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QUAND UNE LOI EST INJUSTE NOUS NOUS DEVONS DE LA COMBATTRE

Publie le lundi 15 février 2010 par Open-Publishing
1 commentaire

AUX DAMNÉS DE NOTRE MONDE, ZAPPÉS DANS L’INDIFFÉRENCE
il n’y a pas un seul pays où je ne sois pas un étranger ( et pourtant je suis Palestinien)

Comme au temps mauvais des Préfets de la honte
relais d’un pitoyable Etat , persuadé que la France
est un consortium d’entreprises privées, patrimoine à l’usage unique
du capitalisme financier.
Pourfendeurs des droits
qui nourrissaient nos libertés, et motivaient nos désidératas.
La France aurait-elle gardée une certaine nostalgie de l’Etat issu
de la collaboration, que nous révèlent les quotas Hortefeux/ Besson ?
Qui s’apparentent étrangement a la sainte inquisition.

L’histoire du foulard n’est -elle pas monté de toutes pièces
Par un racisme décomplexé qui manipule les médias
n’est-il pas une machination prétexte d’une plus grande ségrégation.
en gestation. La France doit retrouver la force de ses belles convictions
Pour elle par milliers immigrés sans papier dans les guerres sont tombés
gratifiés aux couleurs de sous-france .

ils ont été de ceux qui ont restauré l’honneur perdu, de cette France.
Papon là trahie, salie, Jean Moulin à préféré lui, combattre les nazis.

Aujourd’hui au petit matin, on arrête, on menotte , on maltraite
comme au temps mauvais des collabos d’Etat.
Ça commence toujours comme ça, graduellement.
Ils postent leurs policiers musclés, à l’affût pour la traque
au nom de je ne sais quelle loi liberticide,
ils arrachent les enfants qui s’agrippent à leurs bancs d’ école
(d’une triste République) sans autre protocole que l’indésidérabilité Zélé
de tristes fonctionnaires d’un Etat au profil délétère qui brandissent la loi
comme à la Sainte Inquisition était brandi la bible et le bréviaire,
ou plus prosaïquement le sabre et le goupillon. Pau est aujourd’hui sous les affres d’un Préfet de combat qui se fait le chantre des expulsions de l’Etat. Olé ! le Roi de l’arène dans son habit de lumière. La presse locale fait état du conflit qui oppose la raison à l’Etat répression.
Apres une semaine de lutte, presque gagnée Sitti et Liouize, après
Un voyage forcé à Paris avec mise en Rétention, puis revenues ici
relâchées pour vice de procédure. Obligées de se cacher, n’assistant plus aux cours par peur de la police visible sur le campus. Le Préfet « justicier »
cramponné à l’Etat comptable de tous ces maux s’est promis de réussir
là ou l’Etat a lâché prise. Monsieur Rey pour ne pas le nommer,
attend un flagrant délit de résidence, sur le territoire Français. Les deux jeunes étudiantes au dire du Préfet n’offrent pas assez de garanties financières pour continuer leurs études en deuxième année de géographie.
La France n’à pas à être fière. Combien d’universitaires dans les territoires
et département d’Outre Mer , secrets d’Etat ?
Les facultés vont-elles redevenir le cercle privilégié, pour des enfants « bien » nées…
Circuler il n’y a rien à voir interdit aux chiens aux ouvriers aux étrangers de toutes couleurs.
Les deux jeunes étudiantes quant à elles l’Etat les poussent dans la clandestinité. Je ne dis pas que l’Etat les poussent à la faute, mais je les en croit capable.

Depuis quelques années des collectifs/associations …militent, dénoncent,
comme « Réseau Université Sans Frontière » et « Réseau Éducation Sans Frontière » Et aussi la « Ligue des Droits de L’homme » « le Mrap » et j’en oublie… des élus…
Et Tous mardi 16 à 18h,30 devant la préfecture de PAU

Messages

  • mon texte pose le problème de la discrimination du point de vue économique de la part du préfet et montre son acharnement sur les deux étudiantes et le régime des deux poids deux mesures appliqué dans cette confrontation qui ressemble a David et Goliate la suite nous dira si le préfet préfère la confrontation pour la confrontation ou une solution de repli intelligente ?

    Les deux jeunes étudiantes au dire du Préfet n’offrent pas assez de garanties financières pour continuer leurs études en deuxième année de géographie.?
    « Unesco 1960 » adopté le 14 décembre une convention qui définit ainsi le terme de « discrimination » « toute distinction, exclusion ou préférence qui fondée sur la race, la couleur, le sexe, la langue, la religion, l’opinion politique ou toute autre opinion, l’origine nationale ou sociale, la condition économique ou la naissance,a pour objet ou pour effet de détruire ou d’altérer l’égalité de traitement en matière d’enseignement. Concrètement, ce principe de non- discrimination concerne l’admission des élèves dans les établissements d’enseignement, l’interdiction de toute différence de traitement, les aides accordées par les autorités publiques aux établissements d’enseignement et le traitement des ressortissants étrangers."
    ce texte est clair il y a discrimination de la part du préfet, quant aux garanties financières. voir aussi la naissance et l’origine nationale .