Accueil > Ségo. donne les paroles de La Marseillaise sur son site !

Ségo. donne les paroles de La Marseillaise sur son site !

Publie le lundi 26 mars 2007 par Open-Publishing
5 commentaires

Elle l’a dit et elle le fait... à trouver à la fin de la la lettre Désirs ..." de Ségo le lien pour découvrir la Marseillaise ! A bon chanteur !!!

http://www.desirsdavenir.org/lalettre/lalettre_70.html

Lettre n° 70 - Lundi 26 mars 2007

(Re) Découvrez aujourd’hui "La Marseillaise" de Claude-Joseph Rouget de Lisle

> Voir l’article :
http://carreculture.desirsdavenir.org

Messages

  • Ségolène Royal vient de réussir un super coup ! Les stratèges du PS sont décidément hors pair. En 2002, ils avaient voulu jouer contre Chirac… sur le terrain de Chirac. On a mangé de l’insécurité du matin jusqu’au soir. Et on sait qui est sorti du chapeau. Cette fois, comme on change pas une tactique qui gagne, pour battre Sarkozy, ils courent derrière… Sarkozy qui court derrière Le Pen. D’où les déclarations sur la marseillaise et la nation. Et si c’est lui qui est au second tour, il ne leur restera plus qu’à expliquer qu’il y avait trop de candidats à gauche. Cela leur évitera une fois de plus de balayer devant leur propre porte, de chercher leur part de responsabilité. Pourtant, cette fois, la campagne se présente sous de meilleurs hospices, tant la question sociale domine les débats. Et dans les cités, dans les usines ou dans les quartiers, est-ce que la première préoccupation des gens, c’est d’avoir un joli bleu blanc rouge accroché à leur balcon ou d’avoir un emploi pérenne, un bon salaire ou une bonne pension de retraite, de quoi vivre dignement, que chacun ait un logement décent ? Alors il est temps de se réveiller. Si on croit qu’on va recréer l’espoir à gauche avec un drapeau, on se fourre le doigt dans l’œil. Assez de bla bla, assez de gadgets. Des actes, 300 euros de plus pour tous et à commencer par les grévistes de PSA Aulnay ! Le Smic à 1500 euros net et pas brut parce que ça fait une sacrée différence sur la feuille de paye.

  • Ainsi donc, voter "utile" reviendrait à voter pour une candidate qui ne cesse de courrir derrières des candidats contre lesquels elle est sensée nous protéger. Quel délire ! au rythme de l’évolution de sarkozy, le vote protecteur sera bientôt JM Le Pen. On nage en pleine mer des sargasses.
    Léon

    • Premier couplet de la nouvelle version de la MARSEILLAISE que la nouvelle jeanne d’arc de la rose devrait publier sur son site, immédiatement après la tâche ULTRA URGENTE , apprendre à ses "mi-litants hihan hihan qui était GABRIEL PERI :

      "DEBOUT LES DAMNES DE LA TERRE,
      DEBOUT LES FORCATS DE LA FAIM...."

      Sont-ils TOUS aussi ignares pourque AUCUN ne réagisse à cette IGNOBLE mascarade ?
      PIERROT, DE B. et A.

  • Allons enfants de la banlieue
    Le jour de gloire est arrivé !
    Contre nous de la tyrannie
    L’étendard sanglant est levé, (bis)
    Entendez vous dans les Ecoles publiques
    Mugir ces féroces Policiers ?
    Ils viennent jusque dans vos quartiers,
    Expulser les enfants de la république

    Aux armes, citoyens !
    Formez vos bataillons,
    Marchons, marchons !
    Qu’un sang de flic
    Abreuve nos caniveaux.

    2. Que veut cette horde d’esclaves,
    De traîtres, de Rois conjurés ?
    Pour qui ces ignobles entraves,
    Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
    Français, pour nous, ah ! quel outrage
    Quels transports il doit exciter !
    C’est nous qu’on ose méditer
    De rendre à l’antique esclavage !

    3. Quoi ! des cohortes capitalistes
    Feraient la loi dans nos foyers !
    Quoi ! ces phalanges mercantilistes
    Terrasseraient nos fiers ouvriers (bis)
    Nom de Dieu ! par des mains enchaînées
    Nos fronts sous le joug se ploieraient !
    De viIs despotes deviendraient
    Les maîtres de nos destinées !

    4. Tremblez, tyrans ! et vous perfides,
    L’opprobe de tous les partis,
    Tremblez ! vos projets Fratricides
    Vont enfin recevoir leur prix ! (bis)
    Tout est soldat pour vous combattre,
    S’ils tombent, nos jeunes héros,
    La terre en produit de nouveaux,
    Contre vous tout prêts à se battre !

    5. Français, en guerriers magnanimes,
    Portez ou retenez vos coups !
    Epargnez ces tristes victimes,
    A regret s’armant contre nous (bis)
    Mais le despote sanguinaire,
    Mais les complices de Bouillé,
    Tous ces tigres qui, sans pitié,
    Déchirent le sein de leur mère !

    6. Amour sacré de la Commune
    Conduis, soutiens nos bras vengeurs
    Liberté, Liberté commune,
    Combats avec tes défenseurs ! (bis)
    Sous nos drapeaux, que la victoire
    Accoure à tes féminins accents,
    Que tes ennemis expirant
    Voient ton triomphe et notre gloire !

    7. Nous entrerons dans la carrière,
    Quand nos aînés n’y seront plus,
    Nous y trouverons leur poussière
    Et les traces de leurs vertus (bis)
    Bien moins jaloux de leur survivre
    Que de partager leur cercueil,
    Nous aurons le sublime orgueil
    De les venger ou de les suivre !

    jyd.

    • Désolé, moi je préfére ça :

      Debout ! les damnés de la terre
      Debout ! les forçats de la faim
      La raison tonne en son cratère :
      C’est l’éruption de la fin
      Du passé faisons table rase
      Foule esclave, debout ! debout !
      Le monde va changer de base :
      Nous ne sommes rien, soyons tout !

      Refrain
      C’est la lutte finale
      Groupons nous et demain
      L’Internationale
      Sera le genre humain.
      Il n’est pas de sauveurs suprêmes :
      Ni dieu, ni césar, ni tribun,
      Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes !
      Décrétons le salut commun !
      Pour que le voleur rende gorge,
      Pour tirer l’esprit du cachot
      Soufflons nous-mêmes notre forge,
      Battons le fer quand il est chaud !

      L’Etat opprime et la loi triche ;
      L’Impôt saigne le malheureux ;
      Nul devoir ne s’impose au riche ;
      Le droit du pauvre est un mot creux.
      C’est assez languir en tutelle,
      L’égalité veut d’autres lois ;
      « Pas de droits sans devoirs, dit-elle,
      « Egaux, pas de devoirs sans droits ! »

      Hideux dans leur apothéose,
      Les rois de la mine et du rail
      Ont-ils jamais fait autre chose
      Que dévaliser le travail ?
      Dans les coffres-forts de la bande
      Ce qu’il a créé s’est fondu.
      En décrétant qu’on le lui rende
      Le peuple ne veut que son dû.

      Les Rois nous saoulaient de fumées.
      Paix entre nous, guerre aux tyrans !
      Appliquons la grève aux armées,
      Crosse en l’air et rompons les rangs !
      S’ils s’obstinent, ces cannibales,
      A faire de nous des héros,
      Ils sauront bientôt que nos balles
      Sont pour nos propres généraux.

      Ouvriers, Paysans, nous sommes
      Le grand parti des travailleurs ;
      La terre n’appartient qu’aux hommes,
      Le riche ira loger ailleurs.
      Combien de nos chairs se repaissent !
      Mais si les corbeaux, les vautours,
      Un de ces matins disparaissent,
      Le soleil brillera toujours !

      et ça

      Par le froid et la famine
      Dans les villes et dans les champs
      A l’appel du grand Lénine
      Se levaient les Partisans. (bis)

      Pour reprendre le rivage
      Le dernier rempart des Blancs
      Par les monts et par les plaines
      S’avançaient les Partisans. (bis)

      Notre paix c’est leur conquête
      Car en mil neuf-cent-dix-sept
      Sous les neiges et les tempêtes
      Ils sauvèrent les Soviets. (bis)

      Ecrasant les armées blanches
      Et chassant les atamans
      Ils finirent leur campagne
      Sur les bords de l’océan. (bis)

      Et pour finir de façon internationaliste

      DIE EINHEITSFRONT

      Und weil der Mensch ein Mensch ist,
      Drum braucht er was zum Essen, bitte sehr !
      Es macht ihn ein Geschwütz nicht satt,
      Das schafft kein Essen her.

      Drum links, zwei, drei (bis)
      Wo dein Platz, genosse, ist
      Reih’dich ein die Arbeiter-Einheitsfront,
      Weil du auch ein Arbeiter bist !

      Und weil der Mensch ein Mensch ist,
      Drum braurt er auch noch Kleirder und Schuh !
      Es macht ihn ein Geschwätz nicht warm
      Und auchkein Trommeln dazu.

      Und weil der Mensch ein Mensch ist,
      Drum hat er Stiefel im Gesicht nicht gern.
      Er will unter sich keinen Sklaven sehn
      Und über sich keinen Herrn.

      Und weil der Mensch ein Mensch ist,
      Drum wird ihn kein anderer befrein,
      Es kann die Befreiung der arbeiter nur
      Das Werk der Arbeiter sein.

      Bandiera Rossa
      Avanti o popolo. alla riscossa
      Bandiera rossa (bis)
      Avanti o popolo, alla riscossa
      Bandiera rossa trionfera.
      Bandiera rossa deve trionfa (ten)
      Evviva il communismo e la libertà.

      Dans les usines et sous la terre
      Sont ceux qui peinent et qui espèrent.
      Allons, c’est l’heure, à la rescousse.
      Notre bannière triomphera.

      Bannière rouge. tu triompheras (ter)
      Et le socialisme nous libérera.

      Non più nemici. non più frontiere,
      Son i confini rosse bandiera.
      O proletari, alla riscossa
      Bandiera rossa trionfera
      Bandiera rossa deve trionfa (ter)
      Evviva il communismo e la libertà.