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Planète multicolore, Europe multicolore, France multicolore, Evry multicolore.... Les éléments déterminants de la vie des hommes à l’époque actuelle sont les brassages ethniques, l’interculturalité, les choix planétaires à faire ensemble.
Il est donc important que chaque cité se connaisse, s’interroge sur les problèmes de discrimination et d’intégration des immigrés et transmette les résultats de ses recherches et de ses pratiques.
Brice Arsène Mankou, rend compte ici des efforts d’Evry Ville Nouvelle ; il joint l’analyse conceptuelle à celle des pratiques et des réalités vécues par les populations immigrées ou issues de l’immigration.
Immigré lui-même, l’auteur s’interroge au préalable sur les diverses causes des discriminations et sur les moyens de les éradiquer pour arriver à une société plurielle harmonieuse.
Brice Arsène MANKOU, ancien journaliste à la Semaine Africaine, est né le 03 août 1972 à Brazzaville.
Après ses études universitaires à l’Université de Brazzaville, il arrive en France où il vient d’obtenir un Master en Citoyenneté, Droits de l’Homme et Action humanitaire à l’Université d’Evry Val d’Essonne.
L’accueil reçu dans cette ville l’a conduit à écrire cet ouvrage. Auteur du livre : "Massacre des enfants du Congo Brazzaville : La responsabilité de l’Etat et des leaders politiques" aux Editions Jeunesse et Droit-liège 2002, Brice Arsène MANKOU conduit ses recherches universitaires sur les questions d’intégration des immigrés, et de pratique de la diversité culturelle en France à l’Université " de Lille 1 où il prépare un doctorat en sociologie politique.
Messages
1. > Pour une France Multicolore, 15 décembre 2005, 14:55
Bonjour à tous
Pas de métissage = Consanguinité
Consanguinité = Dégénéréscence
Apprécions les différences pour mieux "évoluer"
de la part d’un sang-mélé possédant un passeport Français
2. > Pour une France Multicolore , 16 décembre 2005, 23:02
Je suis effrayé par cette acceptation de ces idées d’extrême droite, et que faire ? Notre belle (soit disante) république nous parle d’intégration, mais les personnes sont intégrées que si elles correspondent au marchés, aux besoins des entreprises ou de la patrie.
Nous vivons dans un monde de plus en plus utilitariste, et celui ou celle qui vient déranger les intérêts individualistes est rejeté. La gratuité a de moins en moins de place. Alors, que faire ? manifester ? Distyribuer des tracts ? Ne rien faire ?
Créer des zones de gratuité , ou il n’y a que le don, apprendre des chjansons d’autres pays, apprendre au moins des rudiments d’autres langues, créer des liens d’amitié, participer à des AMAP, créer des liens d’amitiés ouverts, savoir perdre du temps au lieu d’être rentable, c’est peut-être dérisoire, c’est même dérisoire, mais dans cette période dure, c’est énorme. Je ne sais faire que ça, je n’ai plus la force de manifester, et de toute faàçon, on peut guieuler, on ne sera pas écouter. par contre, je crée, je décide de ne pas subir ma vie, et ça met déjà des bougies dans ce monde sombre.
Dominque