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critique de la rhethorique bric a brac de l’ Ump

Publie le vendredi 24 novembre 2006 par Open-Publishing
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Tout comme un humoriste bien connu se propose, et le fait savoir, d’ examiner les propositions des partis afin de se faire une opinion, et de le faire savoir, je me suis penché sur le discours écrit de l’ UMP afin de me faire une opinion et je vous le fais savoir.

Comme je n’ ai pas que ça à faire et que ma guitare et mon sax me font la gueule parce que je les délaisse, je n’ ai pris qu’ un seul exemple,la confiance qui, comme tout un chacun a pu l’ expérimenter, est à la base du lien social, (n’ est-ce pas les banques ?) en mettant en gras (c’est le gras qui porte les saveurs nous apprennent les cuisinier(e)s et autres rabelaisiens) mes réflexions.

Il est à noter que la rhétorique de l’ écrit ci- dessous s’ appuie sur la dialectique éristique.

Cette forme de dialectique se développe très tôt, par exemple chez les Sophistes. Elle est définie par Arthur Schopenhauer dans son livre La Dialectique éristique.
C’est une méthode de combat dans la mesure où les arguments sont considérés suivant leur efficacité. C’est un art qu’il appelle « l’art d’avoir toujours raison ». Schopenhauer en fait un recueil (non exhaustif) d’une cinquantaine de règles destinées à faire croire à un interlocuteur ou à un public que l’on a raison quel que soit le détenteur de la vérité.

Cette dialectique ne vise pas à la connaissance, ni à la recherche de la vérité, mais indifféremment à cultiver son image de personnage savant ou à défendre sa vérité. (source Wikipédia)

Cette rhétorique a également le pouvoir de semer la zizanie en opposant des groupes ou minorités par un discours simpliste et imprécis qui favorise la barjoterie de chacun, car chacun peut y mettre ce qu’ il désire dans une vision du monde technocratique qui ne s’ embarrasse ni de complexité (chaque être vivant devrait être considéré comme une planète à lui (elle) tout(e) seul(e), mais on n’ a pas le temps, mon bon môssieur ! me crient ma guitare et mon sax, y’ a de l’ enregistrement dans l’ air) ni de compassion et d’ empathie pour les plus démunis.

Je remerci au passage ma prof d’ histoire géo de première et terminale pour m’ avoir enseigné l’ esprit critique, elle ne faisait sans doute que 18 heures de cours, mais bon sang, quel plaisir !

Début du texte de l’ ’UMP

La confiance : il faut cesser de compliquer la vie de la quasi-totalité (admirons l’ imprécision du pourcentage) des ménages( les familles monoparentales et les célibataires apprecieront, mais c’est vrai que la Famille est une « valeur », bel effort quand même pour ne pas citer le mot « famille » qui pourait être considéré comme trop pétainiste), des entreprises, des collectivités territoriales et des associations pour régler les problèmes posés par une minorité (laquelle ? Lesquelles ? de qui parle-t-on ?).

Il faut simplifier les structures, arrêter la machine ( étrange cette façon de réifier l’ activité humaine, la conception de l’ humain n’ est pas loin de se comparer à celle d’ un robot, d’ une machine) à produire de la complexité (celles et ceux qui connaissent la pensée d’ Edgard Morin apprécieront), qui ne résout rien (de quoi parle-t-on ? De la complication de la vie des entreprises, etc...? ou des « problèmes posés par une minorité » ? ou des deux ?les deux sont-ils liés ?), retrouver de l’efficacité (de quoi parle-t-on ? Si c’est de la multiplication phénoménale de la productivité des entreprises grâce à la robotisation, on peut dire que c’est efficace, mais au prix d’ un gaspillage énorme de matières premières, d’ énergie et de souffrance humaine.

De régler les problèmes posés par cette fameuse « minorité » ? en se concentrant sur les priorités (de quoi parle -t-on ?). Chacun doit reprendre confiance dans les autres (l’ auteur(e) de ce texte n’ a -t-il donc pas confiance dans les autres ? Pourquoi ?), pour une société moins rigide, plus libre (libérale ?) et réconciliée : les citoyens dans les élus (democratie participative ? Quel contrôle des élus, une fois élus ?), les salariés dans les entreprises (comment avoir confiance dans des citoyens qui ne se soucient la plupart du temps que du Chiffre d’ affaire, qui n’ ont le plus souvent même pas un mot d’ encouragement pour leurs employés ?, qui n’ hesitent pas à délocaliser là où la main d’ oeuvre est moins chère ? Qui ne sont absolument pas gêné d’ exploiter leurs concitoyens ?

Qui croit dur comme fer qu’ ils ne sont pas là pour faire du social, mais du pognon ?), le patronat dans les syndicats (cf la réflexion ci-dessus), les familles dans les services publics (tiens ! c’est nouveau, les familles n’ ont plus confiance dans les services publics et pourquoi cà ?), le secteur privé dans les fonctionnaires (tous des feignants, c’est bien connu ?), les fonctionnaires dans l’administration (comme l’ Académie Française : la dénigrer mais tacher d’ en faire partie[merci à Gustave Flaubert, dictionnaire des idées reçues] j’ arrête là, pour la suite je vous fais CONFIANCE, ces gens- là, nos concitoyens, sont dans la division, ils (elles)appliquent les principes de Machiavel, pour arriver au pouvoir, tout en prônant le rassemblement), les générations qui précèdent dans les générations qui suivent, la jeunesse dans ceux qui préparent son avenir, la France traditionnelle dans la France multiple, l’Etat dans ce qui n’est pas lui, et tout ce qui n’est pas l’Etat dans la capacité de celui-ci à garantir les principes fondateurs, à préserver la cohésion sociale et à régler les difficultés qui relèvent de sa compétence.

Décroissance au Nord, croissance au Sud et rendons aux peuples colonisés ce que l’ Etat français leur a confisqué, car si notre pays est riche c’est grâce à l’ exploitation et au pillage et ça continue notament en Republique Démocratique(?) du Congo....pour de l’ uranium, je crois.
Sem medo de ser feliz, o povo unido jamais serà vencido.
Sans peur d’ être heureux le peuple uni ne sera jamais vaincu.

Fraternellement citoyen

Sam Telam

Messages

  • Tout comme un humoriste bien connu se propose, et le fait savoir, d’ examiner les propositions des partis afin de se faire une opinion, et de le faire savoir, je me suis penché sur le discours écrit de l’ UMP afin de me faire une opinion et je vous le fais savoir.
    Comme je n’ ai pas que ça à faire et que ma guitare et mon sax me font la gueule parce que je les délaisse, je n’ ai pris qu’ un seul exemple,la confiance qui, comme tout un chacun a pu l’ expérimenter, est à la base du lien social, (n’ est-ce pas les banques ?) en mettant en gras (c’est le gras qui porte les saveurs nous apprennent les cuisinier(e)s et autres rabelaisiens) mes réflexions.

    Il est à noter que la rhétorique de l’ écrit ci- dessous s’ appuie sur la dialectique éristique.
    Cette forme de dialectique se développe très tôt, par exemple chez les Sophistes. Elle est définie par Arthur Schopenhauer dans son livre La Dialectique éristique.

    C’est une méthode de combat dans la mesure où les arguments sont considérés suivant leur efficacité. C’est un art qu’il appelle « l’art d’avoir toujours raison ». Schopenhauer en fait un recueil (non exhaustif) d’une cinquantaine de règles destinées à faire croire à un interlocuteur ou à un public que l’on a raison quel que soit le détenteur de la vérité. Cette dialectique ne vise pas à la connaissance, ni à la recherche de la vérité, mais indifféremment à cultiver son image de personnage savant ou à défendre sa vérité. (source Wikipédia)

    Cette rhétorique a également le pouvoir de semer la zizanie en opposant des groupes ou minorités par un discours simpliste et imprécis qui favorise la barjoterie de chacun, car chacun peut y mettre ce qu’ il désire dans une vision du monde technocratique qui ne s’ embarrasse ni de complexité (chaque être vivant devrait être considéré comme une planète à lui (elle) tout(e) seul(e), mais on n’ a pas le temps, mon bon môssieur ! me crient ma guitare et mon sax, y’ a de l’enregistrement dans l’ air) ni de compassion et d’ empathie pour les plus démunis.
    Je remerci au passage ma prof d’ histoire géo de première et terminale pour m’ avoir enseigné l’ esprit critique, elle ne faisait sans doute que 18 heures de cours, mais bon sang, quel plaisir !

    Début du texte de l’ ’UMP

    La confiance : il faut cesser de compliquer la vie de la quasi-totalité (admirons l’ imprécision du pourcentage)

    des ménages( les familles monoparentales et les célibataires apprecieront, mais c’est vrai que la Famille est une « valeur », bel effort quand même pour ne pas citer le mot « famille » qui pourait être considéré comme trop pétainiste),

    des entreprises, des collectivités territoriales et des associations pour régler les problèmes posés par une minorité (laquelle ? Lesquelles ? de qui parle-t-on ?).

    Il faut simplifier les structures, arrêter la machine ( étrange cette façon de réifier l’ activité humaine, la conception de l’ humain n’ est pas loin de se comparer à celle d’ un robot, d’ une machine)

    à produire de la complexité (celles et ceux qui connaissent la pensée d’ Edgard Morin apprécieront),

    qui ne résout rien (de quoi parle-t-on ? De la complication de la vie des entreprises, etc...? ou des « problèmes posés par une minorité » ? ou des deux ?les deux sont-ils liés ?),

    retrouver de l’efficacité (de quoi parle-t-on ? Si c’est de la multiplication phénoménale de la productivité des entreprises grâce à la robotisation, on peut dire que c’est efficace, mais au prix d’ un gaspillage énorme de matières premières, d’ énergie et de souffrance humaine. De régler les problèmes posés par cette fameuse « minorité » ?

    en se concentrant sur les priorités (de quoi parle -t-on ?).

    Chacun doit reprendre confiance dans les autres (l’ auteur(e) de ce texte n’ a -t-il donc pas confiance dans les autres ? Pourquoi ?),

    pour une société moins rigide, plus libre (libérale ?)

    et réconciliée : les citoyens dans les élus (democratie participative ? Quel contrôle des élus, une fois élus ?),

    les salariés dans les entreprises (comment avoir confiance dans des citoyens qui ne se soucient la plupart du temps que du Chiffre d’ affaire, qui n’ ont le plus souvent même pas un mot d’ encouragement pour leurs employés ?, qui n’ hesitent pas à délocaliser là où la main d’ oeuvre est moins chère ? Qui ne sont absolument pas gêné d’ exploiter leurs concitoyens ? Qui croit dur comme fer qu’ ils ne sont pas là pour faire du social, mais du pognon ?),

    le patronat dans les syndicats (cf la réflexion ci-dessus),

    les familles dans les services publics (tiens ! c’est nouveau, les familles n’ ont plus confiance dans les services publics et pourquoi cà ?),

    le secteur privé dans les fonctionnaires (tous des feignants, c’est bien connu ?),

    les fonctionnaires dans l’administration (comme l’ Académie Française : la dénigrer mais tacher d’ en faire partie[merci à Gustave Flaubert, dictionnaire des idées reçues] j’ arrête là, pour la suite je vous fais CONFIANCE, ces gens- là, nos concitoyens, sont dans la division, ils (elles)appliquent les principes de Machiavel, pour arriver au pouvoir, tout en prônant le rassemblement),

    les générations qui précèdent dans les générations qui suivent, la jeunesse dans ceux qui préparent son avenir, la France traditionnelle dans la France multiple, l’Etat dans ce qui n’est pas lui, et tout ce qui n’est pas l’Etat dans la capacité de celui-ci à garantir les principes fondateurs, à préserver la cohésion sociale et à régler les difficultés qui relèvent de sa compétence.

    Décroissance au Nord, croissance au Sud et rendons aux peuples colonisés ce que l’ Etat français leur a confisqué, car si notre pays est riche c’est grâce à l’ exploitation et au pillage et ça continue notament en Republique Démocratique(?) du Congo....pour de l’ uranium, je crois.

    Sem medo de ser feliz, o povo unido jamais serà vencido.

    Sans peur d’ être heureux le peuple uni ne sera jamais vaincu.

    Fraternellement citoyen
    Sam Telam