Accueil > Une campagne contre la censure des blogues
Une campagne contre la censure des blogues
Publie le lundi 30 octobre 2006 par Open-Publishing2 commentaires

Dans une campagne lancée en collaboration avec le quotidien britannique The Observer, Amnistie Internationale appelle les internautes à publier sur leurs blogues des extraits de textes de blogueurs qui ont été censurés dans certains pays.
« Des cas de répression sur Internet sont signalés dans des pays tels que l’Arabie saoudite, l’Iran, la Chine, la Syrie, la Tunisie et le Vietnam. Des gens sont persécutés ou emprisonnés uniquement parce qu’ils ont critiqué leur gouvernement, appelé à la démocratie ou à une plus grande liberté de la presse (...), sur Internet », écrit l’organisme sur son site.
L’organisme s’en prend en outre à Google et à Microsoft, qu’il accuse de s’être plié « aux exigences des autorités chinoises qui leur ont demandé de censurer activement les utilisateurs chinois de leurs services ».
« La liberté d’expression fait partie des droits humains fondamentaux. Il s’agit de l’un des droits les plus précieux. Nous devons nous battre pour le protéger », écrit Amnistie Internationale.
Marie-Eve Morasse
Messages
1. > Une campagne contre la censure des blogues : la censure en France, 30 octobre 2006, 03:58
La censure, les poursuites judiciaires pour délit d’opinion, ça existe aussi chez nous ! Exemples :
– belleciao poursuivi pour avoir relayé un communiqué CGT.
– actuchomage poursuivi pour avoir publié (quelques heures seulement !) un mail de "radiateur", un agent de l’ANPE dégouté du rôle qu’on lui fait jouer.
Il faut se joindre largement à cet appel et copier/coller partout les textes censurés.
2. > Une campagne contre la censure des blogues, 30 octobre 2006, 17:51
C’est une très belle campagne que fait Amnesty International concernant la censure, c’est en effet souvent la seule possibilité d’obtenir justice que de dénoncer les États qui violent les Droits de l’Homme, puisque les ONG et pseudo défenseurs des Droits de l’Homme du type Haut commissaire aux Droits de l’Homme sont tellement embourbés dans leur propres procédures qu’ils passent à coté de l’objectif qui est d’assurer les Droits de l’Homme aux victimes.
Ce n’est pas parce que je critique Amnesty International que tout ce qu’ils font est pourri, bien au contraire, cette ONG est plus que nécessaire et utile dans ce monde hautement corrompu et barbare.
Amnesty International possède une campagne ou ils disent : "Les Droits de l’Homme pour tous, sans exceptions". Mais dans les faits, cette campagne devrait se lire ainsi : "Les Droits de l’Homme pour tous, sans exceptions, excepté au Québec - CANADA"
En effet, je suis moi même victime de traitements cruel et inhumain de la part du gouvernement du Québec qui m’a frauduleusement rendu invalide à vie par la falsification de mon diagnostic médical, question de me priver de mon droit à une réparation prévu par la loi des accidents du travail, le gouvernement du Québec étant responsable de l’indemnisation et de la réparation des lésions professionnelles à titre d’assureur public conformément à une loi.
Alors que je souffrais d’une double hernies discales dont l’une était rupturée et d’une sciatalgie bilatérale, cette falsification de mon diagnostic médical par un fonctionnaire de l’État a provoqué un retour au travail et comme j’étais machiniste dans l’industrie de l’aéronautique et que j’ai du pour satisfaire les exigences de l’emploi soulever et manipuler des poids allant jusqu’à 57 kilos pendant une période de dix semaines, ctte double hernies a provoqué une compression de ma moelle épinière et je suis depuis atteint d’un syndrome de la queue de cheval avec de sévères déficits neurologique et suis maintenant déclaré invalide à vie. La science médicale édicte qu’une rupture discale qui cause une sciatalgie bilatérale est une URGENCE chirurgicale, dans les 24 heures, afin de minimiser les lésions neurologique. Moi je soulevais des poids de 57 kilos .... !
Le traumatisme fut d’une violence inoui, tous mes organnes de l’abdomen, en réaction, se sont durci et cela a nécessité plus de 400 traitements d’ostéopathie et de physiothérapie et encore aujourd’hui, 12 années plus tard, tous mes organnes sont en douleur chronique et j’ai l’impression que ces organnes sont rouge d’irritation. Suite à une chirurgie que j’ai finalement eu un an et demi après les "événements" je suis demeuré alité, presque 24 heures par jour, pendant plus de deux années tellement la douleur était sévère et j’étais même incapable de me lever pour aller uriner.
Parce que je dénonce haut et fort cette session de torture qui a détruite à tout jamais ma vie, le pouvoir judiciaire m’a arbitrairement emprisonné du 12 septembre au 10 octobre 2006 ainsi que condamné à une amende de 5,000.00 $ canadien, question de me forcer à censuré mon ancien site internet qui contenait la majorité des documents administratif et médicaux de mon dossier (ainsi que les noms des personnes qui ont "magouillés" dans ce dossier. Ces documents prouvaient mes allégations et ce qui reste est disponible à : http://jeangodbout.com
J’ai virtuellement fais le tour du monde à la recherche de justice auprès, notamment, de l’organisation mondiale contre la torture, du Bureau International du Travail, de l’ONU, de la ligue des Droits de l’homme, d’Amnesty International etc ... etc ... et il semble que personne n’a de juridiction ... Hummm ...
Alors, les campagnes d’Amnesty International qui pronent la liberté d’expression ne sont pour moi qu’un leurre hautement politique, la liberté d’expression existe tant qu’on l’utilise pas !
Amnesty International est devenu aussi corrompu de nos politiciens, ils disent des choses et font exactement le contraire.
Jean GODBOUT
Victime d’un crime de génocide envers une personne.
http://jeangodbout.com