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Reponse du PCF à François Hollande

Publie le lundi 18 décembre 2006 par Open-Publishing
25 commentaires

Une nouvelle fois, François Hollande presse Marie-George Buffet de « rentrer en campagne » tout en espérant, « si les communistes le décident... la présence de ministres communistes au gouvernement ». Cette sollicitude répétée en serait presque touchante si elle ne réveillait pas la petite musique d’une « gauche plurielle » dont les fausses notes ont orchestré l’échec de la gauche en 2002.

Les communistes comme l’ensemble des femmes et des hommes qui composent aujourd’hui le rassemblement de la gauche antilibérale, sont en campagne pour battre la droite et ouvrir une nouvelle voie à gauche. Que François Hollande se rassure Avec le programme élaboré par la gauche antilibérale, les premiers grands meetings de la gauche populaire et citoyenne, nous sommes décidés à concrétiser un véritable espoir dès 2007.

Olivier Dartigolles, Porte-parole du PCF

Paris, le 18 décembre 2006.

Messages

  • IL FAUT ECRIRE EN PLUS GROS , A LA LIGUE , IL NE LISENT PAS QUAND C’EST ECRIT PETIT !
    claude de Toulouse .

    • je pense claude qu’il y a des presbytes PARTOUT.....
      marie-ceza

    • Ben y’a qu’a l’écrire dans stratégie et ambition, alors : pas de gouvernement avec le PS, ni d’alliance parlementaire.

      Moi j’aime bien quand c’est écrit en FROS, car j’en ai tellement soupé de la gauche plurielle !

    • La mise au point d’Olivier Dartigolles intervient 2 jours après la déclaration de François Hollande.

      Puisque tu souhaites que cela soit écrit en plus gros pour la Ligue (pourquoi pas pour toi ?), Hollande en dit plus que ce qu’O Dartigolles déclare.

      Voici ce que dit Hollande :(Il s’adresse à M-G Buffet)

      "Je n’ai pas de conseils à lui donner. Mais plus tôt elle se mettra en campagne, mieux ce sera, pour elle et pour nous. Nous avons besoin de la culture, de l’électorat communistes, et le moment venu, si les communistes le décident, de la présence de ministres communistes au gouvernement."

      Un adhérent PCF depuis 1967.

  • j’aime bien "les fausses notes" ha plus de privatisation que la droite c’est une fausse note !!
    Merci pour les travailleurs !!
    Et bien que je ne sois pas à la lcr,je remarque que nulle part dans la réponse il n’est opposé un NON categorique à la proposition de hollande de faire entrer le pcf dans un gouvrenement ps.
    Ni en gros ,ni en petit...
    encore une occasion ratée ,mais on va dire que je cherche des noises par anticommuniste .

  • françois presse marie george, et marie george est pressée de rentrer en campagne, voila une info qui vas nous valoir des volées de bois vert de la part de nos camarades de la super gauche
    François par ça franchise nous aide bien,de plus on vas dans son sans,les vautours sont sur les arbres,il faut donc lancer notre cavalerie lourde ,qu’importe les marécages,tète baissée en avant pour le désastre final,de toute façon il sufira de faire 4% ET L’huma annoncera 50000 voies de gagnées par rapport a 2002 victoire.franchement Olivier j’ai peur que cette fois ci soit la derniere.
    de COCO33

    • Quel est l’intérêt du PS hollandais dans le vote de mercredi ? Ca fait aussi partie des données du pb.
      Il est assurément pour la candidature de témoignage, et en plus , pour limiter autant que cela se pourra le score de MGB maintenue, il va donner un tas de signature à OB !

      CN46400

    • Déconnez pas p----- !!

      Réflechissez bien b----- !!

      Assurez c’est le moment !!

      Faire un pas en arrière sur la candidature MBG c’est :

       préparer notre victoire ou au moins la naissance d’une grande force antilibérale en France, de quoi faire trembler les sociaux libéraux et ce cher hollande qui parade une dernière fois.
       par la même occasion agrandir de notre flot puissant la brèche ouverte par nos voisins néerlandais.
       de toute façon lui préparer à elle, MGB, et au PCF une place centrale dans le gouvernement à venir ou dans la force d’opposition enfin devenue crédible que nous allons construire.
       Offrir un espoir, une lueur à tous nos concitoyens qui n’en pleuvent plus de creuver à petit feu, réduits à mendier les miettes que ces vautours dédaignent laisser tomber à leurs pieds.

      Que vous dire de plus ? je sais pas...
      Qu’avons nous tous à gagner à un blocage définitif sur le nom du candidat ?
      Et vous qu’avez vous à y gagner compagnons de luttes...?
      Et le parti ?
      Et MGB ?

      Je ne vois aucun gagnant.
      que des perdants.

      Sauf chez nos vrais adversaires politiques, qui eux se frottent déjà la bedaine en rôtant de plaisir.

      Leclodo

    • Et aussi au candidat antilibéral, celui qui va sortir pour couler MGB !

    • Il s’agit des parrainages du Ps bien sûr

  • Que veut le PS ? Un petit parti qui s’agitte au premier tour , qui offrira ses 3% au deuxième, aura sa petite vingtaine de députés, puis d’adjoints en tout genre (mairies, CG, CRégionnaux ).

    Dartigoles peut jouer les vierges effarrouchées, le meilleur moyen de construire un véritable rapport de force , c’est de continuer la bataille unitaire des collectifs antilibéraux et de rechercher une candidature qui fasse consensus . L’entêtement à imposer MGB conduira à une candidature pcf, pas à l’unité antilibérale ! Encore une occasion manquée !!!!!!!

    • En effet Dartigolle fait semblant pour donner le change ,alors qu’il n’est plus crédible avec toute la direction du Parti...Certains ont demissionné ,qu’attend-il pour le faire aussi puisque tout le monde rit de ses propos pseudo anti-Hollande.

      Marx-Engels-Lénine venez à notre secours,vos successeurs pensent à l’envers car ils ne vous étudient plus ....Le capitalisme fait des ravages et nous baissons les bras sans essayer d’autres armes que celles des années trente ...Avec ces gens-là aux manettes révolutionnaires nous risquons de mourir sans voir le socialisme comme les catholiques qui attendent la résurrection et la fin du monde.

      Je réitère Claire Villiers comme candidate du consensus,ainsi nous ne laisserons aucun espace politique à Besancenot,Arlette et ses grandes affiches,et aussi à Le Pen dans les quartiers populaires ....Les Apparatchiks font parti du musée de l’histoire révolutionnaire,même s’ils se cramponnent encore à leurs bureaux de certitude dogmatique ...Pouah,ils me dégoûtent .

      Mercredi ,camarades, votez bien pour écarter MGB du jeu Présidentiel qui ne peut que nous réduire à encore 3% .Ainsi Robert le Rocker n’aura pas fait le plus mauvais score du PCF et il en sera tout ragaillardi dans son siège de Sénateur obtenu avec le gentil PS qui aime les communistes qui vont à la soupe ...

      Bernard SARTON

    • avec qq decennies de militantisme tous ceux qui tenaient ce langage la que j ai connu ont fini au PS

      ni voit aucune polémique je te livre juste le fruit de mon expérience ...!!!

      et surtout n inverse pas les roles ni les responsabilités

    • Je n’inverse pas les rôles et jamais je ne ferai parti du PS..Pourtant il faut bousculer l’organisation pyramidale du Parti qui n’entend pas la base et reste figée sur des conceptions Buffetistes très mauvaises pour nous et pour elle.le rassemblement anti-libèral ,initié pour l’essentiel par nous,voyait revenir vers nous d’anciens camarades décus de notre collaboration avec le PS.Buffet n’est pas crédible pour l’instant car elle continue à vouloir se désister pour ségolène pour battre Sarko ...On nous joue ce couplet à chaque élection et les camarades en ont ras la casquette ouvrière de ce désistement inutile qui ne change rien à la situation sociale des gens .

      Je persiste et signe ...Claire Villiers est plus consensuelle

      bernard SARTON

  • Dans un concert quelques fausses notes passent inaperçues, pourquoi ne pas montrer notre résolution en disant qu’au premier tour nous voulons battre la droite et la gauche liberale et que notre programme est inconcilliable avec celui du PS.

    S.Dedalus

  • Y MANQUE PAS D’AIR CELUI-LÀ !

    Il n’est que sur le papier le chef de son PS, et il veut faire marcher d’autres que les siens à la baguette...
    On sait bien que son système c’est de profiter du travail des autres pour raffler avec son filet du "vote utile" pour que "plus jamais on ne revive le 21 avril 2002"...
    Sauf que si le social-libéralisme l’emporte on sera plus que jamais guetté par Le Pen au coin du bois !

    NOSE

  • par Didier

    Un consensus est un accord général (tacite ou exprès) parmi les membres d’un groupe, pouvant permettre de prendre une décision sans vote préalable. Bien que le consensus désigne un accord unanime (ou plutôt, l’absence d’opposition), l’usage récent en fait parfois l’opinion ou le sentiment d’une forte majorité. Le consensus comme méthodologie de prise de décision cherche à mettre l’accent sur la validité de l’opinion de chaque participant et se refuse à entériner un choix qui n’aurait pas au moins l’accord de tous.

     Étymologie

    Consensus est un mot latin qui signifie « accord », « conformité de sentiments ». Il a été lexicalisé dans la langue française au XIXe siècle sous le sens de « large accord ». Le mot latin dissensus, bien qu’il ne soit pas lexicalisé en français (il n’apparaît pas dans les dictionnaires) est parfois utilisé pour designer soit l’échec d’une recherche de consensus, soit l’attitude qui consiste à vouloir opposer les différentes opinions sans chercher à les rapprocher.

    Du fait du changement de sens récent qui fait du consensus une « simple » large majorité, on en vient à parler de « consensus absolu » ou de « consensus parfait » pour désigner un accord qui ne recueille aucune opposition.

    Par ailleurs, la prononciation du mot est couramment fautive : on doit dire k ?ns ?sys et non k ?ns ?sys.

    Consensus et pensée collective

    De nos jours, on confond souvent consensus et « choix collectif ». Il existe des degrés de variation toujours possibles entre individus, et il doit y avoir une implication individuelle forte pour faire suivre la prise de décision de l’action. Auquel cas, la prise de décision nécessite une négociation au bout de laquelle les autres participants au débat seront satisfaits.

    L’opinion collective n’est pas un consensus, mais au mieux une opinion reçue, au pire, l’alignement sur une orthodoxie éventuellement à partir d’une manipulation mentale (gouroutisme, propagande). Par ailleurs il existe des consensus émotionnels pouvant aller jusqu’à l’hystérie collective comme le montre l’étude des groupes et des foules.

    Il existe de nombreux débats et recherches à la fois sur les notions d’intelligence collective et de prise de décision par consensus - discutés dans d’autres articles. Cet article traite de l’idée de consensus dans son sens le plus strict, et non pas de ses implications en politique ou en économie (domaines dans lesquels non seulement le consensus importe mais également l’action subséquente).

    Consensus et dictature de la majorité

    Le terme consensus implique également des notions de compromis. Plutôt qu’une opinion adoptée par une majorité, le consensus suggère l’apport de multiples opinions différentes, et leur adaptation progressive jusqu’à ce qu’une solution satisfaisant le plus grand nombre de personnes puisse être dégagée. Le consensus ne signifie pas forcément que tout le monde est satisfait du résultat, mais suggère plutôt que tout le monde peut juger le résultat acceptable et que la majorité est satisfaite. On doit donc apporter un soin particulier à la définition de cette majorité représentative de l’ensemble, faute de quoi ce compromis peut s’éloigner de la réalité pourvu que le consensus se construise, au vu de la subjectivité de l’estimation de la « représentativité » de chaque personne. Ce type de consensus, limant les divergences au profit des similitudes, manifeste la justesse de l’opinion répandue. On peut considérer que le consensus se construit avec la loi de juste milieu (pris dans le sens d’un milieu acceptable pour les différentes parties). Certains considèrent alors que l’objectivité, si ce n’est la vérité, répond à la courbe de Gauss où les 20% restant sont quantité négligeable et, de ce fait, inutiles à conserver. Ce type de solution est souvent appelé consensus, mais n’en est pas un à proprement parler.

    Plus généralement, on considère la prise de décision par consensus comme la recherche d’une solution de résolution, où le compromis doit être une proposition originale, qui tienne compte des positions de chacun et essaye de satisfaire tous les participants au débat. Ce type de compromis est nommé gagnant-gagnant. Chaque proposition doit être évaluée pour ce qu’elle est et non pour ce que chacun en imagine, l’imagination portant le plus généralement sur l’émetteur de la proposition.

    Certains considèrent que dans le cas où un compromis gagnant-gagnant ne peut être construit, on peut alors enregistrer les dissensions (ou dissensus) car elles sont considérés comme plus proches de la réalité décrite et susceptibles de faire avancer le problème. Cette solution peut satisfaire la majorité des participants au débat. D’autres considèrent qu’il s’agit alors d’un échec de consensus, car chacune des parties étant restée sur ses positions, le problème débattu n’est pas réellement réglé. Ceci dit, la recherche du consensus permet d’éviter que la majorité impose ses décisions à la minorité, puisque le véto permet à chacun de refuser une solution qui ne lui convient vraiment pas (à condition de ne pas en abuser, auquel cas c’est une autre forme de dictature de l’individu sur le collectif).

    Prise de décision par consensus

    Il y a de nombreuses façons, pour un groupe, de prendre des décisions, et aucune d’elles n’est parfaite. La plupart d’entre nous ont été élevés dans une culture qui considère que la démocratie occidentale est la meilleure, et que le vote est le seul pouvoir qui peut servir aux gens. Il apparaît pourtant une grande désillusion quant aux potentiels de ce système pour une collégialité dans la prise de décision, et encore plus, à une plus grande échelle, pour changer quoi que ce soit dans le système. La démocratie devient le système qui permet soit d’élire un gouvernement, soit un exécutif ou comité de pilotage, qui prend toutes les décisions, et déçoit trop souvent.

    Habituellement, lors d’un vote démocratique, à n’importe quelle échelle, une minorité importante est mécontente du résultat. Et même si cette minorité accepte la décision prise, parce qu’elle accepte la « règle du jeu », elle résistera activement ou essayera d’atténuer les conséquences de cette décision jusqu’à la prochaine opportunité de vote.

    Le compromis est une autre méthode pour prendre une décision, habituellement par la négociation. Deux parties, ou plus, annoncent leur position respective et la changent petit à petit, par des concessions mesurées. La négociation peut conduire à une insatisfaction des deux parties, car personne n’est totalement satisfait.

    A côté de ça, le consensus est un moyen de prendre une décision qui fait appel à la créativité de chacun. C’est un processus dans lequel aucune décision ne peut être prise tant que tous les participants ne l’acceptent. Ca peut être long à mettre en place, car le consensus est le produit patient de toutes les meilleures idées et volontés dans un groupe, dans un esprit de cohésion et d’équilibre. Les minorités sont entendues au cours du processus, et pas seulement à la fin : la décision est élaborée collectivement.

    Mise en place du processus

    Il y a de nombreuses façons pour trouver un consensus, mais nous vous proposons cette procédure simplifiée, pour comprendre les mécanismes.
     1. Le problème, ou la décision à prendre, est défini et nommé. Cette étape préliminaire aide à séparer la problématique à traiter des enjeux personnels.
     2. Faire fuser toutes les solutions possibles (brainstorming) pour résoudre le problème ou répondre à la question. Les écrire toutes, même les plus folles.
     3. Se réserver un moment dans le processus pour les questions diverses et la clarification de la situation.
     4. Discuter et débattre des propositions écrites, les modifier, les regrouper, et en faire une liste, la plus courte possible. Lesquelles sont les préférées du groupe ?
     5. Bien expliquer toutes les propositions, et leurs différences pour que tout le monde comprenne bien (on peut utiliser là l’ancienne méthode qui consiste à donner un temps égal à quelqu’un qui est pour et quelqu’un qui est contre la proposition pour s’exprimer).
     6. Discuter les « pour » et les « contre » de chaque proposition. Faire en sorte que chacun puisse s’exprimer (tour de table, petits groupes...).
     7. S’il y a une opposition majeure, recommencer au point 6. Il est parfois nécessaire de recommencer au point 4.
     8. S’il n’y a pas d’opposition majeure, faire état de la décision et voir s’il peut y avoir un accord.
     9. Reconnaître les objections mineures et incorporer des petits amendements.
     10. Discuter de la proposition, et vérifier le consensus.

    Le droit de veto

    le droit de veto, détenu par chacun sur une proposition du reste du groupe, est la pierre angulaire de la méthode du consensus. La « permission » de chaque membre du groupe est indispensable pour prendre une décision, c’est pourquoi écouter et répondre à tous les participants et prendre en compte tous les avis devient la préoccupation du groupe dans son ensemble.

    Ce qui fait que le résultat n’est pas seulement un groupe plus égalitaire, mais aussi un groupe plus « satisfait », dans lequel chaque membre a une chance de se sentir important au sein du groupe. Les responsabilités sont mieux partagées, les membres sont plus réceptifs aux autres, et l’envie de faire des choses ensemble est partagée. Le veto sur une proposition qui a demandé de longues discussions et une synthèse ardue est un acte sérieux. Il peut être fait en ayant bien pesé le pour et le contre, comme un ultime recours, sur des bases éthiques, ou à cause des conséquences qu’une décision peut avoir. Il peut aussi être fait à cause d’une émotion forte (peur, dégoût), mais en aucun cas à cause de préférences personnelles ou d’impulsions égocentriques.

    Quand la prise de décision a fait son chemin, prenant en compte des opinions diverses, se modifiant, et que quelqu’un est toujours en désaccord avec la solution trouvée, il y a d’autres formes que le veto à envisager, qui ne contrent pas le processus. Par exemple, ne pas soutenir une décision : « Je ne ressens pas le besoin de ça, mais je peux quand même participer ». Ou encore rester réservé-e : « Je pense que ça peut être une erreur, mais je peux l’assumer ». Ou ne pas s’impliquer : « Je ne participerais pas, mais je n’empêcherais pas les autres de le faire ».

    Dans certaines descriptions du processus de prise de décision par consensus, la notion existe que quelqu’un qui sent le besoin de faire un véto sur une proposition devrait envisager de se retirer du groupe, au moins pour un temps. Or, cette idée tend à l’inverse extrême du but de la méthode : plutôt que d’encourager l’inclusion des opinions et des souhaits de tou-te-s, ceux et celles qui ont une opinion minoritaires risquent de se sentir obligé-e-s de s’exclure du groupe. L’eventualité d’une exclusion du groupe est, pour certain-e-s, un mécanisme tout à fait opposé au principe d’inclusivité de la méthode de consensus, tendant à exclure ceux et celles qui sont non-conformistes, plutôt que d’encourager les critiques envers l’opinion majoritaire.

    Les prises de décision par nombreuses communautés virtuelles, comme celles de la Wikipédia, souvent suivent ce type d’ approche

    • De telles longueurs pour une démonstration sont souvent suspectes à mes yeux : super le clavier ! c’est pas comme dans une salle ou on t’aurait arreté.C’est vrai aussi que n’est pas BOILEAU qui veut !
      Pour moi CONSENSUS = VETO .
      Vous imaginez tous nos amis et camarades dans les collectifs locaux utilisant à tout bout de champ ce CONSUS-VETO ?

      j-c coualan

    • Arrête ça fume,le chaudron va exploser !

      JCL

    • Le consensus est une méthode d’entente prévue sur l’affinement de propositions ou de décisions, on voit mal comment l’appliquer à la désignation d’un candidat !

    • si candidat unique, il y a de toutes façons, un vainqueur et des vaincus, on y peut rien.