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Photos d’enfants palestiniens victimes des bombardements israéliens du 10 juin

Publie le samedi 10 juin 2006 par Open-Publishing
6 commentaires

Photos d’enfants palestiniens victimes des bombardements israéliens du 10 juin

Messages

  • Et j’ai appris que l’armée américaine faisait visiter le village dans lequel Abou Moussab Zarkaoui a été tué.

    De bien belles images à venir, donc, produites par des médias aux ordres.

    Par contre les images de cet article ne peuvent que difficilement passer avant une page de pub, juste avant le prochain match de foot.

    Trop déprimant, tu vois, pas assez accrocheur.

    ça donne plutôt envie d’éteindre sa télé.

    Car ces images provoquent tristesse et dégout.
    Et pas de haine contre Israel, non, juste une impression diffuse que c’est toujours les plus faibles qui souffrent.

    Dans quelques jours on apprendra sans doute qu’une bombe a explosé dans un marché de Tel-Aviv, tuant encore un enfant, israelien celui-la.
    Et cela continuera, encore, encore...

    Dans le flash REUTERS copié ci-dessous, on constate que le rédacteur se répand lourdement sur une histoire de sous-vetement féminin, sans doute pour insinuer quelque chose, mais je ne vois pas quoi...
    (Ce "Michael Georgy" pense peut-être qu’aimer les sous-vetements féminins est un indice qu’on est dans l’axe du mal, putain j’espère que la CIA ne m’a pas mis sur écoute)

    (jyd)


    Reuters 10.06.2006 - 11:38

    par Michael Georgy

    HIBHIB (Reuters) - L’armée américaine a organisé pour la presse une visite de la maison dans laquelle Abou Moussab Zarkaoui a été tué trois jours plus tôt, à Hibhib, village de la province Diyala proche de Bakouka, 70 km au nord de Bagdad.

    Sur le site bordé de palmiers, les journalistes ont pu constater que l’"émir" d’Al Qaïda en Irak et ses compagnons, apparemment amateurs de tenues féminines légères, vivaient dans des conditions spartiates.

    Témoins de ces conditions de vie, deux fins matelas étaient visibles au milieu des débris de béton et de métal disséminés par les deux bombes d’un quart de tonnes, qui ont pulvérisé la maison, mercredi, tuant ses six occupants.

    Peu de choses attestent en revanche de l’idéologie extrémiste de Zarkaoui, auquel plusieurs centaines de morts ont été imputés. Un tract semble néanmoins signaler une station de radio de Latifiya, au sud de la capitale, en tant que cible.

    A quelques pas, se trouve un portrait de l’ancien président américain Franklin Roosevelt, sur une page de magazine. Sous des blocs de béton apparaît une chemise de nuit léopard, parmi d’autres déshabillés féminins.

    Le bilan américain fait état de trois femmes parmi les tués. Une fillette de huit ans figurerait parmi elles, selon un officier irakien.

    Selon l’armée américaine, Zarkaoui lui-même n’a pas succombé immédiatement à ses blessures et aurait tenter d’échapper à sa capture en voyant les soldats américains, arrivés après la police irakienne.

    "Je me sens bien. Zarkaoui est mort. Merci à l’Amérique !", lance un militaire irakien, balayant du regard les lieux ou l’ex-ennemi public numéro un a peut-être fomenté ses attentats les plus meurtriers.

    Les militaires américains sur place racontent quant à eux qu’ils ignoraient sa présence sur le site jusqu’au matin qui a suivi l’opération, bien qu’ils aient été alertés.

    Le président américain George Bush a estimé vendredi que la mort du chef de file de la guérilla islamiste ne mettrait pas fin aux violences, mais qu’elle y contribuerait beaucoup.


  • C’EST ABOMINABLE...

    Toute cette douleur ; toute cette impuissance face à l’arbitraire du criminel...

    C’est insupportable : il faut montrer tout çà à ceux qui sont chargés de faire respecter la légalité internationale !

    NOSE DE CHAMPAGNE