Accueil > COMORES : DES OPPOSANTS TROUBLE-FETARDS
Hier, ils ont fait le strict minimum en condamnant symboliquement la consultation sauvage organisée à Mayotte par la France. Certains ont gardé un silence de cimetière face à cet ethnocide planifié.
De cette consultation, la France signifie à l’Etat comorien que Mayotte est définitivement française malgré les nombreuses condamnations émanant de la communauté internationale.
Nos pantins opportunistes et incultes ne ratent aucune occasion pour montrer à la France qu’ils approuvent le choix des mahorais, en feignant d’oublier que beaucoup des militaires et fonctionnaires métropolitains ont pris part à cette mascarade, même si les médias et les hommes politiques français parlent mensongèrement « d’une écrasante majorité des mahorais ». D’autres encore proposent lamentablement que l’on réactive le groupe de travail de haut niveau (GTHN) comme si un visa d’entrée à Mayotte équivaut l’intégrité de nos frontières internationalement reconnues. Quelle bêtise ?
Aujourd’hui, ses amuse-gueules qu’on appelle ici, des hommes politiques sont unanimement d’accord pour boycotter le referendum constitutionnel initié par le président comorien, et foutre la merde pour donner l’image d’un pays chroniquement instable. Ils n’hésitent pas parfois à lancer les hostilités à partir de notre territoire occupé. Quelle connerie ?
On ne leur demande pas de soutenir le président actuel, mais aller jusqu’à inciter les jeunes à des actes barbares et violents est irresponsable.
Pourquoi ces charlatans n’appellent-t-ils pas à voter NON au lieu de jouer les trouble-fêtes ?
Plusieurs de nos compatriotes sont malmenés, humiliés à Mayotte par l’administration française, pourquoi ces misérables ne réagissent-ils pas ? _ Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2007 une collision entre une vedette de la PAF et un kwassa kwassa avait fait plusieurs morts et disparus. La CNDS (COMMISSION NATIONALE DE DEONTOLOGIE DE LA SECURITE) avait condamné la méthode employée de ’’recherche à la dérive tous feux éteints’’, contraire aux règles internationales de navigation. Qu’ont-ils fait nos pseudo-politiciens ?
Pour finir, « Être dirigeant, c’est sacrifier sa vie pour le bien-être de son peuple, c’est conduire un peuple en tenant compte de ses aspirations, c’est être constamment à son écoute, c’est tisser un lien solide avec lui, c’est réaliser des desseins pour son peuple, alléger ses difficultés autant que possible et surtout défendre et servir ses intérêts. » : Kofi Asike.
Wongo gde-comore
Source http://wongo.skyrock.com/