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(videos) Nicole Notat (ex CFDT) reportage (honteux)

Publie le samedi 30 octobre 2010 par Open-Publishing
22 commentaires

Présentation de celle qui a dirigé la CFDT avant Chéréque.

Reportage Canal + février 2005

Leader européen de la notation extra-financière, le Groupe Vigeo mesure les performances des entreprises en matière de développement durable et de responsabilité sociale, et fournit ces données aux gestionnaires d’actifs.

http://www.vigeo.com/

Birmanie : On n’entend pas Nicole Notat sur la caution éthique et durable qu’elle apporte à TOTAL (+ vidéo)

C’est quand même incroyable que ce scandale ne soit pas plus relayé. A l’occasion du Grenelle de l’environnement, on voit Nicole Notat parader devant les caméras.

Vigéo, société qu’elle dirige depuis sa création en août 2002, (après qu’elle ait quitté la tête de la CFDT en mai 2002), donne un label éthique et durable aux entreprises qui veulent figurer sur les portefeuille éthique des banques. Le problème, c’est que Vigeo est financé par ces même entreprises. par exemple EADS et Total. Et forcément, parmi les entreprises proposées par les banques grâce à VIGEO nous trouvons EADS (vente d’armes) et TOTAL qui bafoue les droits de l’homme en Birmanie. Selon Novethic, avec sa seule exploitation de Yadana, Total rapporte près de 350 millions d’euros par an au pouvoir birman.

Elle est associée à la tête de Vigeo, à l’ancien patron des patrons et vice-président de Suez, Jean Gandois, et au PDG d’Alcatel Serge Tchuruk - critiqué pour avoir augmenté sa rémunération quand son entreprise perdait de l’argent et licenciait ses salariés, ce label est une véritable opération de blanchiment d’image.

Déjà, Canal + avait fait un reportage édifiant en février 2005, dénonçant le fait que des actions Total étaient proposées à des clients de banques voulant faire du placement éthique :

http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article1243

Messages

  • Chérèque deviendra-t-il PDG d’une grosse boîte en 2014 à la fin de son dernier mandat ?

    • n’oubliez pas le modèle managérial de la cgt qui se retrouve avec plusieurs dizaines de procès aux prud’hommes pour harcèle ment,salaires impayés etc...faite ce que j’ordonne ,pas ce que je fais !!!

      dans le best off renseignez vous sur la création de f.o(ceci vous expliquera cela) sans oublier que c’est le syndicat très majoritaire chez les matons,qui sont,comme tout le monde le sait,les protecteurs des taulards !

      Il ne reste plus comme syndicat que SUD

      Perso je ne suis pas encarté pour ne pas finir dans le fichier de big brother,dans le meilleur des cas,ou dans un stade,comme cela est prévisible pour certains d’entre nous a moyen terme.

      BAKOUNINE

  • la cfdt serait elle par ces dirigeants ou ces anciens une affiliation du medef et de l’ump ?

  • Notat a signé un chérèque en blanc, la Totale.

  • Merci aux camarades qui l’ont sortie sous les huées de sa dernière manifestation parisienne, juste avant qu’elle n’aille à la soupe. Sa gamelle à la main, elle attend son compère Chérèque. Une question : vous voyez à quoi ça sert, les "droits de l’homme" ? Une deuxième : qui a dit que dans une société bourgeoise ça n’était que les droits des propriétaires ?

  • C’est Notat, fidèle à elle même

    je ne comprendrais jamais comment elle a pu diriger la CFDT

    le retraité

  • Quand j’entends son nom, je n’ai qu’une réaction très primaire et qui ne sert pas notre cause, mais çà fait du bien qd même : catin du patronat !

  • L’histoire d’une vie faite de, collaboration et de mensonge,que dire de plus ?Si,finalement ,elle me fait gerber.momo11

  • Total en Birmanie : des ONG interpellent le Groupe sur sa présence en Birmanie

    InfoBirmanie, Burma Campaign UK et la FIDH ont interpellé la direction de Total à l’occasion de l’Assemblée générale des actionnaires du Groupe, ce vendredi 16 mai 2008, concernant le soutien moral et financier que constitue la présence de Total en Birmanie.

    En octobre dernier, un haut responsable du Groupe annonçait à la presse que l’investissement du gazoduc de Yadana générait un flux annuel de 350 millions d’euros, soit près d’un million d’euros par jour pour le gouvernement militaire birman. « Il s’agit d’une somme considérable », a déclaré Frédéric Debomy, d’InfoBirmanie. « Nous avons interrogé Total sur le montant exact que le gazoduc de Yadana, dont Total est le principal opérateur, rapporte à la junte birmane. Il nous a été répondu qu’il s’agit de 125 millions d’euros par an. Il y a donc une fois de plus des déclarations contradictoires sur l’ampleur des versements à la junte », a expliqué Frédéric Debomy. « Je ne vois pas quel intérêt le montant total pourrait représenter pour vous », a en outre déclaré Thierry Desmarest, Président du Groupe.

    Selon un rapport publié le mois dernier par EarthRights International (ERI), une ONG américaine, la présence des forces de sécurité birmanes le long du gazoduc occasionne aujourd’hui encore des violations des droits de l’Homme à l’encontre de la population civile. Dans une lettre ouverte à ERI datée du 5 mai, Total déclare être au courant des violations qui interviennent dans le couloir du gazoduc et que les auteurs de tels actes sont poursuivis en justice. « Nous avons demandé des informations plus détaillées sur le type et le nombre de violations rapportées et les mesures prises pour les sanctionner. Nous avons également interrogé Total pour savoir si l’entreprise envisage d’assurer par d’autres moyens la sécurité du gazoduc, sans recourir aux forces de sécurité birmanes », a déclaré Isabelle Brachet, Responsable Asie de la FIDH. « S’il y en a d’autres [exactions], nous réagirons ; des viols, il n’y en a pas qu’en Birmanie », a déclaré Christophe de Margerie, Directeur général de Total.

    Nous avons également interrogé Total sur l’usage fait des sommes déposées sur le fonds de solidarité établi par Total en 2005, aux termes d’un règlement amiable mettant fin à la procédure judiciaire en cours contre l’entreprise en France pour travail forcé. Ce fonds était destiné à offrir une compensation aux huit plaignants ainsi qu’à toute personne pouvant justifier s’être trouvée dans une situation semblable dans la région de construction du gazoduc. Christophe de Margerie a évoqué le soutien aux camps de réfugiés birmans en Thaïlande et a renvoyé au site internet de Total, précisant que « s’il n’y a pas assez d’informations, dites-le, nous compléterons ».

    Face à ces critiques, les dirigeants de Total ont rétorqué « ceux qui se trouvent à l’extérieur du pays, assis dans des fauteuils en cuir, et qui ont la volonté de voir le pays s’écrouler pour ensuite espérer une révolution ». « Malheureusement, le pays est déjà à genoux, 90% de la population vit avec moins d’un dollar par jour, et la révolution de septembre a été réprimée dans le sang », a conclu Johnny Chatterton de Burma Campaign UK.

    Les réponses apportées par les responsables de Total confirment que l’entreprise entend bel et bien rester en Birmanie, pour le meilleur comme pour le pire.

    Contact presse : FIDH – Gaël Grilhot : +33-1 43 55 90 19 Burma Campaign - Mark Farmaner : +44 207 324 47 13 Info-Birmanie - Fred Debomy : +33-6 64 92 30 28

    http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article3442

  • Assemblée générale de TOTAL : les ONG se mobilisent pour l’arrêt des activités du groupe en Birmanie et pour une plus grande transparence

    12 mai 2006

    A l’occasion de l’Assemblée générale du groupe TOTAL, des membres du collectif « Total pollue la démocratie - Stoppons le TOTALitarisme en Birmanie », Agir ici, Info Birmanie, la Ligue des droits de l’Homme et la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) ont interpellé le groupe dans une lettre au Président sur les activités du groupe en Birmanie et sur la politique de transparence du groupe.
    Les signataires ont renouvelé leur demande à TOTAL d’envisager le retrait de Birmanie dans la mesure où il n’est pas possible de prétendre investir en Birmanie sans que ceci contribue à renforcer le régime militaire en place et à lui fournir les moyens de poursuivre une politique répressive contre sa population.

    Elles ont rappellé que l’Organisation internationale du travail (OIT) a réactivé en mars 2005 et maintient depuis lors ses mesures exceptionnelles adoptées en 2000 recommandant aux « organismes des Nations unies, aux Etats et aux sociétés privées de revoir leur relations avec la Birmanie afin de ne pas encourager le recours au travail forcé ». Lors de la conférence générale de l’OIT qui a lieu en ce moment même, le renforcement des mesures à l’égard de la Birmanie est envisagé.

    Rappelons que depuis le 30 mai 2003, nous restons sans nouvelle Madame Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix 1992 et figure emblématique du mouvement démocratique birman qui demeure assignée à résidence jusqu’en avril 2007.

    En outre, les signataires ont souhaité obtenir des informations précises sur la mise en oeuvre des dispositions de l’accord de novembre 2005 prévoyant l’indemnisation des citoyens birmans se disant victimes du chantier de Yadana en Birmanie dans le cadre de la procédure judiciaire entamée en France contre le groupe pour « séquestration ». En échange du retrait des plaintes, cet accord prévoyait l’indemnisation des plaignants et le financement de projets humanitaires en faveur des réfugiés birmans vivant sur la frontière birmano-thai. Les organisations signataires souhaitent savoir comment seront sélectionnés les projets et par qui ils seront mis en oeuvre. Les organisations signataires se sont notamment intérrogées sur l’aide qui sera apporté aux victimes des exactions de l’armée qui se réfugient dans les camps des pays frontaliers.

    Plus généralement, les signataires et la Coalition « Publiez ce que vous payez » ont interpellé TOTAL sur la transparence de ses activités. En effet, à de nombreuses occasions, le groupe TOTAL s’est déclaré favorable à une plus grande transparence des paiements et des revenus issus de l’activité extractive facilitant ainsi la dénonciation de pratiques (détournement ou mauvaise gestion) courantes dans les pays non-démocratiques et corrompus possédant des ressources naturelles. Les ONG signataires souhaitent que le groupe TOTAL explique les progrès concrets qui ont été réalisés dans la mise en pratique de cette volonté dans tous les pays d’opération.

    Dans certains pays qui adhérent à l’Initiative pour la Transparence dans les industries extractives (EITI), tels le Nigeria, les entreprises pétrolières doivent désormais publier entreprise par entreprise les revenus versés au gouvernement. TOTAL pour sa part souhaite que ne soient publiés que les chiffres agrégés. L’exemple du Nigeria démontre que la publication individuelle est possible, sans que ceci affecte la compétitivité des entreprises concernées. La publication de ces données est en outre indispensable pour garantir que ces informations servent à l’objectif de transparence recherché.

    http://www.fidh.org/Assemblee-generale-de-TOTAL-les-ONG-se-mobilisent

  • Présentation du Groupe (TOTAL)

    Principes éthiques

    La vie quotidienne des collaborateurs de Total les confronte chaque jour, avec une intensité croissante, aux parties prenantes du Groupe. Collègues, clients, fournisseurs, pouvoirs publics, communautés locales, ONG, actionnaires…attendent de nous rigueur et respect. Il convient donc à chacun de construire avec ses interlocuteurs une relation équilibrée, inscrite dans la confiance et donc, dans le temps.

    Le sens de la démarche éthique est précisément d’enraciner cet équilibre dans des principes et des codes lisibles et partagés. Seuls ces principes et ces codes sont capables de nous protéger de risques majeurs, pouvant affecter l’ensemble de nos opérations. Un déficit de respect des droits de l’homme ou de la concurrence, une infraction aux droits de l’homme, une tolérance face à la corruption peuvent entacher durablement la réputation du Groupe. De telles dérives hypothèquent la confiance des investisseurs, la qualité des relations commerciales et mettent ainsi en danger la fiabilité du groupe. La révolution des medias, et notamment du numérique, intensifie ce risque, et la nécessité de s’en prémunir et de l’anticiper.

    C’est pourquoi nous avons voulu faire du respect des parties prenantes un impératif quotidien, soutenu par un code de conduite, un comité d’éthique et un site intranet dédiés et pleinement partagés par nos dirigeants.

    L’exemplarité des dirigeants constitue l’un des éléments majeurs conditionnant l’adhésion des équipes à la démarche éthique du Groupe. Il leur incombe de se l’approprier, de la diffuser et de la promouvoir.

    Pour Total, l’éthique et l’intégrité offrent la garantie la plus sûre d’une croissance durable et responsable.

    Notre code de conduite

    Nous exerçons nos activités en nous appuyant sur un certain nombre de valeurs et de principes, formalisés dans notre Code de Conduite . Ce document rappelle les engagements de notre direction générale, les principes adoptés et partagés par nos sociétés ainsi que les textes internationaux sur lesquels nous nous appuyons. Y sont également détaillés les principes d’action à mettre en pratique vis-à-vis de nos parties prenantes et les comportements individuels et collectifs attendus de chacun d’entre nous.

    Notre démarche éthique

    Notre démarche éthique repose directement sur les prises de positions de nos dirigeants. Elle est formalisée dans notre Code de Conduite. Pour la mettre en œuvre, nous déployons des moyens importants dans les domaines de la diffusion, de la sensibilisation ou encore de la formation. L’exemplarité des hiérarchies sur le terrain est garant de cette application.

    Les structures impliquées dans la démarche éthique

    Le comité d’éthique est le principal garant de la mise en place et de la bonne diffusion du Code de conduite. Avec les Responsables hiérarchiques de Total, il est un interlocuteur privilégié de tout collaborateur confronté à un problème d’ordre éthique et peut être consulté à tout moment dans la confidentialité la plus absolue.
    La direction Conformité et Responsabilité Sociétale, la direction Audit Groupe, les Ressources Humaines et l’Université Total viennent compléter ce dispositif instauré pour assurer la mise en œuvre de notre démarche éthique sans oublier le parrainage indispensable de la hiérarchie et donc de l’exemplarité de nos dirigeants.

    Méthodes et outils employés dans le cadre de notre démarche éthique

    La bonne application de la démarche éthique nécessite le recours à des méthodes et outils appropriés. Les différents sites intranet et les formations dispensées à travers le Groupe Total permettent de sensibiliser et d’informer nos collaborateurs sur cette démarche tandis que les évaluations éthiques et les contrôles internes assurent son suivi.

    Initiatives et partenariats

    En adhérant à de nombreux organismes ou initiatives internationales telles que le Pacte mondial ou l’Initiative sur la Transparence des Industries Extractives (ITIE), nous démontrons clairement notre intention d’œuvrer pour la mise en œuvre des principes auxquels nous croyons, non seulement au sein de notre entreprise mais plus largement dans le monde qui nous entoure.

    http://www.total.com/fr/groupe/presentation-du-groupe/principes-ethiques-900021.html

  • Et n’oublions pas Edmond Maire, l’ancêtre de Notat, ex CFTC devenu patron de la CFDT, qui est devenu patron de France Active (aujourd’hui présidée par ...cHristian SAUTTER, PS, ça ne s’invente pas !!!) une boîte d’aide et accompagnement à la création d’entreprises qui se présente ainsi : "France Active est un réseau de proximité qui aide depuis plus de 20 ans les personnes en difficulté à créer leur entreprise individuelle.
    Il finance parallèlement les entreprises solidaires (insertion par l’activité économique, associations d’utilité sociale).
    "

  • Des placements éthiques financés par un marchand d’armes !.....Dans une vrai démocratie , cette chère me Notat serait en "prison" !......................