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Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH
Publie le vendredi 19 septembre 2008 par Open-Publishing5 commentaires
L’organisation est accusée, sous couvert de préoccupations "humanitaires", d’avoir partie liée avec les impérialistes US et de favoriser les coups d’état : aussi bien celui de 2002, que celui ou ceux en préparation actuellement. Contre ces coups d’état, Human right Watch ne trouve rien à dire, et ne dit RIEN.
En 2003, l’ONG Human right Watch a entamé une campagne "féroce" contre la loi de Responsabilité sociale à la Radio et à la Télévision, allant jusqu’à demander une violation de la séparation des pouvoirs en demandant au président Chavez d’intervenir dans le législatif en faisant retirer la loi ! L’ONG est accusée de violation de la souveraineté nationale.
Selon le ministre du Pouvoir Populaire pour l’Information et la Communication, Andrés Izarra, l’expulsion de José Miguel Vivanco, directeur de Human right watch,
désarticule les plans conspirationnistes [Pour tuer Chavez et/ou faire un coup d’Etat] .
http://www.aporrea.org/actualidad/n...
Ici : la décision d’expulsion de José Miguel Vivanco et de son compagnon Daniel Wilkinson, votée par l’Assemblée Nationale :
http://www.aporrea.org/actualidad/n...
L’Assemblée Nationale alerte sur le fait qu’il fait partie du plan de destabilisation de créer une matrice d’opinion favorable à un climat d’instabilité, afin de "justifier" un Coup d’Etat. (On f... la m... puis on se présente en gendarme ! Technique Us pratiquée partout dans le monde).
Ici, les prises de position mensongères et publiques de HRW contre Chavez (genre le Monde et le Figaro) :
http://www.aporrea.org/tiburon/n120...
Il est dit dans l’article que HWR s’est comportée comme un cheval de Troie : air innocent et bon pour se faire admettre et les armes de destruction massives cachées dessous.
HUMAN RIGHT tout court, c’est la sciento
HUMAN RIGHT WATCH, maintenant on sait que c’est, (comme d’hab’), la CIA qui pilote la fausse ONG.
C’est ce genre d’ONG-là sans doute, que Bush voulait envoyer "gentiment" à Cuba (Il avait sûrement demandé conseil à "Dieu" avant). Heureusement que Fidel et Raul ne sont pas nés de la dernière pluie ! ET QUE CELLE-CI NE LES ABAT PAS, MÊME QUAND ELLE EST TEMPÊTE !
Messages
1. Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH, 20 septembre 2008, 09:49, par Marysette
Merci de cet article qui met les pendules à l’heure
les ONG sont depuis longtemps un instrument des Etats Unis pour mettre de l’ordre dans leur "patio trasero" et continuer à les exploiter, au nom de principes qu’il sont eux vraiment loins de respecter.
Bolivar disait déjà il y a près de 200 ans que les Etats Unis répandaient la misère en Amérique AU NOM DE LA LIBERTE
Los Estados Unidos parecen destinados por la Providencia para plagar la América de miseria a nombre de la libertad.
http://cbparis.free.fr/
2. Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH, 20 septembre 2008, 11:31
Confirmation de l’instrumentalisation de l’"humanitaire", voire de la "bonté divine" (!) pour dissimuler le pire :
Ici : http://www.abn.info.ve/noticia.php?..., outre qu’on peut contempler une photo du frais minois du monsieur, on en apprend de belles sur le dit José Miguel Vivanco.
– En effet, il fut fonctionnaire diplomatique de la dictature d’Augusto Pinochet entre 1986 et 1989, rien de moins que devant la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CIDH) !!!
A l’arrivée de la démocratie, il quitta la "diplomatie" et fonda le "Centre pour la Justice et le Droit International (CEJIL en anglais)" avec Washington pour siège. Depuis 1994, il est le directeur executif de la division américaine de HUMAN RIGHT WATCH
"José Miguel Vivanco est un féroce ennemi des gouvernements progressistes du continent, et particulièrement de celui de CUBA - pays où il a déclaré sans ambages qu’il fallait faire tomber le gouvernement !!! (...) Le 17 Mai 2006 il écrivait : Pour que les dissidents parviennent à conquérir un espace qui leur permette de lutter pour un changement à Cuba, il manque une pression internationale soigneusement dirigée contre le gouvernement et non contre le peuple cubain. (...) Ce que craint le plus Fidel Castro n’est pas la poursuite de l’embargo, mais la possibilité que les USA, avec leurs alliés d’Amérique Latine et d’Europe se mettent d’accord sur une stratégie commune pour protéger det développer les droits fondamentaux du peuple cubain."
(On vous l’avait dit qu’il était tout bien pour aller "aider" les Cubains !!!)
L’article est long à traduire, mais on y apprend aussi que HRW fut créé en 1978, à la droite du parti démocrate américain, comme instrument de propagande anti-soviétique durant la guerre foroide. et que son influence la plus grande s’exerça au profit de la partition de la Yougoslavie entre 1991 et 1995.
Il est dit aussi que le principal pourvoyeur de fond à HUMAN RIGHT WATCH est Georges SOROS !
Saint Uribe, président narcotrafiquant de Colombie et membre de l’OPUS DEI, doit soutenir les saintes actions de HUMAN RIGHT WATCH, car :
"L’Opus Dei est une prélature personnelle de l’Église catholique qui a pour mission d’aider les fidèles chrétiens à chercher la sainteté ..." (http://www.opusdei.fr/) (défense de rire)
Sainte Ingrid Bétencourt n’a pas encore donné son avis mais elle devrait normalement pousser des cris de vierge outragée.
1. Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH, 25 septembre 2008, 14:45
Qui est Human Rights Watch ?
MELLADO Pedro
Le directeur pour l’Amérique Latine de Human Rights Watch (Observatoire des Droits de l’Homme), José Miguel Vivanco, et le sous-directeur, Daniel Wilkinson, ont quitté le Venezuela jeudi soir, en ayant été expulsés suite à la présentation ce jeudi à Caracas du rapport “Une décennie de Chávez. Intolérance politique et occasions perdues pour le progrès des droits humains au Venezuela“, dans lequel ils affirment que les promesses importantes de la Constitution de 1999 s’étaient transformées en “occasions perdues“.
Avant de parler de ce qu’est Human Rights Watch, prenons le temps de rappeler à la mémoire collective que c’est une ONG. Nous ne devons pas oublier qu’une ONG est une organisation privée, avec des fins et des objectifs clairement définis, qui sont déterminés en fonction des intérêts de ses membres. Que ces intérêts soient altruistes ou égoïstes, cela dépendra des gens qui la composent. Ceci étant dit, le fait qu’elle n’appartienne pas à un organisme gouvernemental ne signifie pas qu’elle n’a pas d’intentions idéologiques.
Ceci étant éclairci, il faut se demander quels sont les intérêts des dirigeants de Human Rights Watch, ou les intérêts de ceux qu’ils défendent, qu’ils soient particuliers ou de groupes. Pendant cette réflexion, nous devons tenir compte de qui finance cette organisation, d’où il ressort une organisation Jésuite étasunienne (Church World Service) ou les multinationales Winston et Ford, étasuniennes aussi. [1]
L’agression répercutée par les moyens de communication bourgeois, au motif de l’expulsion de José Miguel Vivanco, n’est pas la première dont ait souffert la démocratie Vénézuelienne, et elle n’arrive pas aujourd’hui par hasard. Si l’on remonte à 2004, en juillet, un mois avant le référendum Présidentiel, Human Rights Watch a entamé une campagne [2] contre le gouvernement à propos de la Loi Organique du Tribunal Suprême, accusant le manque d’indépendance du pouvoir judiciaire au Venezuela.
La limpidité de cette affaire est on ne peut plus surprenante, ou alors, à défaut d’être soutenable cette accusation est le symbole d’un manque de démocratie ; en Espagne les partis politiques nomment le Conseil Supérieur de la Magistrature [3], le gratin de la magistrature, politisé au maximum. Mais avant cela, Human Rights Watch a aussi participé au cirque Médiatique international au sujet de la soi-disant fermeture d’une chaîne de télévision qui continue d’émettre, RCTV, pendant lequel il était affirmé que cela faisait partie d’un plan de Chávez pour prendre le contrôle des moyens de communication, alors que 80% des médias du Venezuela sont privés et donc d’opposition. Cela pour ne pas parler des contenus de cette chaîne, douteux en ce qui concerne le respect de la démocratie. [4]
En 2005, l’ONG est aussi entré en scène pour défendre quatre personnes accusées par la justice de financement illégal d’organisation politique [5]. Rappelons que ces individus payaient leur campagne avec les fonds de la NED (National Endowment for Democracy, Dotation nationale pour la démocratie). Cette dotation, crée par le tolérant Ronald Reagan, est financée par le Congrès Américain et dédiée à promouvoir la seule vision de la démocratie que le pouvoir étasunien veut que nous connaissions (NDT, voire à ce sujet les articles et livres d’Eva Golinger). Parmi les membres de cette association figure, entre autres, le Sénateur de l’Arizona aujourd’hui candidat à la présidence des Etats-Unis, John McCain. [6]
La seconde fois qu’elle apparut opportunément fut en octobre 2007, deux mois avant le référendum Constitutionnel de décembre de la même année. [7] Ici l’intention était claire ; pour eux, une constitution socialiste est une attaque à leurs intérêts, il en firent leur bannière. L’excuse, les pouvoirs exceptionnels que pris le Président dans une situation d’urgence. A propos, une telle disposition n’existe-t-elle pas aussi dans la constitution d’autres pays Européens ? [8]
Cette dernière intervention, évidemment, a elle aussi un dessein. Ce n’est rien d’autre que les élections municipales qui se tiendront en novembre cette année. Sans aucun doute, remettre l’oligarchie vénézuelienne au pouvoir, ici municipal, c’est pour ces défenseurs des droits humains beaucoup plus important que, par exemple, d’enquêter sur le massacre de Pando, soutenu par l’oligarchie bolivienne, et sur lequel on ne trouve aucun article, ni la moindre condamnation, sur la page Web de l’organisation.
par Pedro Mellado
Rebelión (21-09-2008)
http://www.rebelion.org/noticia.php...
[1] Crítica de Paul Treanor http://web.inter.nl.net/users/Paul....
[2] http://www.lainsignia.org/2004/juli...
[3] http://www.elmundo.es/elmundo/2007/...
[4] http://www.rebelion.org/noticia.php...
[5] http://hrw.org/spanish/docs/2005/07...
[6] http://www.soberania.org/Articulos/...
[7] http://hrw.org/spanish/docs/2007/11...
[8] http://es.wikinews.org/wiki/El_parl...
3. Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH, 20 septembre 2008, 16:13
Ici, une video (en espagnol) où l’on peut voir Vivanco (et Daniel Wilkinson) dans leurs basses oeuvres :
http://www.youtube.com/swf/l.swf?sw...
Moralité : toujours décrypter les "indignations" de HUMAN RIGHT WATCH en tenant compte que cet organisme sert les intérêts de l’Empire US.
1. Venezuela : expulsion du directeur de HUMAN RIGHT WATCH, 20 septembre 2008, 22:56, par pedrito communista
Hormis que je n’ai pas besoin de lire l’amerloque pour comprendre que les yankees sèment la guerre aux quatre coins de la planète, qu’ils souhaitent assassiner MORALES, CASTRO, et leurs semblables, comme ils ont fait assassiner le président Chilien ALLENDE en 1973, - je regarde d’ailleurs souvent la chaine sud américaine TELE SUR pour bien mesurer le séisme qui commence à secouer l’impérialisme USA dans ce continent, et on y parle beaucoup tous ces derniers jours de la sédition criminelle des préfets boliviens aidés et guidés par HRW, c’est-à-dire la CIA- qui peut me dire ce que signifie le mot WATCH ?
Merci compañeros
http://pedritorojo.blogspot.com/