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premiére affaire
dimanche un poliecier en plus marié et " bon " pére de famille ( on plaint les gosses d’avance) du commisariat du 8 éme se faisait arréterr aprés avoir violé a emmerainville une jeune femme de 26 ans vers 2h15 du matin , le policier avait dans sa fuite perdu ces papiers ce qui a permis qu’on l’arréte
mais c’est pas tout il n’en était pas a sa premiére victime et avait tenter de le faire dans le même quartier une autre de ses victimes l’a formellement reconnue
autres affaires
lundi 8 novembre 2004, 8h15
Deux surveillants de prison jugés pour viols sur plusieurs détenues
AIX-EN-PROVENCE Deux surveillants du centre pénitentiaire des
Baumettes, à Marseille, comparaissent à partir de lundi devant la cour
d’assises des Bouches-du-Rhône. René Chaumery, 41 ans, et Philippe
Sanchez, 32 ans, sont accusés de viols, commis entre juin 2002 et janvier
2003, sur Teresa et Sophie, deux détenues de 25 et 32 ans de la maison
d’arrêt des femmes.
L’affaire avait démarré le 3 février 2003 par les dénonciations de la
jeune Teresa, qui avait raconté à la police avoir été victime de quatre
relations sexuelles forcées en détention. Les faits auraient eu lieu, pour
l’un des surveillants, dans une pièce au sous-sol de l’établissement, dans
une salle proche du parloir des familles de détenues et dans une cave où
étaient entreposés des produits d’entretien, pour l’autre pendant la nuit
et dans sa cellule.
L’un des mis en cause a reconnu avoir eu des relations sexuelles avec
l’une des détenues, mais il a toujours prétendu qu’elles étaient
"librement consenties", ce que prohibe le règlement de la prison. L’autre
nie totalement les faits qui lui sont reprochés. L’un des surveillants a
été confondu par un mot d’amour rédigé pour Teresa.
Les deux hommes, détenus depuis le 27 février 2003, répondront de "viol et
agression sexuelle commis par une personne abusant de l’autorité que lui
confèrent ses fonctions". Ils encourent une peine de 20 ans de prison.
Deux autres détenues, libérées entre-temps, se sont plaintes des
agissements des surveillants mis en cause. L’enquête interne à la prison
avait alors révélé l’existence de graves manquements aux règles
habituellement en vigueur en détention.
sources réseau résistons ensemble
Pour consulter le site :
autre affaire pour le moins gerbante
un corbeau raciste chez les crs
Le corbeau raciste de la CRS 30 interpellé
Au terme d’une enquête de plusieurs mois, les policiers de l’IGPN ont arrêté un policier de la CRS 30 de Metz, soupçonné d’avoir envoyé des lettres anonymes racistes, antisémites et homophobes à ses collègues.
« Plus de bougnoules, de négros, de juifs et de PD chez les CRS », ou encore « Porter la même tenue que nous ne fait pas de toi l’un des nôtres », avait-il notamment écrit.
Cette affaire avait provoqué l’« écoeurement » de FLAG L’association des policiers policiers gays avait écrit au Directeur Central des CRS pour lui demander de faire toute la lumière sur cette affaire
Au cours de sa garde à vue, le corbeau aurait reconnu les faits. Il les aurait expliqué par l’envie de faire réagir sa hiérarchie.
Il a été déferré devant un juge d’instruction qui l’a inculpé d’incitation à la haine raciale, injure publique envers des particuliers en raison de leur appartenance raciale ou ethnique et violation du secret professionnel.
http://www.france.qrd.org/actualites/article.php3?id_article=1342
sources réseau résistons ensemble
décidément a croire que nos détestables forces du désorde sont aussi détestables dans leurs méthodes que dans leur métiers de chien de garde du systéme
police partout justice nulle part
insécurité sociale totale