l’instauration douloureuse d’un nouveau modèle d’humanité

Nouvel Ordre Mondial, un délire conspirationniste aussi vaste qu’un chantier ouvragé de longue date. Nom promis à une certaine idée de l’harmonie de la civilisation, défaite de ses sociétés cafarnaums et humains insoumis, restructurée pour une humanité nouvellement clairsemée par des pandémies génocidaires, et établie par et pour un ordre technologique de contrôle assurant une certaine idée de la paix mondiale.
L’ordre rêvé, secrêtement conçu dans quelques antichambres du pouvoir principalement américain au départ, est au seuil de son avènement qui s’annonce douloureux. (pandémies dévastatrices baissant la population, conflits et rébellion, camps, etc... menant au final à une société ordonnée technologiquement)
On pense alors aux avertissements d’Eisenhower et Kennedy. Le premier, en 61 ou 62, dans son adieu politique mettant en garde le peuple américain contre la préparation dans les coulisses du pouvoir d’une projection sociétale enfreignant le principe sacré de liberté par l’exploitation de technologies d’origine militaire. (complexe militaro-industriel)
Le second qui dix jours avant son assassinat pourfendait l’idéologie des plans secrêts des élites lors d’une soudaine irruption de programme télévisée, et en appelant au peuple.
Ce programme politique marque l’avènement d’un changement inédit dans l’histoire de l’humanité toute entière. La transition vers cette nouvelle civilisation annonce le plus grand chaos, la peur, la répression intolérable, mais s’est assuré de moyens imbattables voire de nouvelles armes inconnues jusque-là (rayon, Haarp) et de consensus multigouvernementaux.

L’auteur de cet article précise que depuis très peu de temps après avoir commencé à communiquer sur ce sujet (principalement sur la question du génocide) sur le web et par mail, une intimidation anglophone, certes non contraignante, est intervenue, mais compte tenu de la gravité l’auteur a décidé de ne pas en tenir compte.