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Samedi 19 juin : balade à vélo pour la PALESTINE

Publie le mercredi 16 juin 2010 par Open-Publishing
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Samedi 19 juin,

Balade à vélo dans Paris aux couleurs de la Palestine.

Départ de la Place Clichy à15 H.

Pour la troisième année consécutive, une spectaculaire tournée à vélo aux couleurs de la Palestine se déploiera dans plusieurs quartiers de Paris, le SAMEDI 19 JUIN après-midi. Etant donné les événements, nous vous attendons particulièrement nombreux cette année, avec vos T.Shirts, drapeaux, keffiehs.... Un groupe de Dabke sera de la partie !

Avec votre vélo, ou un vélib (que vous trouverez sur place), venez pédaler avec nous dans Paris, pour dire :
- NON au blocus de Gaza
- NON à l’occupation et à la colonisation israélienne
- NON à la piraterie de l’aide humanitaire
- NON a l’impunité d’Israël

http://www.europalestine.com/spip.php?article5157

Messages

  • Des militantes ont affirmé jeudi leur détermination à rallier Gaza depuis le Liban à bord d’un bateau chargé d’aides médicales afin de briser le blocus en dépit des avertissements israéliens.

    Samar al-Hajj, l’organisatrice de l’expédition à laquelle doivent selon elle se joindre des militants européens et des journalistes a dit que le navire était "désormais prêt". "Nous n’avons pas peur" a-t-elle encore déclaré.

    Le ministre israélien de la guerre Ehud Barak a prévenu jeudi le Liban qu’il serait tenu pour responsable de tout départ de bateaux de ses ports à destination de la bande de Gaza.
    A Paris, le vice-ministre israélien des Affaires étrangères, Danny Ayalon, a aussi sévèrement mis en garde le Liban contre l’envoi de ce navire.Réagissant aux menaces israéliennes, le Premier ministre libanais Saad Hariri et son homologue égyptien Ahmed Nazif ont dénoncé à Beyrouth l’attitude israélienne contre les militantes.

    "Le gouvernement israélien continue de menacer le Liban", a affirmé Hariri lors d’une conférence de presse conjointe. "Il y a des flottilles en provenance d’Europe", a-t-il ajouté, "Le ministre israélien de la Défense va-t-il attaquer l’Europe ou d’autres pays qui envoient de l’aide à Gaza ?", s’est il interrogé.

    Le Premier ministre égyptien, en visite au Liban, a mis pour sa part Israël en garde contre les "terribles conséquences" qu’aurait une attaque contre ce bateau, "comme on l’a vu avec la flottille turque de la liberation

    • elon le quotidien israélien "Maariv", l’entité sioniste a averti la communauté internationale via divers canaux diplomatiques, dont les Etats-Unis , les Nations-Unies et la France, qu’elle compte capturer les pacifistes qui seront à bord de la flottille libanaise.

      « Israël a aussi envoyé des messages d’avertissement au Liban, le rendant responsable de tout incident qui pourrait avoir lieu au cours du voyage de la flottille libanaise vers Gaza", a ajouté le quotidien.

      Selon des sources diplomatiques israéliennes, citées par le quotidien, « Israël considère le Liban comme étant un Etat ennemi et par conséquent, tout navire en provenance de ce pays sera traité différemment des navires précédents ».

      Ajoutant que « comme le Liban est un Etat ennemi la présence d’armes et de munitions à bort de tout navire venant de lui est possible. Et donc, Israël affrètera tout navire en provenance du Liban quelque soient ses passagers, en particulier les Libanais qui seront interrogés, jugés puis mis en détention ! "

      Des sources diplomatiques occidentales ont précisé que l’entité sioniste « a demandé aux ambassades des pays qui participent à la flottille libanaise, de prévenir leurs citoyens de ne pas monter à bord d’un navire libanais, car le traitement qu’ils subiront ne sera pas comme celui de la dernière flottille turque ; sachant que la Turquie n’était pas définie comme ennemi. Alors que tous les participants dans la prochaine flottille humanitaire libanaise de Gaza risquent un traitement hostile. "

      A noter que la flottille libanaise est composée de deux navires : le premier est baptisé Naji Al-Ali, du nom du célèbre caricaturiste palestinien, et le second a été baptisé " Mariam ", avec 50 femmes à bord dont 30 libanaises
      al manar

    • Bien que le Hezbollah ait souligné, vendredi, qu’il n’était pas impliqué dans le bateau de "Mariam", la représentante israélienne à l’ONU a estimé dans une lettre adressée à l’organisation que l’entité sioniste était en droit d’user de "tous les moyens" pour éviter que des militantes se rendent par bateau du Liban à Gaza.

      Dans une lettre adressée au secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, citée par des radios et les sites internet de journaux israéliens, l’ambassadrice Gabriella Shalev indique qu’"Israël" soupçonne ces militantes d’être liées au Hezbollah.

      "Israël se réserve le droit en conformité avec la législation internationale d’avoir recours à tous les moyens nécessaires pour empêcher ces bateaux de violer le blocus maritime imposé à la bande de Gaza", a indiqué le site du journal Haaretz, citant la lettre de Shalev.

      "Il semble que quelques bateaux ont prévu de partir du Liban pour naviguer jusqu’à la bande de Gaza qui est sous le contrôle du régime "terroriste" du Hamas", a-t-elle ajouté.

      "Alors que ceux qui organisent cette opération affirment qu’ils veulent (...) apporter une assistance humanitaire au peuple de Gaza, la véritable nature de ces actions reste douteuse", a-t-elle prétendu.

      Un groupe d’une cinquantaine de femmes, dont 30 Libanaises, entend rallier Gaza à bord d’un navire chargé d’aides, le "Mariam". Aucune date de départ n’a encore été avancée.

    • 19/06/2010

      Selon le journal égyptien A-Darisrael a demandé au Caire d’empêcher d’éventuels navires iraniens d’atteindre la bande de Gaza via le canal de Suez. Les autorités égyptiennes auraient néanmoins refusé, parce que la requête israélienne "contredit la loi".

      Plus encore, le gouvernement israélien aurait demandé au Caire de bloquer toute flottille iranienne parce que "Téhéran aide le Hamas à œuvrer contre l’Egypte".

      Pourtant, une telle initiative serait impossible, poursuit le quotidien. Le droit international ne permet pas aux Egyptiens d’intervenir dans le canal de Suez. Les Egyptiens ne peuvent pas, par ailleurs, s’opposer aux intentions de pays arabes, du monde musulman et de la communauté internationale visant à apporter une aide humanitaire aux habitants de la bande côtière, ajoutent les journalistes.

      Selon certaines sources au sein du Département de défense des intérêts iraniens au Caire, l’Egypte a déjà approuvé les demandes de centaines d’Iraniens qui souhaitent participer à la future expédition maritime.