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PCR : essayer de comprendre avant de condamner .

Publie le lundi 19 mars 2007 par Open-Publishing
7 commentaires

La Charte d’adhésion, symbole d’union entre hier, aujourd’hui et demain
Des principes essentiels guidant les actions et les engagements

Le Parti Communiste Réunionnais est né en 1959. Sa naissance, son adolescence et sa vie d’adulte se sont intimement liées à la société réunionnaise. Comme elle, durant ce demi siècle, il a évolué. Comme elle, il a agi, il y a eu « du positif et du négatif ». Aujourd’hui, n’est-il pas temps de tirer les leçons du passé pour préparer l’avenir ? Cet avenir, il sera tracé ensemble, par un débat le plus large possible, où chacune et chacun pourra s’exprimer librement, chacun détenant « une part de vérité », sans penser que tel ou tel sujet « est tabou ». Un débat qui s’appuie sur des principes essentiels, qui doivent être, à leur tour, débattus « afin d’en faire les racines d’une société équitable ». Des principes tant collectifs qu’individuels qui, par leur discussion et leur appropriation par le plus grand nombre de Réunionnais, permettront la « mise en œuvre d’un développement durable ». C’est la mission de cette Charte. Un engagement solennel des membres, qui sont le « reflet de la diversité de la société réunionnaise ». Entretien avec Élie Hoarau, Claude Hoarau et Pierre Vergès.

Comment cette Charte s’inscrit-elle dans l’Histoire du Parti Communiste Réunionnais ?
Pierre Vergès : Après 2001, la réflexion s’est accélérée. Comment pouvait-on concrétiser l’évolution du Parti ? Après la déclaration du 12 mai 1981, comment pouvait-on évoluer à La Réunion par rapport aux bouleversements qui s’étaient déroulés au plan national ? Il fallait consacrer l’évolution de la capacité d’adaptation du Parti.
Cette évolution allait engager de nouvelles contradictions et le Parti comptait anticiper sur les aboutissements de ces contradictions. Il s’agit par exemple de la contradiction entre assimilation et intégration.

Comment, par exemple, arriver à une intégration sans assimilation, comme l’avait voulu la nouvelle majorité présidentielle de 1981 ?
Élie Hoarau : Chaque étape de cette politique d’intégration sans assimilation a souligné les contraintes de plus en plus fortes jouant sur la situation réunionnaise. Si l’on devait aborder la phase de développement, il fallait partir d’un "socle". Et ce n’était pas à la population la plus vulnérable de payer le prix politique effectif de ce développement. D’où l’apparition de notre revendication d’égalité. Tout plaidait donc en faveur d’une démarche de rassemblement.

Un rassemblement pour quels objectifs ?
Pierre Vergès : Cette demande de rassemblement naît de la reconnaissance de l’existence de forces qui pouvaient se rejoindre pour relever les défis qui se posaient. Compte tenu de la situation nouvelle - et il n’y a pas eu de démenti par rapport à ce que l’on a souligné -, nous avions dit alors que nous craignons plus l’implosion sociale que l’explosion sociale, car on assistait au délitement de la société réunionnaise.
Pourtant le dynamisme des Réunionnais, pour tenter de contenir les effets négatifs d’une politique qui n’était pas à la mesure des enjeux, a été réel, les efforts ont été incontestables.
Il n’y a qu’à prendre pour exemple l’augmentation du nombre de diplômés, la croissance du nombre d’entreprises... Il y avait donc la nécessité d’un rassemblement et un intérêt évident, à un moment donné, de faire le point sur l’évolution de la société réunionnaise. Également la nécessité que l’on mesure la contribution du Parti à cette évolution. D’autant plus que celle-ci s’est manifestée dans de nombreux domaines, comme par exemple - en les citant pêle-mêle - le sport, la culture, le syndicalisme etc.

Mais cette évolution allait engendrer des contradictions ?
Élie Hoarau : À partir du moment où, par rapport à une réalité, il y a eu un appel pour l’intégration sans assimilation, nous avons souligné que de nouvelles contradictions allaient apparaître ; et nous refusions d’en conclure que cela allait à l’encontre des orientations fondamentales de notre parti. En consacrant alors que le PCR était partie intégrante de la société réunionnaise, il devait assumer les contradictions générées par cette société.
Et par l’analyse concrète de la situation concrète, nous devions y remédier, par une prise de conscience plus forte d’une plus grande majorité de Réunionnais, par le partage de l’analyse des effets de cette politique d’intégration sans assimilation.
C’est la démonstration même que le Parti, en s’adaptant, a évolué, compte tenu de la complexité de la situation : intégration dans l’Europe, intégration dans le monde, multiplication des media, évolution mondiale... tous ces aspects doivent nous conduire à réaffirmer les principes directeurs qui doivent guider notre organisation.

C’est donc pour concrétiser cette démarche qu’est née la Charte ?
Claude Hoarau : Oui, C’est la raison pour laquelle nous avons tenu à ce que soit définie cette démarche par la rédaction d’une Charte. Au moment où l’on voulait qu’il y ait un nouveau mouvement d’adhésion à notre organisation, il nous a semblé intéressant que cette adhésion soit subordonnée à l’accord à cette Charte.
C’est là que les organes directionnels du parti ont tenté de définir les principes directeurs, sans pour autant négliger notre préoccupation première : l’approfondissement du débat. C’est pour cela qu’il y a un certain nombre de points à aborder ; et la contribution est, à ce titre, essentielle.
Sans en être le pivot, nous sommes partie intégrante de la vie politique réunionnaise. Et donc nous avons été amenés à apprécier si ce que l’on disait pouvait être en contradiction avec la réalité. C’est cela qui nous a motivés aussi pour la rédaction de cette Charte. On s’est dit que dès le moment où l’on s’inscrivait dans un processus historique, on ne pouvait pas dire que "au commencement était le parti" ; on s’est inscrit dans cette démarche de création du Parti Communiste Réunionnais, une démarche d’affirmation réunionnaise.
Et c’est là où l’on a tenu à souligner que, « bien longtemps avant la création du Parti Communiste Réunionnais, des femmes et des hommes venus sur cette île, librement ou sous la contrainte, ont lutté pour le respect de droits et de principes essentiels ».

Il ne s’agit pas d’un projet...
Élie Hoarau : On voit bien que cela ne fait pas un projet, mais cela fait une démarche. Et il nous semble qu’on ne peut pas dire qu’une vague connaissance de 50 ans d’Histoire est suffisante pour éclairer l’avenir. On pense qu’il faut approfondir la connaissance de notre Histoire pour s’inspirer de ces précédents pour voir comment on peut mieux asseoir notre politique dans l’avenir.

Et c’est une Histoire singulière...
Pierre Vergès : Oui ; on souligne qu’on n’a pas de modèle quand on explique dans notre Charte que, « du fait même de notre situation insulaire, et de la diversité de notre peuplement, ces luttes qui ont forgé le peuple de La Réunion se sont toujours déroulées dans des conditions spécifiques, réductibles à aucune autre ».
Il y a aussi l’éloignement d’un certain nombre de pôles, il y a aussi à côté de nous l’environnement Mascareignes, ce qui fait que La Réunion a un positionnement spécifique et que l’on doit trouver notre voie.
Pourtant, si l’on doit s’enrichir de l’expérience du passé, on ne peut pas dire que ce qui se passe dans notre environnement - proche ou plus lointain - ne peut pas nous enrichir. Et c’est ce double mouvement-là qui nous fait dire que l’on est ouvert au monde et dans le même temps, profondément enraciné dans la société réunionnaise.
C’est pour cela que nous avons inscrit dans notre Charte : « C’est cette prise en compte de notre situation spécifique et de ces bouleversements qui a permis de fonder ce parti profondément enraciné dans la société réunionnaise, ouvert au monde, et cultivant la solidarité avec les peuples du monde entier ». C’est tout cela qui nous guide, en soulignant que l’on doit faire la part du positif dans les actions menées par notre parti depuis 1959.

Mais quand on dit "positif" ou "négatif", n’est-ce pas se positionner en juge ?
Élie Hoarau : Là, effectivement, une mise au point s’impose. Il est hors de question, pour nous, d’être le tribunal de l’Histoire du parti ou de l’Histoire réunionnaise, ou des deux. Par contre, il est important que l’on jette un regard approfondi sur cette époque et que l’on fasse le débat le plus large sur cela, parce que cela nous aidera à mieux comprendre ce qui a guidé et ce qui a inspiré ceux qui, à ce moment là, et par rapport à la situation de l’époque, ont pris telle ou telle option.
Il est peut-être possible de tirer des leçons de tout cela, même si les situations ne sont pas identiques, car aucune situation n’est identique. Mais on peut éventuellement y trouver les solutions plus appropriées aux étapes décisives à venir. On peut le faire en s’inspirant des avancées obtenues dans le passé, à partir de prises de position mais aussi des nouvelles contradictions que cela a générées.
À titre d’exemple, certains soulignent : "est-ce qu’à l’époque, il était opportun d’avoir transformé La Réunion en département, puisque la départementalisation a conduit à un certain nombre de blocages ?...."
À ce sujet, on ne peut pas avoir une approche binaire, "le bien/le mal". C’est pour cela qu’on pense qu’il faut qu’on s’appuie sur cette évolution et sur cette contribution du Parti à cette évolution pour mieux comprendre pourquoi on a dû s’adapter à des moments, en fonction des exigences posées par une population. Par exemple, une exigence d’intégration, compte tenu du "couvercle" qui était mis sur les mouvements revendicatifs.
C’est aussi, par exemple, la liberté d’expression ; ainsi, c’est à peine avant 1981 qu’un député réunionnais au Parlement européen a pu s’exprimer à la télévision, et seulement parce qu’il était élu local, maire du port, mais pas parce qu’il venait d’être élu député au Parlement européen.

Voulez-vous dire que le passé se répète ?
Pierre Vergès : Ce que nous voulons dire, c’est comment s’inspirer des batailles de cette époque, pour mesurer qu’il peut y avoir une continuité, dans notre démarche ? Parce qu’à l’époque, notre démarche était déjà exemplaire. Peut-on aujourd’hui, éviter un retour en arrière, effectué au titre d’une nécessité électoraliste ou politicienne ? Je pense par exemple au fait de ne plus se battre pour la liberté d’expression de chacun, au motif que celui qui, non content de porter la critique, tombe dans l’insulte... Je pense au moment où, face à un danger qui menaçait un journal, "le Quotidien", le PCR a été le seul à se battre pour que ce journal puisse vivre. Ce que les gens retiennent, c’est que c’est le parti communiste qui s’est battu pour que ce journal vive.
Quand le PCR a défendu "Le Quotidien", le PS existait à peine et bien évidemment, la droite ne s’est pas battue. Il y a des valeurs défendues à l’époque sur lesquelles on doit encore débattre aujourd’hui. Nous disons qu’il faut que ce débat existe, que ce débat soit le plus large possible, qu’il se pose sur l’évolution de la société et l’évolution du parti, sur tous les plans, culturels ou autres.

Comment avez-vous posé les principes ?
Claude Hoarau : Nous avons fixé des principes de deux ordres : collectif et individuel. Ce sont des principes auxquels on adhère. Mais il faut qu’il y ait une définition de ces principes, c’est donc la concrétisation d’une démarche : au lieu de faire le débat chacun dans son coin, allons le faire ensemble. Au lieu de s’en remettre aux autres et de juger, impliquons-nous et enrichissons à ce moment la définition de ces principes.

Et le premier principe, c’est l’égalité ?
Élie Hoarau : C’est l’égalité sociale, collective et économique. Mais quand on parle de la nécessité pour La Réunion d’avoir l’égalité économique, l’économique doit s’entendre sur quelle base ? L’égalité de la région Réunion par rapport aux régions de France ? Et comment concilier ce principe d’égalité économique avec le principe de codéveloppement que l’on affirme essentiel dans la nécessaire insertion indocéanique ?
Nous exigeons une attitude exemplaire de La Réunion dans l’insertion indocéanique ou dans notre possibilité de dynamisation de l’économie de Madagascar.
Mais en retour, admettons-nous que des Malgaches puissent participer au développement économique de La Réunion ? Est-ce cela aussi - ou non - l’égalité économique ? Cela nécessite un débat pour savoir jusqu’où l’on pousse la réflexion, non seulement sur ces principes collectifs, mais également sur ces principes individuels de loyauté et de solidarité.
C’est pourquoi nous disons que, compte tenu de ces problématiques fortes, ces principes doivent être sans cesse débattus, « afin d’en faire les racines d’une société équitable, condition essentielle de la mise en œuvre d’un développement durable ».
Là encore, les défis à relever sont énormes, à partir du moment où l’on ne restreint pas le cadre dans lequel ce développement durable doit s’instaurer.

Et quel est ce cadre ?
Claude Hoarau : Justement, est-ce celui de La Réunion par rapport à l’Europe ? Celui de La Réunion intégrée dans un environnement indocéanique ? Mais alors, quelles sont nos responsabilités par rapport à cet environnement indocéanique, qui connaîtra lui aussi une évolution démographique forte ? C’est au terme de ce raisonnement qu’ont été posées dans la Charte un certain nombre de règles.
On peut appréhender cela de deux façons différentes : d’une part, faire de l’auto-satisfaction et se dire : "vous voyez, nous avions raison" - et c’est une attitude qui explique que souvent les élus n’ont pas "bonne presse" - ; et d’autre part, instaurer une autre démarche qui consiste à dire que, dans ce cadre là, comme il est dit dans la Charte, on vient pour participer au débat et pas se poser en censeur.
On vient pour travailler. Et pour parvenir à cet objectif, nous avons souligné que « en adhérant à cette Charte, tout signataire reconnaît que nul n’a vocation à briguer un mandat électif au nom de l’organisation, sous prétexte qu’il (qu’elle) est un responsable ».
C’est donc bien l’objectif de devenir ainsi acteur et ne pas rester simple spectateur de ce qui se passe tout en ayant une conclusion définitive sur le sujet.

Ce sont des principes fermes et définitifs ?
Claude Hoarau : Comme cela a été souligné auparavant, ces principes doivent être sans cesse débattus. Nous n’avons pas la prétention de faire que tous ces principes soient respectés sous peine de voir s’appliquer une sanction majeure. Là encore, qui peut s’ériger en juge ? Mais ce n’est pas parce qu’un effort permanent sera nécessaire pour respecter ces règles, compte tenu des dérives, qu’on ne doit pas fixer ces règles

Tout le monde peut débattre de tout ?
Pierre Vergès : En effet, les termes du débat doivent être guidés par : « aucun sujet ne peut être considéré comme tabou » et « chaque participant, considéré comme égal à tous les autres, détient une part de vérité ».
Le débat est donc permanent. Mais il sera manifestement ponctué par des étapes, consacrant des thèses approfondissant le contenu de la Charte. Mais ce serait aller à l’encontre même de la Charte que de définir d’ores et déjà des étapes, voire des dates d’étapes, alors même que les signataires de cette Charte, donc les adhérents, sont invités à enrichir ce débat et à discuter justement de ces étapes.
Là encore, ceux qui veulent ironiser n’ont qu’à le faire, mais nous préférons qu’il y ait cet engagement de parvenir à ces étapes, plutôt que de déterminer dès à présent le fait qu’il va y avoir un congrès à telle heure de tel jour dans telle année...
Nous pensons que notre démarche va beaucoup plus loin que cela.

Et l’adhésion à l’euro symbolique ?
Élie Hoarau : L’adhésion était auparavant basée sur le niveau contributif des membres. Nous avons estimé qu’il peut y avoir un effort contributif de ces personnes de manière volontaire, dans tel ou tel cas : pour des sorties, des souscriptions par exemple. Mais la valeur de leur adhésion, quelle que soit leur situation sociale, est la même, puisque leur contribution est la même. La contribution d’un euro symbolique.
Tout comme sont les mêmes, avec les mêmes valeurs, les signatures d’adhésion à cette Charte et l’acceptation d’un certain nombre de principes directeurs, de droits et d’engagements. Les mêmes pour tous.
Et ceci, en dehors de ce que l’on pourrait appeler des "problématiques locales", comme les élections municipales, cantonales ou autres... Ou des problématiques conjoncturelles, comme les mouvements politiques pour telle ou telle revendication. Elles nécessitent un effort financier particulier.
Cela fera appel à des initiatives particulières et non plus au fait que cela soit basé sur une contribution dès l’adhésion. Cela peut faire l’objet d’initiatives localisées des uns ou des autres.

Par exemple ?
Claude Hoarau : Si tel ou tel membre de notre organisation veut s’engager dans l’édition d’un journal local régulier, cela relèvera de son analyse des nécessités locales, et cela consacre quelque peu une autonomie d’action et relativement une autonomie financière.
Mais comme nous l’avons souligné, les principes de cette Charte d’adhésion doivent là aussi être pris en considération, pour que le principe de solidarité se manifeste à l’intérieur de notre organisation, dont les actions se portent à l’échelle réunionnaise et non pas une échelle "cantonalisée" ou municipalisée.
Donc on ne craint pas une pseudo dérive sur la valeur "supérieure" de telle ou telle portion localisée de notre organisation en fonction du nombre de ses adhérents.

L’organisation et le mode de fonctionnement du Parti Communiste Réunionnais vont-ils être modifiés ?
Pierre Vergès : Cela est ouvert. Mais comme on l’a souligné, il faut tenir compte de l’Histoire de notre parti pour mesurer si cela a pesé aussi sur l’évolution de la société réunionnaise.
L’organisation en cellules a permis au Parti une implantation territoriale cohérente et plus ou moins équilibrée, et répondait ainsi aux attaques très dures portées par le pouvoir des media, des opposants politiques, à une époque donnée.
Aujourd’hui, la situation est plus complexe dans notre société réunionnaise, et cela doit nous amener à nous interroger sur le point de savoir si une approche territorialisée reste la meilleure des solutions.
Ne doit-on pas aussi prendre en compte une approche spécialisée des problèmes pour tenir compte des possibilités d’échanges rapides qui n’étaient pas aussi vulgarisées à l’époque ?
Par exemple, les réunions publiques étaient la règle pour propager notre analyse, au-delà des réunions de cellule. Cela se faisait donc dans un contexte donné. Celui-ci a profondément changé. Cela ne peut pas nous conduire à exclure les réunions publiques mais cela exige que l’on prenne en compte d’autres moyens pour faire passer notre message. Et l’on pourrait multiplier les exemples ainsi, pour encore plus concrétiser l’évolution de notre parti.
Car si le PCR joue encore un rôle dans ce monde politique réunionnais, c’est bien parce que nous avons évolué. Mais il est important que l’on dise cela, compte tenu des responsabilités à venir, qui nécessitent que notre capacité d’évolution soit encore plus forte.

Messages

  • ET "COMPRENDRE... C’EST COMPRENDRE QU’ON N’AVAIT PAS COMPRIS"

    ... disait mon prof de philo citant Jaspers ! (qui était bien plus fin qu’Onfray !).
    Donc, je vois que Claude est encore obligé de ferrailler avec ceux qui de toute façon n’ont pour seule raison de vivre que de "faire désespérer Billancourt" et de condamner tous ceux qui sont nos compagnons de route et de misère...
    Décidément il ne s’est pas passé grand chose de nouveau durant mon bref séjour d’hosto, à part la capture immonde de Césare BATTISTI !
    Je vais aller voir au Fou !
    Fraternellement à toi, Claude,

    NOSE

  • Il n’y a plus de temps pour le blablabla insensé ! La droite et la gauche c’est absolument pas pareil quoi qu’en dise le PCR. On ne peut pas le comprendre dans ces conditions-là.

    A bas le nombrilisme.

    Votez et faites voter MGB ! C’est la priorité des priorités.

    Pierre (PCF)