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aprés les retraites ce sont le contrat de travail et les heures légales. REAGISSONS !!!

Publie le samedi 24 novembre 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

"Pour Nicolas Sarkozy et François Fillon, la page de la réforme des régimes spéciaux est "tournée", selon la formule utilisée par le chef du gouvernement, vendredi 23 novembre. "Cette réforme, je l’ai promise, je l’ai tenue", s’est félicité le président de la République. Son premier ministre, lui, pense qu’il est déjà temps d’en conclure une nouvelle, celle de la réforme du contrat de travail."

et ça continue !!! reprenons des forces mais ne baissons pas les bras !!!
ils pensent avoir gagner alors ils foncent !!

c’est la casse du code du travail déjà bien entamée !

remise en cause de l’horaire légale du travail
remise en cause du contrat du travail.
etc....

ce qu’ils veulent c’est tout le monde à 42 annuités, plus d’horaire légale ce sera au choix du patronnat, plus de contrat protégé et licencier comme ils veulent !!

PRIVE = PUBLIC = TOUS ENSEMBLE DANS LA MEME GALERE !!!

il faut reprendre la lutte au plus vite, les négociations ce n’est que poudre aux yeux !!!

mais cette fois il faut tout mettre dans cette lutte !! la lutte en pointillé y’en a marre
les salaires
les retraites
les emplois
la santé dire NON aux franchises médicales
NON à la TVA sociale qui va passer en douce
NON à la casse du code du travail
NON à la fermeture des conseils de prud’hommes
etc..........

DEBOUT LA FRANCE !!!!!!!!!!!!

Messages

  • Il faudrait une convergence des luttes, assos, mouvements alter, autonomes, libertaires, partis anticapitalistes, salariés, chomeurs, imigrés, exclus, etc, une grève générale et une fédération populaire de toutes les personnes qui souffrent de ces lois iniques... Sommes nous prêts à faire cette REVOLUTION ?

    • MONICA _ 25 novembre
      OUI REAGISSONS , mais il semble qu’aucun syndicat n’ait prévu une manif monstre contre le MASSACRE "à la tronçonneuse" du CODE DU TRAVAIL !!
      Le gouvernement ne passera pas par la voie législative, mais en catimini, pour revenir sur la durée légale du travail, les contrats précaires, les prime de fin de contrat, le droit de grève ...........
      C’ EST ENORME, et 16 MILLIONS DE CITOYENS SONT CONCERNES ! LIRE SUR LE SITE INTOX 2007 !
      Je mail aux syndicats, partis politiques, personne ne bouge !
      TOUS DANS LA RUE AVANT LE 27 NOVEMBRE, date du débat de la débacle !!!
      JE SUIS DESESPEREE !
      Si quelqu’un a une info, merci de me répondre

    • Merci la CGT, merci l’NNEF de Fillon Sarkosy

      Reuters, Stockholm, vendredi 23 novembre 2007.

      "Un tournant historique important"
      Sur la voie cahoteuse de la rupture, la refonte des régimes spéciaux de retraite s’impose pour François Fillon comme la bonne stratégie à mener en France en vue de réformes "difficiles" et porteuses de nouveaux soubresauts sociaux.
      "Heureusement, la page est tournée, la grève est terminée. Mais un pays qui est à la recherche d’un point de croissance supplémentaire n’a pas besoin de multiplier les conflits de ce type", a déclaré vendredi le Premier ministre français à l’occasion d’un déplacement en Suède, pays cité en exemple pour la réussite de sa réforme des retraites.
      "Nous avons dans la conduite de la réforme des régimes spéciaux montré à la fois la fermeté, la détermination, la volonté de réussir, mais dans le même temps, une grande capacité d’écoute qui a permis aux organisations syndicales de trouver, malheureusement après neuf jours de grève, la voie des négociations", a-t-il estimé lors d’un point de presse conjoint avec son homologue suédois, Fredrik Reinfeldt.
      "C’était forcément la bonne stratégie, puisqu’elle est en train de réussir", a-t-il souligné.
      "Il s’agit là d’un tournant historique important", a dit François Fillon par la suite, lors d’un discours devant la Stockholm School of Economics.
      Une gestion "presque parfaite", assure-t-on dans l’entourage de François Fillon.
      "Neuf jours de grève, c’est le minimum de ce qu’on pouvait craindre. Il y avait un risque que ça s’enkyste mais le climat n’était pas insurrectionnel comme en 1995", note-t-on, en insistant sur le soutien constant et croissant des Français à la réforme.
      Quant aux tiraillements qui ont pu s’immiscer au sommet de l’Etat durant le conflit, on les minimise au regard de la guerre de positions qui présida à la réforme de 2003, alors que François Fillon était ministre des Affaires sociales.

      "LE RÔLE DU MÉCHANT"
      "En 2003, le ministre des Affaires sociales faisait sa réforme, Matignon lui mettait des bâtons dans les roues, l’Elysée faisait une troisième politique", rappelle un collaborateur.
      Pour la réforme des régimes spéciaux, il y avait un interlocuteur unique, le ministre du Travail, Xavier Bertrand, qui s’entretenait deux fois par jour avec le chef du gouvernement, explique-t-on.
      "Il n’y avait pas de répartition des rôles. Le Premier ministre s’est amusé qu’on lui attribue le rôle du méchant, ce n’est pas l’image qu’il a", témoigne un collaborateur.
      Dans le registre officiel du "ni vainqueur ni vaincu", tempéré néanmoins par des commentaires quelque peu claironnants dans les rangs de l’exécutif, on salue le sens des responsabilités des organisations syndicales, la CGT au premier chef, qui "voulait négocier depuis le début" et n’entendait pas sortir "affaiblie" du conflit.
      Car d’autres joutes attendent l’exécutif et les syndicats.
      La réforme des régimes spéciaux était "dure", mais pratiquement "digérée" par les Français. Les réformes structurelles à venir seront "difficiles", concède-t-on à Matignon, où l’on juge que le plus dur reste à faire malgré l’effet d’entraînement de la réforme.
      "Il ne faut pas faire de cette réforme l’étalon de la rupture. Elle était en préparation depuis longtemps, les esprits étaient mûrs", dit-on.
      Le prochain défi, pour l’exécutif, est la réforme du contrat de travail, pour laquelle les négociations entre partenaires sociaux piétinent. "La flexicurité scandinave, c’est un concept sur lequel nous travaillons", a précisé François Fillon.
      S’y ajoute le rendez-vous de 2008 sur le régime général de retraite.
      De l’avis du gouvernement, les organisations syndicales se réserveraient pour ces futurs combats après le galop d’essai des régimes spéciaux, qui ont démontré la radicalité de la base face à des dirigeants plus conciliants convertis à la nécessité de l’harmonisation
      Sophie Louet, Reuters.