Collectif de familles de victimes décédées dans
l’attentat du 8 Mai 2002 à Karachi
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Collectif de familles de victimes décédées dans l’attentat du 8 Mai 2002 à Karachi. Soutenez nous en signant la pétition ici
Collectif de familles de victimes décédées dans
l’attentat du 8 Mai 2002 à Karachi
Affirmant ainsi leur conviction qu’il est nécessaire de persévérer sur la piste d’un attentat perpétré en représailles à l’arrêt de versement de commissions liées au contrat Agosta, les juges anti-terroristes Marc Trévidic et Yves Jannier ont demandé au gouvernement, le 1er juillet, la levée du secret « défense » sur « l’ensemble des documents » susceptibles d’éclairer leur enquête.
Nicolas Sarkozy, qui s’est exprimé sur la mort des moines de Tibéhirine au lendemain d’un fait nouveau dans l’enquête, a déclaré : « Je veux la vérité. […] Je suis vraiment déterminé à ce que la lumière soit faite. […] Naturellement, je léverai le secret défense sur tout document que nous demandera la justice. »
Nous déplorons que le Chef de l’Etat ne se soit pas prononcé de manière si spontanée concernant la demande de levée du secret « défense » dans l’enquête sur la mort de nos proches.
Par conséquent, nous réitérons notre demande d’audience au Chef de l’Etat afin qu’il nous réaffirme la volonté solennelle de l’Etat français que rien ne viendra s’opposer à la recherche de la vérité et que le crime de nos proches ne restera pas impuni.
Aidez nous dans ce sens en signant la pétition « NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI ! »
En Avril 2008, l’ensemble des familles de victimes de l’attentat du 8 Mai 2002 à Karachi était reçu, par Le Président Nicolas SARKOZY alors qu’une instruction était en cours au Tribunal de Grande Instance de Paris depuis plusieurs années.
Il s’était alors engagé à nous informer des avancées de l’enquête et à nous recevoir chaque année pour nous assurer de la volonté de l’Etat français que toute la vérité et la lumière soient faites sur cet acte criminel odieux.
A la suite des révélations parues dans plusieurs grands quotidiens nationaux courant décembre 2008, nous avons souhaité être à nouveau reçu par le Président de la République à l’Elysée comme il s’y était engagé.
Le 20 Janvier 2009, Le Chef de l’Etat nous fit savoir de manière stupéfiante, par l’un de ses plus proches conseillers, qu’il ne pouvait faire droit à cette demande puisqu’« en application du principe constitutionnel de séparation des pouvoirs, le chef de l’Etat ne peut intervenir dans le cours d’une procédure judiciaire ».
C’est à se demander si ces mêmes principes n’étaient pas présents à l’esprit du Chef de l’Etat lorsqu’il nous avait reçus en Avril 2008.
Face à notre incompréhension, nous avons réitéré notre demande d’être reçu par le Chef de l’Etat le 8 mai 2009, cette requête est restée sans réponse à ce jour et pour cause….
En effet, le 18 Juin 2009, lors de notre rencontre à Cherbourg avec les Juges d’Instruction en charge de l’information, ceux-ci nous informaient notamment du fait que le mobile de l’attentat pouvait être lié à l’arrêt du versement de commissions du fait de l’existence de rétrocommissions illicites en relation avec la vente de sous-marins au Pakistan. Cette décision de ne plus honorer la parole de la France ayant été prise sous la Présidence de Monsieur Jacques Chirac.
Le lendemain, soit le 19 Juin 2009, Le Président Nicolas Sarkozy déclarait en réponse à une question d’un journaliste de l’AFP : « C’est ridicule […] C’est grotesque […] Qui peut croire à une fable pareille ? ».
Nous demandons instamment au Chef de l’Etat de tenir ses engagements à notre égard et de nous recevoir afin qu’il réitère la volonté solennelle de l’Etat français que rien ne viendra s’opposer à la recherche de la vérité et que le crime de nos proches ne restera pas impuni.
Soutenez nous en signant la pétition ici
Messages
1. PÉTITION : NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI !, 9 juillet 2009, 07:22, par didier.c
L’accusation de « mensonge » formulée par le président français, Nicolas Sarkozy, à l’encontre des autorités algériennes après les « révélations » du général à la retraite François Buchwalter sur l’assassinat des moines de Tibehirine en 1996, a pour résultat de replonger les relations algéro-françaises dans une nouvelle spirale de turbulence, avec très certainement à la clef l’annulation de la visite d’Etat que le président Bouteflika doit effectuer à Paris dans les mois prochains en principe.
Le président français ne pouvait ignorer qu’en reprenant à son compte les « révélations » du général à la retraite, il allait susciter la tempête en Algérie, et cela à un moment où les autorités de ce pays ont émis le signal qu’elles mettaient en sourdine la guerre mémorielle qu’elles ont menée pour obtenir de la France la repentance sur les crimes dont elle s’est rendue coupable durant la période coloniale. Il faut croire que Sarkozy ne tient pas autant qu’il l’a prétendu à la réconciliation entre son pays et l’Algérie. Peu lui importe donc de soulever des vagues dont les rapports franco-algériens vont pâtir.
Il y a lieu d’essayer de décrypter les bénéfices qu’il espère tirer de l’exhumation de cette affaire des moines de Tibehirine, même au prix d’une fâcherie durable avec Alger. Le président français semble avoir en ligne de mire les autorités algériennes auxquelles il a fait, à sa manière cavalière, une « leçon de morale » en leur assénant le principe que « les relations entre les grands pays s’établissent sur la vérité et non le mensonge ».
Mais c’est à un tout autre objectif qu’il a voué la réouverture du dossier de l’assassinat des religieux français en Algérie.
Pour le comprendre, il faut se souvenir qu’il y a peu, d’autres « révélations » ont agité la scène politico-médiatique française. Donnant pour cause, celles-là, un sombre règlement de compte à l’attentat qui a coûté la vie à une dizaine d’ingénieurs et techniciens français travaillant au Pakistan dans le cadre d’un contrat d’armement entre la France et ce pays. Les auteurs de ces « révélations » ont laissé entendre que cet attentat n’était pas le fait de terroristes islamistes et avancé l’hypothèse que des milieux officiels français n’y seraient pas étrangers, sur fond de guerre pour l’appropriation des dessous de table auxquels a donné lieu ce contrat. La piste donc d’une guerre souterraine franco-française a été développée. D’un côté, le clan des balladuriens, et de l’autre celui des chiraquiens.
Il a été suggéré avec insistance que Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget et homme clef du premier clan, aurait été mêlé à cette sombre et sanglante magouille. Interpellé en tant que chef de l’Etat sur cette affaire, Nicolas Sarkozy est monté sur ses grands ergots pour dénoncer « l’irrationalité et la fausseté » des « révélations » faites autour d’elles. Il n’a néanmoins nullement promis la levée « du secret défense » sur les documents qui pourraient apporter la lumière sur l’attentat des coopérants français. Il s’est empressé de promettre cette levée concernant celui dans lequel sont morts les moines de Tibehirine.
Parce que dans cette affaire, sont concernés des responsables français appartenant au clan chiraquien, qu’il soupçonne d’être à l’origine des « révélations » qui l’ont éclaboussé. Notamment Alain Juppé, le Premier ministre à l’époque, en qui il voit également son rival potentiel à l’élection présidentielle de 2012.
En somme, la relance de l’affaire des moines de Tibehirine a cet avantage pour Sarkozy qu’elle met en accusation ses adversaires, tout en faisant oublier celle de l’attentat de Karachi. Et peu importe qu’au passage les relations algéro-françaises en subissent l’effet destructeur.
Et dans le pays où la presse est, nous dit-on, indépendante et libre, l’occultation de la seconde est déjà chose faite.
1. PÉTITION : NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI !, 9 juillet 2009, 16:29
C’est clair, Sarkozy essaie de sauver sa peau !
Ce qui m’étonne c’est qu’il fasse appel à Juppé, chiraquien, pour réfléchir sur l’emprunt d’état à venir ! Est-ce que ce n’est pas pour brouiller un minimum les pistes ?
2. PÉTITION : NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI !, 9 juillet 2009, 09:35
Quel a été le budget de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur en 1995 ?
Le compte de campagne de M. Edouard Balladur est arrêté comme suit (en francs) :
– Dépenses : Mandataire : 83 846 491 ; Partis politiques : 5 929 628 ; Avantages en nature : 0 ;
Total : 89 776 119 francs.
– Recettes : Mandataire : 85 676 060 ; Partis politiques : 5 929 628 ; Avantages en nature : 0 ;
Total : 91 605 688 francs.
http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/les-decisions/depuis-1958/decisions-par-date/1995/compte-balladur-1995/decision-compte-balladur-1995-du-11-octobre-1995.10707.html
Rappel : Edouard Balladur ne pouvait pas compter sur l’aide financière de son propre parti politique, le RPR. En effet, pendant la campagne présidentielle de 1995, le RPR finançait le candidat Jacques Chirac.
Question : en 1995, où le clan Balladur-Sarkozy a-t-il trouvé ces 90 millions de francs ?
3. PÉTITION : NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI !, 9 juillet 2009, 11:03, par El Toro
La Fable : :
Les confidences américaines
25/06/2009 (liberation)
... Randall Bennett, responsable du service de sécurité diplomatique de l’ambassade des Etats-Unis. Cet enquêteur américain dirige alors depuis quatre mois une cellule d’investigation travaillant en étroite collaboration avec la police pakistanaise pour tenter de retrouver les assassins du journaliste Daniel Pearl. Il répercute à Michel Debacq les confidences que ses équipiers ont recueilli auprès de leurs collègues pakistanais. Selon eux, l’attentat ne serait pas imputable à Al-Qaeda et ne serait pas lié aux tensions entre des groupes islamistes et des puissances occidentales. Le mobile serait à rechercher dans la coopération bilatérale pour la vente et la construction des sous-marins.
Un courriel émanant d’un adjoint de Bennett, versé au dossier, confirme que dès le 9 mai les policiers locaux privilégient cette analyse. À l’exception de ce courriel, tous les procès-verbaux provenant de ce transport judiciaire à Karachi seront annulés en 2003 par la cour d’appel de Paris, pour vice de compétence territoriale. Simple problème de procédure regrette-t-on alors à la chancellerie. Mais jamais on ne tentera de reconvoquer Randall Bennett pour recueillir dans de meilleures conditions, à Paris, ses informations. Pourtant, l’homme ne se cache pas. Il y a quelques mois, nous avons retrouvé sa trace alors qu’il travaillait pour l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad.
07 juillet 2009 le Scoop TF1
de (Michel Scott) Grand reporter de TF1
Attentat de Karachi - Randall Bennett : “C’était bien Al-Qaïda”
Contacté par TF1, l’enquêteur américain chargé de l’affaire Pearl dément avoir lié l’attentat de Karachi et le non-respect d’un contrat d’armement.
Randall Bennett : "C’était bien Al-Qaïda"
est ce l’oeuvre de mon imagination , ou des choses étranges ce passe ??
4. PÉTITION : NON AU MEPRIS DU CHEF DE L’ETAT A L’EGARD DES FAMILLES DES VICTIMES DE L’ATTENTAT DE KARACHI !, 9 juillet 2009, 11:52, par LILAS
IL FAUT QUE LA FRANCE ENTIERE VOUS SOUTIENNENT devant un tel scandale par la faute de maffieux « « EN HAUT LIEU « « 11 hommes tous pères de famille sont morts pour des magouilles de frics. DES MILLIARDS D’EUROS sont détournès pour que ses messieurs vivrent dans la luxure pendant que d’autre crève de faim et de froid.
Quand je pense qu’un certains PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SE DIT PROPRE
QU’ IL N’A JAMAIS TREMPE DANS UNE AUCUNE AFFAIRES( LA IL FAIT SOURIRE LA FRANCE ENTIERE voir même le MONDE ) facile pour lui puisque il étouffe LES AFFAIRES avant que le scandale arrive pour preuve un ancien juge d’ instructions été un ami UMP donc pour lui facile de faire table rase sur les dossiers trop gênant pour l’état français
SIGNEZ TOUS LA PETITION POUR FAIRE CESSER TOUTES LEURS MAGOUILLES