Accueil > Une explication du peu de conscience de classe de la société française
Une explication du peu de conscience de classe de la société française
Publie le samedi 8 janvier 2005 par Open-Publishing7 commentaires
A. Lacroix-Riz explique dans son ouvrage "l’histoire contemporaine sous influence" (Le temps des cerises, 2004) comment programmes et manuels d’histoire sont tenus par un petit nombre d’universitaires, dont le moins que l’on puisse en dire est que la rigueur historique n’est pas leur point fort.
Cela commence à faire un moment que l’enseignement de la discipline se fait dans la négation ou l’omission des faits...Le peuple est déconnecté de ses héritages...
On attend qu’un géographe sorte également du troupeau, et dénonce la mainmise de l’idéologie patronale sur l’étude des territoires.
Messages
1. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 9 janvier 2005, 04:40
Agréablement surprise de cette référence à Annie Lacroix-Riz sur ce site.
Son travail tenace et intransigeant mérite le plus grand respect de tous ceux qui s’interessent à l’Histoire contemporaine de nos sociétés, et à leur compréhension.
Je ne sais si elle fait partie des "hautes sphères"- que je suis accusée par ailleurs de fréquenter- mais je la salue bien amicalement. Avec mon meilleur souvenir.
Merci de signaler tous ses ouvrages antérieurs, notamment ceux sur les relations franco-américaines des années d’après guerre.
Françoise Py
Désormais "groisillonne"
1. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 9 janvier 2005, 15:45
Ce site fonctionne par contributions : vous pouvez tout à fait indiquer la liste des ouvrages antérieurs d’Annie Lacroix-Riz, voire poster un article de présentation plus conséquent, histoire de faire partager des analyses qui ont effectivement l’air bien intéressantes.
(en cliquant sur "Publiez ici", bandeau de droite).
2. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 9 janvier 2005, 06:27
On appelle ça l’idéologie dominante et il serait bon de fournir des exemples d’un tel insidieux bourrage de crâne. Les manuels dont je dispose datent d’au moins un quart de siècle. Ainsi, bien involontairement sans doute, le vieux Malet/Isaac de seconde annonce-t-il la couleur dès sa couverture : la Liberté de Delacroix s’y trouve en effet affublée d’un soutien-gorge : curieuse manière de concevoir un document historique, non ? Aux collègues d’actualiser cet exemple en passant au crible de la critique les programmes eux-mêmes et leur traduction dans les divers bouquins.
1. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 11 janvier 2005, 07:58
L’idéologie dominante n’a plus besoin de l’école et de ses manuels pour intoxiquer jeunes et vieux.
2. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 11 janvier 2005, 16:50
de toute manière , personne n est jamais content des manuels.
c est la grande mode de critiquer l ’EN et en plus ( ou bien parceque....) ça se vent bien ;
à gauche , on dit que c est trop libéral ; à droite on dit que c est encore trop marxiste....
bref beaucoup de vent pour pas grand chose ou peut être (coup de pied de l’ane ) pour justifier quelques salaires du CNRS...
3. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 11 janvier 2005, 18:46
A. Lacroix-Riz n’est pas au CNRS...
4. > Une explication du peu de conscience de classe de la société française, 12 janvier 2005, 18:07
"Beaucoup de vent "...?
Si tu veux...
En revanche, "ça se vent"...
NON !
Pourquoi cherches-tu à te faire passer pour une enseignante ?