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Roger Waters appelle à casser le "mur" lors d’un concert en Israël
Publie le vendredi 23 juin 2006 par Open-Publishing4 commentaires
L’ex-Pink Floyd Roger Waters a appelé jeudi soir les Israéliens à casser le "mur" de séparation
PAS d’AFP sur Bellaciao merci...
Messages
1. > Roger Waters appelle à casser le "mur" lors d’un concert en Israël, 23 juin 2006, 12:50
excellente initiative, guidée par le coeur et l’intelligence. Il en faudrait beaucoup d’autres comme celle-ci. Roger Waters a réussi à s’infiltrer dans la brèche du mur "invisible", que les autres le suive. La paix est au bout.
1. Préfères-tu la paix sociale ou la lutte des classes ?, 23 juin 2006, 14:12
La lutte des classes, bien entendu !
En Palestine, il en va de même. La paix en l’état actuel des choses signifie pour les Palestiniens accepter le fait accompli, accepter la victoire du sionisme et donc de l’impérialisme occidental. C’est pourquoi en Palestine, actuellement, la paix ça veut rien dire :
L’extermination quasi-totale des Indiens a amené la paix aux USA !
Une victoire totale de l’invasion sioniste en Palestine amènera la paix au moyen-orient tout aussi bien qu’une victoire palestinienne.
Ce que la justice réclame, c’est la victoire des palestiniens !
2. > Préfères-tu la paix sociale ou la lutte des classes ?, 23 juin 2006, 15:59
Tout à fait d’accord. Il faut que nous ayons le courage de dénoncer haut et fort ce qui se passe là-bas sans avoir peur d’être taxés de terroristes ou d’antisémites.
Ce qu’Israël inflige à la Palestine depuis des années, avec l’aide des Etats Unis et de nombreux pays européens est inadmissible. Ne rien faire ou se taire, c’est collaborer à tous leurs crimes.
3. > Préfères-tu la paix sociale ou la lutte des classes ?, 23 juin 2006, 20:21
Non, quand je parle de paix, ce n’est pas que les palestiniens acceptent les choses comme elles sont. Du tout. C’est qu’Israël rentre dans ses frontières d’avant 67. Qu’il renonce au grand Israël, c’est utopique et pourquoi faire d’ailleurs ? Que chaque protagoniste ait un territoire bien à lui. C’est ça la paix. C’est aussi reconnaître l’autre dans sa spécificité.