par exemple de 97 à2002.., ni bien sur à ces rapports de balancier vis à vis du "socialisme réel".. ;
Le relookage huiste , la participationnite aigue, la jospinite purulente de la bande à Hue-Buffet’Gayssot choisissant les Ministères contre la défense de la "classe"...a conduit du déclin..à la fessée.
!
"Les masses qui font l’Histoire",( selon Marx que tu as lu mieux que moi, Roland,) refusent qu’on leur en raconte(des histoires)
Le "Parti" est parti de la conscience collective de CEUX qui souffrent et qui, non sans raisons, vait fait de lui un avocat , un porte voiX des HLM , des usines, des petits agriculteurs (limousin, Dordogne, Lot et Garonne par exemple)
Un parti qui jette les fondamentaux du Marxisme(propriété, lutte des classes) qui se fond dans un PGE européisé , un parti ringardisé par son alignement sur le plus bas niveau des consciences, un Parti qui monnaye ses places dans les C.R. avec des stratégies à géoméreie variable d’élus selon les régions, qui s’offre à un Mélanchon pour sauver quelques meubles, un Parti qui MENT à ses adhérents, qui lorgne déjà sur la tente à oxygène pS de 2012(qui instille le CO2 mortifère), un Parti dont le journal de Gôôche est souvent une pâle a copie de"Libé", un Parti ou 3 quarts de permaennts de plus de 50 balais se demandent comment faire pour choisir l’écuelle ou ils lapperont une retraite (que je souhaite très longue et paisible), un tel Parti Roland il est "HORS JEU".
Ses derniers militants sincères au lieu de servir la soupe à MarieJO et Pierre Laurent (¨pauvre Paul s’il voit ça d’en haut....) , en cherchant , s’appuyant sur des statuts social démos , à présenter une résolution "gauchisante", qui les transforme en "idiots utiles" , seraient bien inspirés de proposer que, TOUS ENSEMBLE, en laissant dans leurs niches les caniches du PS, nous construisions ce PARTI DES COMMUNISTES, du Communisme dont la classe ouvrière, notre peuple ont BESOIN, non pour GUIDER, mais pour AIDER à batir un projet révolutionnaire avec l’ORGA moderne, marxiste qui va avec..
Tout le reste , cher Roland c’est comme disait ma grand mère"pisser dans un violon"
On ne perce pas un mur en BETON (le CAPITAL°) avec une perceuse en bois vermoulu(LE PCF)
Bien cordialement
AC
Membre du Parti communiste le plus "fourni" en militants du FUTUR
Celui des EX...!!
STP , Roland : :
n’imite pas ces bons copains que j’adore et qui me disenr"Moi, je veux mourir avec ma carte du PCF dans la poche, alain"
D’abord il ferait bien de garder celle de 2010, je garantis pas que d’ici deux ans , elle ne soit remplacé par celle de Front de Gôche.
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Ensuite, je préfère -en ce qui me concerne-, vivre en Communiste préparant la transformation radicale de cette putain de société et savoir qu’on m’enterrera bientôt avec peut être un "hommage" rendu à mon entêtement coco..que de voir autour de ma tombe, déguisé en pleureuses hypocrites,ceux qui portent en TERRE nos espoirs, piétinent notre passé..
En provoquant des érections roses au sein du PS, du Medef, du CAPITAL..
Pardon de ne pas pendre de gants pour exprimer mon sentiment.
– Pas le temps de relire.On excusera les fautes., la lourdeur du style, letc..
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2. (PCF) Réflexions lapidaires pour le congrès d’étape, 24 mai 2010, 21:39, par jean-paul Legrand
Cher Roland Weyl
Nous publions ci-dessous un extrait de l’article que nous avons écrit et publié sur ce site dans son intégralité à propos de la préparation du congrès du PCF. Nous sommes des communistes "dissidents" qui se sont engagés avec "Colère et Espoir" aux dernières élections régionales en Picardie. Nous sommes tous deux élus communistes, maires-adjoints de Creil.
"....la clef pour comprendre les combats qui se sont déroulés au sein du PCF ces derniers mois réside dans cette histoire de la transformation de ce parti de lutte enraciné dans les quartiers et les entreprises en un parti qui fonctionne de plus en plus pour lui-même, pour ses cadres et ses élus. C’est parce que la direction du PCF est le fruit même d’un tel processus qu’elle est incapable de jouer son rôle de direction, et c’est d’ailleurs le but qui a été recherché par les adversaires du combat communiste. Car comment peut-on penser que lorsque François Mitterrand annonce sa stratégie de réduction de l’influence communiste dans les années 70, il ne le fait sans avoir l’objectif de combattre à la fois de l’extérieur et de l’intérieur ce qui constituait à l’époque la force révolutionnaire de notre pays ? Comment être naïf à ce point pour ne pas voir la liquidation progressive de la pensée et de la pratique révolutionnaire au sein du PCF que les forces du capital ont entreprise depuis des décennies. Certes cette liquidation ne s’est pas faite sans contradiction, sans luttes et nombreux sont les communistes qui dans le PCF pensent que c’est encore en son sein que le combat peut se mener pour lui donner une orientation révolutionnaire. Nous respectons ces camarades et nous appuyons leur démarche car rien ne doit être négligé pour rassembler tous les révolutionnaires. Dans le même temps nous entendons consacrer notre temps à la construction dans notre département de l’Oise comme dans le pays d’un rassemblement populaire inédit qui ne soit pas corseté dans des accords d’appareils politiques qui ont failli, mais qui soit l’émanation des gens eux mêmes, à la fois dans le projet politique et dans la forme de lutte politique que les citoyens décideront dans les circonstances déterminées et les événements que la crise du capitalisme va faire naître.
Pour nous, le peuple est le créateur des transformations sociales, et il n’appartient à aucun parti de prédéfinir son action. Au contraire le rôle d’une organisation qui prétend être révolutionnaire est de notre point de vue, de libérer toutes les énergies créatrices qui émanent de la société et qui inéluctablement vont s’affronter durement au carcan insupportable que le capitalisme impose à l’Humanité dans la phase développée qui est la sienne aujourd’hui. Ces énergies créatrices ne sont pas le monopole d’un parti, elles sont le fruit de la lutte de classes. En ce sens, au fur et à mesure de l’intensification du combat de classe, les gens reconnaitront "les leurs" comme on dit, c’est à dire ceux qui ont placé le combat pour l’émancipation humaine au dessus des petits intérêts boutiquiers de parti, de postes d’élus, de pouvoir. Or le peuple vient de faire l’expérience en Picardie, que le PCF s’est avéré un digne représentant de ces petits intérêts.
A l’opposé, notre peuple fourmille de gens qui vont se révéler dans les circonstances de la lutte comme des "communistes" utiles au mouvement populaire. Notre peuple aura besoin de ces militants dans ces grandes luttes de masse qui ne verront pas quelques dizaines de milliers de personnes se rassembler mais des millions pour contester l’ordre capitaliste qui va très durement les agresser dans la prochaine période. Car l’agression qui consiste à broyer deux siècles de conquêtes sociales, ne concerne désormais plus seulement une partie du prolétariat mais l’ensemble des salariés et couches non-capitalistes de la société et dans le même mouvement l’indépendance nationale qui a été bradée aux établissements financiers. Cette immense force se reconnait de moins en moins dans le système politique et cherche des solutions qui vont s’en éloigner de plus en plus. C’est de la société elle-même que vont émerger des forces transformatrices qui se donneront elles-mêmes les moyens de changer la société. Le rôle des communistes est de contribuer à rassembler ces forces et leur apporter leur expérience démocratique : non celle des luttes intestines de l’appareil du PCF mais celle de ce qui a été de meilleur et de plus généreux dans l’histoire du communisme français et international. On est loin des lamentations sur ce qu’adviendra le PCF qui continue de s’inscrire dans l’ancienne époque et qui de ce fait n’est pas perçu, à l’instar des autres partis, comme vraiment utile par notre peuple.
Pour notre part nous entendons consacrer notre énergie à la rencontre quotidienne avec les gens, à leur écoute, mais aussi à soutenir leurs projets dans tous les domaines de la vie en leur apportant l’éclairage d’une analyse qui les place comme les acteurs de la révolution à venir indépendamment d’organisations qui ont fait leur temps, en réfléchissant avec eux aux conditions et aux formes de rassemblements politiques de masse afin de développer la démocratie contre la domination capitaliste.
* Jean-Paul Legrand et Habib Abba-Sidick sont tous deux militants communistes et maires-adjoints de Creil. Ils ont été candidats de Colère et Espoir, la liste conduite par Maxime Gremetz en Picardie aux élections régionales de 2010.
Cet article est publié sur les sites suivants
http://creil-avenir.com
http://colereetespoir.over-blog.com/
http://bellaciao.org/fr/
1. (PCF) Réflexions lapidaires pour le congrès d’étape, 24 mai 2010, 23:18
En effet, il va devenir impossible de militer dans un parti qui a perdu son expression quotidienne de classe, par exemple"L’Humanité", au profit de "La Gauche" dont il est de plus en plus difficile de cerner les contours. Certains dirigeants s’expriment en langue de bois dans leur blogs personnel auxquels nous renvoie sans cesse la presse fédérale qui ne se fait l’écho que des déclarations, faits et gestes du patron (au sens propre comme figuré). Les médias ne sont donc pas les seuls responsables de cette dérive. Les PCF s’est banalisé tout seul de par la seule volonté de ses liquidateurs.
L’expérience du Front de Gauche s’est appliquée ailleurs en Europe avant la France et c’est un échec pour les partis communistes qui se sont dissimulés derrière ces créations politiciennes et artificielles, parce qu’elles n’ont vécu que par le sommet et de manière opportuniste au profit des élus.
Nous sommes tellement affaiblis que nous avons été condamnés à nous effacer derrière le PG de Mélenchon au moment où les peuples ont besoin d’organisations de classe (et ce n’est pas incantatoire) pour faire face se battre dans l’alternative socialiste et non tergiverser pour être "plus compétents" (devant qui ?) que les autres pour gérer loyalement le capitalisme en crise.