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Grèce : "Eviter la faillite est notre ligne rouge nationale" (Georges Papandréou).
Publie le dimanche 2 mai 2010 par Open-Publishing2 commentaires
Le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré dimanche qu’"éviter la faillite" était la seule "ligne rouge" que s’était fixé son gouvernement, lors d’un conseil des ministres extraordinaire pour annoncer l’accord avec l’Union Européenne et le FMI sur le plan d’aide à la Grèce.
Messages
1. Grèce : "Eviter la faillite est notre ligne rouge nationale" (Georges Papandréou)., 2 mai 2010, 12:11
Vers une fermeture des banques grecques ? :
Avant la greve generale du 5 mai,on va assister a l’acceleration du retrait des avoirs des banques grecques,des lundi, apres le constat de la faiblesse financiere du FMI :
Quantifying The IMF’s Ability To Bail Out The World
Submitted by Tyler Durden on 05/02/2010 04:08 -0500
http://www.zerohedge.com/article/quantifying-imfs-ability-bail-out-world
L’ordre du jour de la prochaine reunion Bilderberg en Espagne a été devoilé par Trichet dans son discours au CFR a New York, il y a quelques jours (en anglais) : une gouvernance mondiale et une monnaie mondiale... :
Trichet - La reprise, fragile, nécessite des finances assainies
26/04/10 à 19:37 - REUTERS | 0 commentaire
NEW YORK, 26 avril (Reuters) - Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, a déclaré lundi que l’économie mondiale avait "franchi un tournant" vers la reprise mais qu’elle restait fragile en raison de la faiblesse de la demande privée.
"La bonne nouvelle, c’est que l’économie mondiale a désormais franchi un tournant, en grande partie grâce aux mesures de soutien sans précédent prises à la fois par les banques centrales et par les gouvernements, qui ont aidé à rétablir la confiance", devait-il dire dans un discours devant le Council on Foreign Relations, selon le texte rendu public à l’avance.
Jean-Claude Trichet a averti que le soutien à la reprise ne laissait aucune place à la complaisance et que cette reprise n’était pour l’instant pas "suffisamment soutenue par la demande privée".
"Une reprise complète implique aussi un retour à des situations budgétaires soutenables", a-t-il ajouté.
(James Mackenzie et Daniel Bases, Marc Angrand pour le service français)
http://www.investir.fr/infos-conseils-boursiers/actus-des-marches/infos-marches/trichet-la-reprise-fragile-necessite-des-finances-assainies-246528.php
1. Grèce : "Eviter la faillite est notre ligne rouge nationale" (Georges Papandréou)., 2 mai 2010, 20:24, par alzheimer
je ne parviens pas à passer la video
la zut !!
alzheimer
infosRSS Feed mondeinterviewyoubulletin.Lecture/Arrêt VidéoGrèce : des manifestants en “guerre”01/05 16:35 CET
Fête du Travailmonde
Athènes a croulé sous le poids des cortèges du 1er mai qui, cette année, n’ont rien de traditionnels. Des milliers de manifestants sont partis en guerre contre les sacrifices réclamés par leur gouvernement.
Pour obtenir l’aide du FMI et de l’Union européenne et sauver leur pays de la déroute financière, les Grecs vont être soumis à une cure d’austérité sans précédent. De quoi mobiliser les foules, attiser les tensions et alimenter la colère de la rue…
Des jeunes ont voulu rejoindre le parlement en criant “non à la junte FMI”, en référence à la dictature militaire qui régna en Grèce de 1967 à 74. Ils se sont heurtés violemment aux forces anti-émeutes. Un coktail molotov a brûlé un policier.
Dans le nord du pays, à Salonique, des affrontements ont aussi opposé jeunes et policiers en marge d’un défilé de 20.000 personnes.
C’est vendredi, avant de s’adresser à ses concitoyens, que le Premier ministre George Papandréou a annoncé aux parlementaires que “la survie de la nation” dépendait de nouvelles mesures d’austérité.
Ces économies sont nécessaires pour obtenir des prêts de l’ordre de 100 milliards d’euros sur trois ans du FMI et de l’Union européenne.
L’accord qui permettra de débloquer ces crédits devrait être conclu demain, dimanche, lors de la réunion de l’Eurogroupe.
Selon des syndicalistes grecs, les économies réclamées par Athènes pourraient atteindre 25 milliards d’euros en deux ans. Il s’agirait d’un effort de rigueur sans précédent dans la zone euro.
Les syndicats affirment que les droits des travailleurs sont menacés. Certains parlent d’un retour au 19ème siècle…
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