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Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou.
Publie le lundi 18 août 2008 par Open-Publishing6 commentaires
Retrait russe : Kouchner, prudent, refuse de « menacer » Moscou.
Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a estimé, avec prudence, lundi à Paris que les troupes russes en Géorgie pourraient amorcer dans les prochaines heures leur retrait de Géorgie, tout en refusant de « menacer » Moscou.
"Il me semble, mais je peux me tromper complètement, que nous assisterons à cette amorce de retrait de troupes aujourd’hui lundi et dans la nuit", a déclaré M. Kouchner lors d’une conférence de presse.
"Sinon, le président de la République (Nicolas Sarkozy) sera amené dans les jours qui viennent à convoquer en urgence une réunion du Conseil européen", a ajouté M. Kouchner, dont le pays préside l’Union européenne.
"A un moment donné, nous en serons aux ultimatums. Ce mot, je le déteste. Nous n’en sommes pas là du tout", a-t-il encore dit.
"Nous ne voulons pas menacer" Moscou, a insisté M. Kouchner. Mais "nous sommes sérieux, il y a une ligne rouge qui est le retrait des troupes" russes en Géorgie, a-t-il ajouté.
"Nous voulons que ce soit aujourd’hui", a encore dit M. Kouchner en parlant de ce retrait, même si les Russes vont bien nous dire qu’il faudra quelques jours".
Moscou a affirmé lundi avoir entamé son retrait de Géorgie, comme le veut l’accord d’arrêt des hostilités, ce que les autorités géorgiennes ont démenti.
Washington a averti lundi que les forces russes devaient se retirer "sans délai" de Géorgie.
M. Kouchner a insisté sur la nécessité d’une unité entre pays alliés face au conflit russo-géorgien.
Il a précisé qu’il rencontrerait mardi matin ses homologues américain, allemand et britannique avant une réunion cruciale de l’Otan "pour que là aussi l’unité nécessaire à la protection de la Géorgie soit maintenue".
Les ministres des Affaires étrangères de l’Otan tiennent mardi une réunion extraordinaire au siège de l’Alliance, alors que les Russes ont mis en garde les Alliés contre toute réponse "déséquilibrée" à la crise russo-géorgienne.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-36627491,0.html
Messages
1. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 18 août 2008, 22:00, par zar
Lol, nos chers politique font profil bas, si les US n’était pas si occuper a volé du pétrole en Irak les choses aurait été surement différentes.
1. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 18 août 2008, 22:09
Tu m’étonnes que Kouchner refuse de menacer Moscou !
Kouchner, il leur fait vachement peur aux Russes !
Mort de rire !
2. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 19 août 2008, 00:21, par bop
Avec la future installation de missiles en pologne, nous aurons sans doute l’occasion de rire avant de mourir.
2. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 19 août 2008, 02:56
Que fout sur notre site la propagande atlantiste du "Monde" ?
(qui ferait mieux, du reste, de s’appeler "l’Occident" )
En Matière de trahison Libé n’a rien a lui a apprendre ...
1. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 19 août 2008, 10:56
Journal "Le Monde" : actionnaire majoritaire = LAGARDERE = marchand d’armes = plus il y a de guerres, plus son porte-feuille grossit.
3. Retrait russe de la Géorgie : Kouchner, prudent, refuse de " menacer " Moscou., 19 août 2008, 15:53
"A un moment donné, nous en serons aux ultimatums. Ce mot, je le déteste. Nous n’en sommes pas là du tout", a-t-il encore dit.
Trop bon le Kourchner.
Et en plus on dirait qu’il croit ce qu’il dit.
Comme si la Russie en avait quelque chose à foutre de lui ou de son maître Sarko.
D’ailleurs même les Talibans, (Résistants ?), afghans n’en ont rien à battre d’eux.
Y a dix militaires français qui viennent de le prouver ; instamment et en personne himself.
Des gouvernants comme ça c’est vraiment des pingouins.
Y a qu’un nom qui me semble qualifié : "Quisling".
G.L.