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RETRAITS SUSPECTS UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004 !!!!!!!
Publie le vendredi 23 novembre 2007 par Open-Publishing4 commentaires
RETRAITS SUSPECTS
UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004
– Selon Marianne, le cabinet du ministre de l’Economie de l’époque avait demandé à la cellule anti-blanchiment de "mettre en attente" le dossier sur les retraits suspects effectués par Denis Gautier-Sauvagnac dans les caisses de l’organisation.
– Le cabinet de Nicolas Sarkozy a été informé en 2004, quand il était ministre des Finances, de retraits en liquide effectués par Denis Gautier-Sauvagnac dans les caisses de l’UIMM, affirme l’hebdomadaire Marianne, dans son édition de samedi 24 novembre.
Ces retraits, d’un montant de plusieurs millions d’euros, font l’objet d’une enquête de la brigade financière conduite sous l’autorité du parquet de Paris.
Marianne, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances, Tracfin, est saisie dès le printemps 2004 par BNP Paribas à propos d’importants retraits en liquide effectués par DGS dans les caisses de l’organisation, l’UIMM (patronat de la métallurgie), principale fédération du Medef.
– 900.000 euros en 2001
– Ces retraits à BNP Paribas se montaient, selon Marianne, à 700.000 euros en 2000, 900.000 euros en 2001, 700.000 euros en 2002, 600.000 euros en 2003 et 300.000 euros de janvier à mai 2004.
En juin 2004, le directeur adjoint de Tracfin, Jean-Marc Maury, en informe une première fois le cabinet du ministre de l’Economie et des Finances de l’époque, Nicolas Sarkozy, son autorité de tutelle, poursuit l’hebdomadaire.
En septembre de la même année, une note de Tracfin mentionnant que Denis Gautier-Sauvagnac poursuit les retraits en liquide est adressée au ministère dans l’attente d’un feu vert pour sa transmission à la justice.
– Ordre de mettre le dossier en attente
– D’après Marianne, Tracfin ne reçoit alors "aucune directive autorisant la saisie de la justice" et le cabinet de Nicolas Sarkozy lui demande de mettre le dossier "en attente".
Contacté par l’AFP, l’Elysée n’avait pas réagi vendredi à la mi-journée.
Nommé ministre des Finances en 2005 après un court intérim d’Hervé Gaymard, Thierry Breton "donne au patron de Tracfin la même consigne que Nicolas Sarkozy", affirme Marianne.
– D’après l’hebdomadaire, c’est en septembre 2007, soit trois ans plus tard, que le ministère des Finances donne, "avec l’accord de l’Elysée", son feu vert à Tracfin pour transmettre le dossier à la justice.
Messages
1. RETRAITS SUSPECTS UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004 !!!!!!!, 23 novembre 2007, 22:46
Parbleu, pour éviter des vagues et en attendant son élection, Sarko a fait bloquer l’affaire. Maintenant, pour se redorer le blason, il lâche son copain !
Avis aux riches : à qui le tour ????
2. RETRAITS SUSPECTS UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004 !!!!!!!, 23 novembre 2007, 22:50
En fait le Sarko a été élu sur un tas d’affaires scandaleuses , et même sur un tas de fumier !
En ce moment, en tirant sur un fil, il y a toute la pelote qui vient et c’est pas joli joli tout ça.
Les sarkozystes ont donc été bernés par ce personnage qui a voulu faire croire qu’il lavait plus blanc que la lessive !!! Le voilà dans la flote ! Rien ne sert de courir Sarko, les affaires te rattrapent !
3. RETRAITS SUSPECTS UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004 !!!!!!!, 23 novembre 2007, 23:08
Si ce truc est sorti maintenant, c’est qu’ "on" l’a bien voulu. Il y a une bagarre interne dans le MDEF entre Parisot et l’UIMM, et ceux qui ont laissé sortir le truc, ce sont les amis de Parisot.
Mais de toute façon, l’affaire sera étouffée pour ne pas rejaillir sur tout le patronat et on peut être certain que personne ne fera de la tôle...
4. RETRAITS SUSPECTS UIMM : le cabinet de Sarkozy a été informé en 2004 !!!!!!!, 24 novembre 2007, 04:45
Silence dans les médias : le "monde" net l’a même effacé de sa page !
Comment SARKO complices de délinquants ? les mafiosos sont au pouvoir, ils tiennent non seulement le politique, mais les médias, et les ramifications s’insinuent dans tous les espaces vides de résistance : la presse, certains parti politique (même classé à "gauche")
Ceci explique cela : CHUT...la politique de l’OMERTA !!
Arlequin