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SOS Meteores*

Publie le mercredi 11 juillet 2007 par Open-Publishing
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La meteo de + en + pourrie ? c’est normaaal....

L’Organisation Météorologique Mondiale, dépendante des Nations Unies, possède un programme de recherche sur la modification artificielle du temps.
Depuis un demi-siècle, ces recherches ont permis d’enrichir les connaissances sur la microphysique, la dynamique et les processus de précipitations (pluie, grêle et neige) des nuages naturels et les effets de l’intervention humaine sur ces processus.
En 2004, l’organisation recensait plus de 100 projets de modification artificielle du temps mis en oeuvre par des dizaines de pays, en particulier dans les régions arides et semi-arides.
Cela va de la dissipation du brouillard, à l’augmentation des précipitations (pluie et neige) en passant par la suppression de la grêle voire des tentatives, guère couronnées de succès jusqu’à présent, d’atténuation des ouragans.
Le plus grand programme actuel est menée en Chine.
De 1995 à 2003 plus de 210 milliards de mètres cubes de précipitations ont ainsi été créés au coût de 266 millions de dollars américains.
En Australie, l’ensemencement des nuages se pratique depuis plus de 50 ans.
Des expériences menées en Tasmanie sur plusieurs dizaines d’années, ont permis d’augmenter de 20 à 30% les chutes de pluie.
Actuellement des expériences sont en cours dans les Snowy Mountains, Nouvelle Galles du Sud, pour déterminer s’il est possible d’augmenter les chutes de neige.
En Espagne, plusieurs programmes de lutte contre la grêle par générateurs au sol sont en place dans le bassin de l’Ebre depuis 25 à 30 ans.

* E. P. Jacobs raconte dans son autobiographie les ennuis que lui valut la préparation minutieuse de cette BD.
Après avoir achevé ses repérages sur le terrain, il a voulu les compléter par la consultation des météorologues professionnels, son scénario décrivant en fait une guerre climatique.
Il a donc soumis son synopsis aux services concernés.
Mais d’autres répondirent, rien de moins que la DST qui voulait savoir d’où il tirait ses renseignements. Sans le savoir, il avait rejoint par l’imagination un dossier sensible, alors en recherche dans les milieux militaires...

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