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Police - Répression

  • L’insécurité dont on ne parle pas (6) : la prison, ou le non-droit au cœur du droit
    19 novembre 2005 par (Open-Publishing)
    2 commentaires

    de Pierre Tévanian
    Si les formules "zone de non-droit" ou "zone d’infra-droit" ont un sens, c’est lorsqu’on parle des prisons. En effet, la prison n’est censée être qu’une privation de liberté ; or, en plus des violences commises par des "matons" (qui peuvent aboutir à des décès qualifiés de "suicides" [1]), sur lesquelles n’existent que les témoignages des détenus, il existe de multiples formes de violence subies au quotidien par les détenus, et qui peuvent être quantifiées de manière (…)

  • L’insécurité dont on ne parle pas (5) : Des homicides nommés bavures
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)
    2 commentaires

    de Pierre Tévanian
    Les lignes qui suivent proposent un aperçu de la violence policière sous sa forme la plus radicale : l’homicide. Elles rappellent également l’impunité quasi-complète dont bénéficie cett violence.
    Les réfugiés, comme les sans-papiers, vivent une profonde insécurité. Eux aussi subissent des violences sans s’attirer la compassion de nos dirigeants. Eux aussi voient ces dirigeants chercher des excuses aux coupables, quand ils ne les félicitent pas. Il faut en effet le (…)

  • Véronique Dutriez, l’une des responsables en Alsace du MRAP nous a quitté...
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)
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    Véronique Dutriez nous a quitté. Georges est grièvement blessé. Ils sont tombés sous la balle d’un fou. (Voir la dépêche de l’AP ci ­dessous).
    Georges Federmann, médecin des pauvres, militant actif du réseau Résistons ensemble, des sans-papiers, des Roms, de la cause des Palestiniens, de tous les exclus.... Il a poursuivi les ministres Mattéi et Douste-Blazy pour manquement aux devoirs de médecins, à propos des mesures de casse de l’AME. Véronique Dutriez, sa compagne, était responsable (…)

  • Non au régime d’exception : manif unitaire à Lille mardi 22
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)
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    Non au régime d’exception Pour un état d’urgence sociale
    Des associations, des syndicats, des partis politiques, appellent à une manifestation à Lille, le mardi 22 novembre, à 18h30, contre l’instauration de l’état d’urgence.
    On ne répond pas à une crise sociale par un régime d’exception. La responsabilité fondamentale de cette crise pèse, en effet, sur les gouvernements qui n’ont pas su ou voulu combattre efficacement les inégalités et les discriminations qui se cumulent dans les (…)

  • LYON : COMMUNIQUE DE L’ASSEMBLEE GENERALE ETUDIANTE DU 17 NOVEMBRE 2005
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)

    Les étudiants de l’Université Lyon 2, réunis en Assemblée Générale ce jeudi 17 novembre, ont décidé de résister à l’ensemble des mesures répressives, liberticides et antisociales du gouvernement.
    Nous exigeons : L’abolition de la loi instituant un état d’urgence, loi héritée du colonialisme et confisquant l’ensemble des libertés, donnant potentiellement tout pouvoir au pouvoir politique et policier ( contrôle de la presse, interdiction de se réunir et de manifester, bouclage de quartiers (…)

  • Nantes : rassemblement de nos luttes le 26-11
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)

    RASSEMBLEMENT DE NOS LUTTES SAMEDI 26 NOVEMBRE 2005 à 15H00 PLACE DU CIRQUE (arrêt place du cirque ligne 2)
    Sarkozy et le gouvernement, ça suffit !
    Non à la surenchère sécuritaire comme réponse à l’insécurité sociale Halte aux idées d’extrême droite
    Aujourd’hui, le discours d’ordre remplace la construction d’un autre avenir pour des populations qui constatent qu’elles n’en ont aucun. Les affrontements actuels sont les révélateurs d’une crise sociale dont le gouvernement est (…)

  • Qui veut des biens mafieux ?
    18 novembre 2005 par (Open-Publishing)
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    de Jean-Jacques Bozonnet
    Un jour presque ordinaire dans l’Italie profonde : mardi 15 novembre, les carabiniers ont confisqué, près d’Avellino, dans la région de Naples, une propriété appartenant à un clan de la Camorra. La maison est un véritable bunker ceint d’un rempart de béton armé et doté d’un système sophistiqué de télésurveillance. Rangées sur le parking privé, 19 automobiles, dont 3 blindées. Cet édifice, construit avec de l’argent sale, a vocation à devenir un jour une caserne, (…)

  • Etat d’exception prolongé ? Quelles peuvent être les vraies raisons ?
    17 novembre 2005 par (Open-Publishing)
    1 commentaire

    Les violences dans les banlieues ont entraînées la mise en place d’une loi d’exception qui par décret simple, établit l’état d’exception. Même en mai 1968, le gouvernement Pompidou n’avait pas osé user de cette mesure quasi - guerrière. Le prolongement, au - delà des 20 jours doit être autorisé par voie législative et ce pour une durée de 3 mois. De 2 choses l’une. Ou bien l’on pense que les violences dans les banlieues vont se poursuivre et alors l’on a un « outil » disproportionné ?.
    Ou (…)

  • Qui s’emploie à détruire la République en vue d’instaurer une dictature sécuritaire ?
    17 novembre 2005 par (Open-Publishing)

    Bonsoir,
    Un internaute dit à juste titre : "Car ce qui est en jeu c’est celà : L’avenir de centaines de milliers de jeunes dans les banlieues et également éviter que des affrontements beaucoup plus violents resurgissent ."
    Bien. Mais à qui profitent ces violences urbaines ? Les sondages nous le disent clairement, à Sarkozy et à Le Pen. Certes,on peut légitimement douter de la validité de ces sondages au présent et au futur. Ce qui ne changent rien de fondamental quant à ceux qui (…)

  • Violences urbaines : Le positif dans les émeutes, les perspectives (zaz)
    17 novembre 2005 par (Open-Publishing)

    1er Rappel : Pour une meilleure vision du monde et des choses, voici, tirées de l’actualité, en version zaz, quelques infos soumises mine de rien à votre éminente réflexion politique
    2e Rappel : Un zaz se définit comme un bon mot mauvais Ok, certains sont atroces, mais c’est le principe qui le veut
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    Un premier gros apport des récentes émeutes, c’est que les flics vont devenir vachement plus sympas encore qu’avant 1° D’abord, parce que ça a permis de mieux se (…)