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Le système judiciaire
Des individus sélectionnés pour leurs qualité d’imperméabilité à toute raison humaine.
Bon rouage très docile au pouvoir politique, bien qu’il jure son Grand Dieu :L’Indépendance !
Pour la simple raison qu’entre gens du même milieux défendant les mêmes intérêts, leur boulot, c’est de faire taire la populace.
Jucher sur le pied-d’alouette de l’arrogance froide, les -irresponsables- s’auto amnistient.
Si le mécanicien qui à mal vérifier les freins devra rendre des comptes ; eux ; ils brisent accusent, traînent, dans l’immonde cloaque, de la chair humaine.
Ils forment la chaîne des saints et des assassins que nulle souillure doit atteindre.
Le monde humain leur ai étranger.
Pas un magistrat, pas une magistrate, pour déplorer, la gifle assénée dans un commissariat à une déjà présumée coupable. Pour eux c’est normal !
Le pouvoir judiciaire, c’est résolument rangé du côté du pathologique.
Parfois ils évoquent leurs quelques angoisses ; ça fait humain ; mais la machine à condamner reprend très vite le dessus. Ils sont très froid. Et si ils sont à ce poste là, ce n’est pas par hasard.
La machine à condamner ne les angoisse pas. Comparution immédiates, extermination sociale ne les emmerdent pas. Il faut dire qu’en 1942 c’était la même chose.
La bielle judiciaire qui à si bien transmit l’énergie de la chaudière aux roues de la locomotive est toujours en parfait état de marche. Le train n’a plus qu’a suivre les rails pour aboutire devant le fronton d’un ultime mensonge "le travail rend libre"
Combien ont démissionné en 1942 ?