Accueil > Quand le Dalaï Lama était au pouvoir, 95% des Tibétains pouvaient être (...)

Quand le Dalaï Lama était au pouvoir, 95% des Tibétains pouvaient être vendus comme des marchandises (videos)

Publie le jeudi 20 mars 2008 par Open-Publishing
8 commentaires


Tibet WAS,IS,and ALWAYS WILL BE a part of China

Quand le Dalaï Lama était au pouvoir, 95% des Tibétains pouvaient être vendus comme des marchandises

de Zang Yanping

Lorsque le Dalaï Lama et la classe des propriétaires étaient au pouvoir au Tibet, 95% de la population étaient des serfs féodaux, sans aucun droit humain. Ils pouvaient être vendus comme des marchandises. Ils étaient fréquemment insultés et battus ou devaient même affronter des châtiments d’une rare violence : par exemple, on leur arrachait les yeux, on leur coupait la langue ou les oreilles, les mains ou les pieds, on leur arrachait les tendons, à moins qu’on ne les noyât ou qu’on ne les projetât dans le vide depuis le sommet d’une falaise. Il était interdit de sortir de sa classe.

Titre original : La « démocratie », la parure trompeuse du dalaï-lama

Traduit par Jean-Marie Flémal pour Investig’Action

Afin de conférer au 14e dalaï-lama une apparence de respectabilité, sa clique le présente, lui, l’ancienne figure de proue principale du servage féodal à structure sociopolitique théocratique, comme un « représentant de la démocratie » et elle prétend que « la démocratie a de tous temps été son idéal » et qu’il « fait la promotion de la démocratie parmi les Tibétains en exil ».

Tout le monde sait que la société humaine passe par trois stades d’évolution : la théocratie, la monarchie et les droits civiques. Il est tout simplement ridicule, sinon bizarre, de décrire le dalaï-lama, ce symbole vivant de la théocratie, sous les traits d’un « combattant pour la démocratie ».

Que s’est-il réellement passé au Tibet, avant 1959, lorsqu’il était dirigé par ce dalaï-lama qui prétend que la démocratie est son idéal ? Avant 1959, les terres et les habitants du Tibet n’étaient autres que les fiefs des institutions des gouvernements, monastères et nobles tibétains locaux, c’est-à-dire les trois principales catégories de propriétaires qui soutenaient le servage féodal tibétain. Constituant moins de 5 pour cent de la population totale du Tibet, ces trois principales catégories de propriétaires possédaient la quasi-totalité des terres arables, des prairies, des forêts, des montagnes, des cours d’eau et du bétail. Elles étaient non seulement habilitées à exploiter les serfs de façon vampirique, mais elles exerçaient également un pouvoir dominateur sur leurs personnes. Les serfs et les esclaves, qui représentaient 95 pour cent de la population du Tibet, ne disposaient d’aucun droit fondamental de l’homme et n’avaient aucune liberté. Dès la naissance, les serfs appartenaient à un propriétaire. Leur existence, leur mort et leur mariage étaient à l’entière disposition de leur propriétaire. Traités comme du bétail, les serfs pouvaient être vendus, achetés, transférés, proposés en guise de dot, offerts à titre gracieux à d’autres propriétaires de serfs, utilisés pour apurer des dettes ou échangés contre d’autres serfs.

Afin de protéger leurs propres intérêts, les propriétaires féodaux de serfs maintenaient en place un système social hiérarchisé et strict en même temps qu’ils exerçaient un pouvoir cruel. Les Treizième et Seizième Codes, qui ont été utilisés jusqu’à la fin des années 1950, stipulaient clairement le prix de la vie des diverses catégories sociales, allant de personnes aussi bon marché qu’un vulgaire cordage de paille à d’autres, plus chères que l’or. Les gouvernements locaux étaient dotés de cours de justice et de prisons et les grands monastères, de même que les nobles, avaient leurs propres prisons aussi. Les serfs qui osaient se révolter étaient persécutés selon le bon plaisir des seigneurs, sous cette dictature cruelle.

Ils étaient fréquemment insultés et battus ou devaient même affronter des châtiments d’une rare violence : par exemple, on leur arrachait les yeux, on leur coupait la langue ou les oreilles, les mains ou les pieds, on leur arrachait les tendons, à moins qu’on ne les noyât ou qu’on ne les projetât dans le vide depuis le sommet d’une falaise.

Les trois principaux ordres de propriétaires forçaient les serfs à assurer toutes sortes de corvées et à payer un loyer, ils les exploitaient en pratiquant l’usure. Les serfs devaient non seulement assurer des corvées pour les diverses institutions des gouvernements locaux, les fonctionnaires et l’armée, mais ils devaient également travailler sans le moindre salaire à l’entretien des récoltes et du bétail au profit des seigneurs, tout en payant diverses taxes. Certains d’entre eux devaient également s’acquitter de taxes et de corvées au profit des monastères.

Des statistiques ont montré que les taxes collectées par les gouvernements locaux du Tibet étaient répertoriées en plus de deux cents catégories et que les corvées assumées par les serfs au service des trois principaux ordres de propriétaires représentaient plus de 50 pour cent de leur travail, voire entre 70 et 80 pour cent en certains endroits. Avant la réforme démocratique, le montant total de l’usure au Tibet était deux fois plus élevé que celui de la production totale des serfs.


Free Tibet—Dalai Lama’s Naked Truth Exposed

Les trois principaux ordres de propriétaires qui dirigeaient le Tibet ancien vivaient principalement dans des agglomérations ou des villes comme Lhassa. Ils étaient étroitement liés par des intérêts communs. Leurs membres – les fonctionnaires, les nobles et les moines supérieurs des monastères – changeaient parfois de rôle pour constituer des cliques dirigeantes puissantes ou pour arranger des mariages entre clans du même rang social dans le but de consolider leurs alliances.

Ils observaient également une règle stricte stipulant que les personnes de rang élevé et de basse extraction devaient être traitées différemment, ce qui, tant que le plan éthique que dans la réalité, consolidait les privilèges et intérêts des propriétaires de serfs. Les descendants des nobles restaient des nobles à jamais mais les serfs, qui constituaient la majeure partie de la population tibétaine, ne pouvaient jamais s’extraire de leur misérable condition politique, économique et sociale.

Le degré élevé de concentration du pouvoir et le gel du passage d’une classe sociale à l’autre allaient mener tout droit à la corruption et à la dégénérescence de la classe dirigeante ainsi qu’à la stagnation et à la décadence de l’ensemble du système social.

« L’intégration de la politique et de la religion » constituait le fondement du servage féodal au Tibet. Sous un tel système, la religion était non seulement une croyance spirituelle, mais également une entité politique et économique. L’oppression et l’exploitation existaient dans les monastères, qui jouissaient eux aussi des privilèges féodaux. Le despotisme culturel régnant sous cette structure sociopolitique théocratique ne pouvait fournir au peuple l’occasion de choisir sa propre croyance religieuse, pas plus qu’elle ne pouvait lui permettre de bénéficier d’une véritable liberté religieuse.

Les serfs n’avaient aucun droit de l’homme, même le plus élémentaire, et ils vivaient dans une indigence extrême. Un dixième des jeunes hommes du Tibet entraient dans un monastère et se faisaient moines. De la sorte, ils n’étaient pas tenus à la production matérielle ni à la reproduction humaine, et cela aboutit à une dépression économique ainsi qu’à un déclin de la population du Tibet. Avec cet asservissement spirituel et la promesse de la béatitude dans une vie ultérieure, le groupe privilégié des moines et des nobles privaient les serfs non seulement de leur liberté physique, mais encore de leur liberté spirituelle.

Le dalaï-lama, à l’époque principal représentant du servage féodal tibétain et chef du gouvernement local tibétain, ne s’est jamais embarrassé de « démocratie » ou de « droits de l’homme ». En fait, c’est par crainte de la réforme démocratique que le 14e dalaï-lama et la clique au pouvoir déclenchèrent une rébellion armée en 1959 et gagnèrent l’exil après son échec.

Après s’être enfuie à l’étranger, la clique du dalaï-lama maintint toujours le cadre politique de base de l’intégration de la politique et de la religion. Selon ce qu’il appelle la « constitution » tibétaine, la dalaï-lama, en tant que figure de proue religieuse, exerce non seulement la fonction de « chef de l’État », mais il bénéficie également du pouvoir décisionnel final dans toutes les questions majeures auxquelles est confronté son « gouvernement en exil ».

Un phénomène intéressant, ici, c’est que les frères et sœurs du 14e dalaï-lama ont successivement occupé des postes clés, dans ce « gouvernement en exil » dirigé leur frère, prenant ainsi en charge des départements importants. Cinq membres de la famille du dalaï-lama ont été « bkha’ blon supérieurs » ou « bkha’ blon » (très hauts fonctionnaires des gouvernements locaux tibétains de l’ancien régime). La famille du dalaï-lama et plusieurs autres familles contrôlent le pouvoir politique, économique, éducationnel et militaire du « gouvernement en exil » ainsi que ses principaux circuits financiers. Il semble que, ces dernières années, ils se soient mis à suivre les exemples occidentaux en organisant des « élections démocratiques » et en adoptant la « séparation des pouvoirs » mais, en fait, le dalaï-lama est toujours nanti de l’ultime pouvoir décisionnel, son « gouvernement en exil » est toujours étroitement lié à la religion et la fonction de « bkha’ blon supérieur » ne peut toujours être exercée que par des moines. Peu importe donc la façon dont la clique du dalaï-lama se pare d’ornements démocratiques puisque, en fait, elle constitue toujours une structure politique théocratique et une coalition de moines de rangs supérieurs et de nobles. La « démocratie » est-elle vraiment possible sous le pouvoir d’une structure politique théocratique et d’une alliance de moines et de nobles ? Le Tibet et d’autres éléments de la communauté tibétaine en Chine ont réalisé voici longtemps la séparation entre la politique et la religion, ils ont accompli des réformes démocratiques et mis en place des gouvernements régionaux autonomes et sont aujourd’hui engagés dans la construction politique et démocratique du socialisme.

Contrastant avec une telle réalité, le discours creux sur la démocratie que nous servent le dalaï-lama et ses partisans internationaux n’est qu’une parure à bon marché qu’ils exhibent pour abuser le public.

Xinhua News Agency
(China Daily, 14 novembre 2007, p. 10)

http://www.michelcollon.info/articl...


Riot in Tibet : True face of western media

Messages

  • http://bellaciao.org/fr/spip.php?article63662

    Ode au dalaï-lama

    Parce qu’un mec qui a du temps à perdre à discuter des heures avec Richard Gere, Isabelle Adjani ou Séverine Ferrer est forcément un con...

    Parce qu’on nous a déjà fait le coup des « combattants de la liberté » avec l’Afghanistan.

    Parce que pour les 1 300 000 tibétains qui vivent au Tibet, la modernisation imposée par les chinois contre l’obscurantisme théocratique lamaïque n’est pas forcément un mal.

    Parce qu’un rationaliste laïc a le droit de ne pas voir dans le Dalaï-lama la quatorzième réincarnation du « Boddhisattva de la compassion » mais un ramolli en pataugas au bla-bla lénifiant, à coté duquel l’abbé Pierre fait figure d’intellectuel.

    Parce que l’association France-Tibet et la Communauté tibétaine en France et ses amis ont un comportement de secte.

    Parce que le Dalaï-lama n’est le pape que de 1% des bouddhistes du monde, et parce que le bouddhisme tibétain (véhicule de diamant) est à la fois le plus tardif et le moins spirituel (le plus empreint de magie) des trois bouddhismes historiques.

    Parce que le bouddhisme est de toute façon, une sagesse individualiste égoïste (pas d’équivalent bouddhiste de la Croix Rouge ou du Croissant Rouge) qui ne débouche sur aucune vision du monde, et ne permet de trouver aucune solution aux problèmes concrets actuels (les inégalités dues à l’exploitation économique).

    Parce que la plus grande communauté des bouddhistes vit en Chine, nullement persécutée et que les tibétains doivent le meilleur de leur bouddhisme lamaïque au chinois Tsong-Kha-Pa.

    Parce qu’avant d’être convoité par la Chine, le Tibet était sous domination anglaise, et qu’un impérialisme n’a fait qu’en chasser un autre (le Dalaï-lama ayant toujours était pro anglo-saxon tandis que son alter ego le Panchen-lama était pro chinois).

    Parce que, compte tenu de la géographie et de l’histoire, la mainmise de la Chine sur le Tibet n’est pas plus scandaleuse que la mainmise des Etats-Unis sur l’Amérique latine (dont on a vu encore vu le résultat dévastateur sur l’Argentine).

    Parce que si l’obscurantisme religieux du lamaisme tibétain fait rêver les cons avides d’exotismes ici, ces mêmes cons ne verraient pas du tout du même oeil une France soudain replongée dans le Moyen Age et le pouvoir du clergé et des moines.

    Parce que les tibétains qu’on entend sont toujours les mêmes 80 000 nantis de la diaspora sponsorisée par les pires droites occidentales pour leur anticommunisme viscérale, et rarement les tibétains qui vivent et travaillent au Tibet.

    Parce qu’un prix Nobel de la paix de prouve rien, puisqu’on a pu en décerner un à Henry Kissinger.

    Parce que les Nazis fantasmaient déjà beaucoup sur le Tibet traditionnel, au point de lui emprunter son symbole : la svastika.

    Pour toutes ces raisons et bien d’autres, que j’invite le lecteur à aller chercher lui-même en lisant simplement les différents articles consacrés au Tibet, au lamaisme et au bouddhisme dans les diverses encyclopédies ou la complexité du problème n’est pas occultée par sa médiatisation grossière.

    J’emmerde le dalaï-lama et tous les bouddhistes de pacotille avec lui.

    Keyser.

  • Extraits d’une entrevue au magazine français Le point, 22 mars 2001

    Le Point : Est-ce que l’avortement est […] violence ?

    Le dalaï-lama : Tout à fait, et il vaut mieux l’éviter. Par contre, je suis pour les méthodes de contrôle des naissances : la pilule ou le préservatif.

    Le Point : Que pensez-vous de l’homosexualité ?

    Le dalaï-lama : Cela fait partie de ce que nous, les bouddhistes, appelons « une mauvaise conduite sexuelle ». Les organes sexuels ont été créés pour la reproduction entre l’élément masculin et l’élément féminin et tout ce qui en dévie n’est pas acceptable d’un point de vue bouddhiste : entre un homme et un homme, une femme et une autre femme, dans la bouche, l’anus, ou même en utilisant la main.

  • Quand les Chinois sont intervenus au Tibet en 1959, le servage était encore légal. toutes les richesses et le pouvoir étaient aux mains des seuls moines bouddhistes, l’éducation était réservée uniquement aux religieux et aux nobles.

    Je refuse absolument de participer à cette grossière opération de la CIA, destinée avant tout a saboter les jeux Olympiques de Pékin, et en même temps de détourner l’attention de l’opinion de la faillite du système financier capitaliste.

  • C’est sûr qu’il faut s’accrocher aux branches pour remonter le courant : et si le Thibet était en Chine ? Cela veut dire quoi un pays pollué par le Chinois qui étouffe par le nombre les coutumes et l’ethnie tibétaines ?
    Qui provoque les émeutes ? JdesP

  • http://bellaciao.org/fr/spip.php?article63507

    La CIA : "C’est nous qui avons préparé l’insurrection au Tibet"

    de InforTibet

    La préparation de la révolte armée a duré des années, sous la direction des services secrets américains, la CIA. C’est écrit noir sur blanc dans "The CIA’s Secret War in Tibet" (La guerre secrète de la CIA au Tibet) de Kenneth Conboy (University Press of Kansas, 2002, 300 pages), un ouvrage à propos duquel le spécialiste de la CIA, William Leary, écrit : "Une étude excellente et impressionnante sur une importante opération secrète de la CIA durant la guerre froide."

    Tibet : pour la liberté, avec la CIA ?

    En 1951, les communistes prenaient le pouvoir au Tibet. Au cours des deux siècles qui avaient précédé, pas un seul pays au monde n’avait reconnu le Tibet comme un pays indépendant. Durant ces deux cents ans, la communauté internationale avait considéré le Tibet comme une partie intégrante de la Chine ou, du moins, comme un État vassal. En 1950 déjà, l’Inde disait que le Tibet était une composante de la Chine. L’Angleterre qui, il y a quarante ans, occupait pourtant une position privilégiée au Tibet, suivit la position indienne au pied de la lettre.

    Seuls les États-Unis se montrèrent hésitants. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, ils considérèrent le Tibet comme appartenant à la Chine et ils freinèrent même l’Angleterre dans ses avances au Tibet. Mais, après la guerre, les États-Unis voulurent faire du Tibet un rempart religieux contre le communisme.

    Contrairement à ce qui se passa avec la question coréenne, ils furent complètement isolés. Ils ne purent mettre sur pied la moindre coalition internationale. En 1951, la majorité de l’élite tibétaine elle-même, y compris l’Assemblée générale élargie, accepta l’accord négocié avec la Chine à propos d’une « libération pacifique ».

    Mais cela changea lorsque, en 1956, les autorités décidèrent d’appliquer une réforme agraire dans les territoires tibétains de la province de Sichuan. L’élite locale n’accepta pas qu’on touche à ses propriétés et droits. Cela allait mener au soulèvement armé de 1959.

    La préparation de la révolte armée avait duré des années, sous la direction des services secrets américains, la CIA. C’est écrit noir sur blanc dans « The CIA’s Secret War in Tibet » (La guerre secrète de la CIA au Tibet) de Kenneth Conboy (University Press of Kansas, 2002, 300 pages), un ouvrage à propos duquel le spécialiste de la CIA, William Leary, écrit : « Une étude excellente et impressionnante sur une importante opération secrète de la CIA durant la guerre froide. »

    Un autre livre, « Buddha’s Warriors – The story of the CIA-backed Tibetan Freedom Fighters » (Les guerriers de Bouddha – L’histoire des combattants tibétains de la liberté soutenus par la CIA), de Mikel Dunham (Penguin, 2004, 434 pages) explique comment la CIA a transféré des centaines de Tibétains aux États-Unis, les a entraînés et armés, a parachuté des armes sur le territoire, a enseigné aux gens comment ils pouvaient se servir d’armes à feu tout en étant à cheval, etc.

    La préface de cet ouvrage a été rédigée par « Sa Sainteté le dalaï-lama ». Sans doute ce dernier considère-t-il comme un honneur le fait que la rébellion séparatiste armée ait été dirigée par la CIA. Dans cette préface, il écrit : « Bien que je croie que la lutte des Tibétains ne puisse être remportée que par une approche à long terme et des moyens pacifiques, j’ai toujours admiré ces combattants de la liberté pour leur courage et leur détermination inébranlables. » (page XI)

    Réactions tibétaines et internationales lors de la prise de pouvoir par les communistes, en 1951, Infortibet, 14 janvier 2008. en néerlandais : http://infortibet.skynetblogs.be/po...

    Le « Cirque de l’ombre : la CIA au Tibet », un documentaire revu, Infortibet, 5 février 2008.

  • Xinhua News Agency (China Daily, 14 novembre 2007, p. 10) effectivement l’article est de la presse chinoise !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! marino