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Mexique : Aux ORGANISMES DÉFENSEURS NON GOUVERNEMENTAUX des DROITS HUMAINS

Publie le mardi 13 mai 2008 par Open-Publishing
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mardis 13 mai 2008

PARTIE AU PEUPLE DU MEXIQUE

Aux PEUPLES du MONDE
Aux ORGANISMES DÉFENSEURS NON GOUVERNEMENTAUX des DROITS HUMAINS
Aux ORGANISATIONS SOCIALES, POLITIQUES Et RÉVOLUTIONNAIRES

SOEURS, FRÈRES, CAMARADES !

Face à notre peuple, nous exprimons :

La dénonciation de détention- la disparition nos compagnons et d’autres lutteurs sociaux comme celle de Francisco Parois et l’exigence par sa présentation avec vie n’obéit pas à une stratégie médiatique, ni à un plan qui cherche nous encumbrar dans des conjonctures politiques, le seul fait de le supposer est mesquin et pervers. Combattre contre les disparitions pour motifs politiques une nécessité et une demande irrévocable pour tous ceux-là est que nous disons de combattre par la transformation du pays.

Durant ces 44 années de lutte révolutionnaire nous avons lutté par la transformation profonde de notre société, en résistant et en combattant comme une partie de d’elle contre l’impunité et les crimes lesa d’humanité perpétrés par l’État mexicain qui garde un historique noir en ce qui concerne la répression et les crimes exécrables, sont 800 attentivement- disparus dans les gouvernements priístas et dans les administrations panistas il existe plusieurs dizaines que le FNCR et autres organismes ont documentés et ont dénoncé en son temps.

Même s’il cause surprise, pour propres et étrangers aux structures de de pouvoir, de le nôtre entraîner et de travail politique est régi par des principes politicien- idéologiques et chaque activité par petite ou grande qui est est précédée par une analyse politique, motivée par les conditions socio-économiques que garde le pays dans chaque étape. Pour cela ceux qui voient dans les insurgés, dans notre parti, dans nos militants et combattants à puñado à un minuscule de violents d’irrationnels sans cause ni politicien ideario, ils se sont trompés ici une fois de plus, il y a programme lutte, principes, linéaments, alternatives générales, méthodologie et d’un projet de pays par lequel nous combattons par conviction en promouvant et en promouvant toutes les formes de lutte.

Lutter ensuite alors pour ouvrir des espaces où différentes personnalités progressistes et honnêtes et organisations défenseuses des droits humains en exigence par la défense des droits universels de l’homme et préserver la vie de des disparues n’est pas superflu, le promouvoir il n’est pas non plus symptôme décomposition, déviation, soumission ou désespoir, est avant tout une attitude conforme devant la vie et la liberté pour lesquelles nous les aimons profondément.

Par des années nous avons fait l’objet de calomnies, de campagnes discrédit et satanización organisée depuis et par l’État par le biais de leurs organismes d’intelligence civile et militaire, que trouve immédiatement écho dans des personnes et des porte-parole qui construisent leur bien-être et carrière aux dépens du trésor public comme récompense pour empoisonner des esprits et coeurs qu’ils essayent de mouler tu fais prendre conscience pour le régime, au degré que la brutalidad répressive de l’État et les crimes lesa d’humanité soient justifiés à nom d’un État de droit oligarchique qui criminaliza toute expression de mécontentement.

Dans ce contexte, quelques détracteurs de notre parti qui à un moment algide ont pris une attitude de calomnies et denuestos vers nous en donnant lieu à croire de duquel nous étions réduits à néant, avec le temps ils ont mûri et ils changent à un avis différent inévitablement nous ils ont fait, toutefois, des dommages parce qu’il est de là de d’où l’État compile beaucoup d’éléments pour vouloir confondre à notre peuple avec des campagnes de guerre psychologique pour nous discréditer devant les yeux de de vous, notre peuple.

Pour quelques lui a causé de l’étrangeté l’initiative de médiation par la présentation de nos compagnons, attitude qui est hors de propos parce que nous avons toujours donné priorité au facteur politique, il est nécessaire de rappeler qu’avant les actions d’auto-défense pour arrêter l’impunité de l’État qu’avec leurs organes répressifs marchaient chasser aux lutteurs sociaux, nous dénonçons devant des organismes défenseurs de droits humains un crime tellement exécrable ; avec nos communiqués qu’ils ont précédés en entraînant político-militar nous exigions du gouvernement Ulises et de Calderón leur présentation et liberté immédiate, en dénonçant la reedición de la guerre sale et signalions la légitimité des actions d’auto-défense.

Nous on a diminué et nous on a même provoqué en assumant le fait que ni nous avions la capacité ni la disposition d’être conformes, en partant de l’erreur de qualifier comme mensonge détention- la disparition nos compagnons, mais d’autres détention- disparitions forcées par des motifs politiques ils sont venus confirmer ce que beaucoup niaient : que détention- la disparition pour motifs politiques était utilisée par l’appareil répressif de l’État pour faire taire des voix critiques et des mouvements de protestation populaire.

Des messieurs du gouvernement et vocingleros se trompent du système dans leurs jugements et analyses sages, nous ne demandons pas une négociation quelqu’un produit faiblesse ou parcage politique, ou parce que “sentimos pas dans l’azotea” ; devant le grand déploiement policier pour chercher et capturer aux compagnons lesquels il a retombé la responsabilité des actions légitimes d’auto-défense, lesquelles font partie de la guerre populaire.

Nous sollicitons l’intervention d’une commission de médiation pour qu’à travers les espaces minimaux légaux délimités par un état de droit qui tout criminaliza, qui malgré cela intercèdent dans la recherche et les démarches pour obtenir la présentation avec vie de nos compagnons et des autres attentivement- disparus.

La commission de médiation que nous avons proposée avec des notables mexicains, pour qu’avec l’effort de de tous et de leurs bons offices ils gèrent, ils traitent et fassent des recherches à la recherche de la vérité sur attentivement- disparues devant les différentes instances de gouvernement.

À cette initiative politique- civile de caractère humanitaire le gouvernement répond avec des menaces, disqualifications et stigmates pour fermer pas à la vérité historique, à le quel pourra seulement s’arriver elle l’endroit et tormento de des disparues, ainsi comme del connaissance publique des responsables matériels et intellectuels.

Avec la négation de facto de l’existence de de attentivement- disparues par le présent gouvernement, on prétend annuler la possibilité d’une sortie politique au problème grave qui règne dans le pays avec l’existence de détention- disparitions forcées par des motifs politiques. À la violence institutionnalisée contre les lutteurs sociaux on ajoute davantage de violence étatique, en essayant d’imposer une sortie policier au moyen d’accords qui noient prématurément toute possibilité politicien- civile.

Dans un conflit interne sans importer l’ampleur de la force des parties belligérantes les médiations sont un facteur fondamental par le respect au droit international à la vie, médiations qui doivent être portées avec le plus grand tact politique et avec l’intelligence dépassée qui aboutit une diplomatie qui pour commencer existe le respect à à ce qui est contrincante basés les débuts universels de l’homme.

Ni les chantages, ni les menaces proferidas avec la prétention de s’agenouiller nous ou qui capitulemos par les “buenas” ; ils arrêteront la volonté de combattre de notre peuple. Les armes et les actions d’auto-défense sont et sont encore une mesure politique légitime devant le gaspillage de la violence qui vient de l’État contre le peuple et ses organisations.

Par rien il doit être oublié, que le point central de cette situation regrettable qui vivons est par détention- la disparition de nos compagnons Edmundo des Rois Amaya et Gabriel Alberto Cruz Sánchez. Avons-ils été ceux attaqués tout comme les lutteurs sociaux en Michoacán, dans l’État du Mexique, en Guerrier et en Oaxaca, Alors quels sont ce qui est violents ? Dans l’histoire del pays la violence a été et est monopole del Été, de de celui-ci provient toute la violence, ce qui est révolutionnaires nous n’avons pas fait une autre chose plus que combattre par nos droits légitimes et agir défense légitime des intérêts populaires.

L’actuel secrétaire de gouvernement, M. Mouriño, on veut présenter avec ínfulas de politicien et homme d’Etat, investiture qu’il ne parvient pas à couvrir étant un chef d’entreprise arribista qui a thésaurisé fortune au moyen du trafic d’influences, ce qui est fines tu compromets ils ont été sa méthode liée à à ce qui est transnationales saqueadoras et depredadoras de l’environnement.

Il est évident que pour ce type de chef d’entreprise même en étant exonéré et en étant blindé par les institutions de l’État et les députés du PAN-PRI, pour lui la vie et la liberté ne représentent rien, ni politique, ni éthique, ni humainement, parce que s’il n’y a pas “bisnes” ;, des réflecteurs et des chambres de par moyen, à la fin aura toujours un exercice égal de de gris et insignifiant qui sa trajectoire politique.

Seulement un –mal schizophrène requérant de de ce qui est panistas - il peut nier la réalité que vit le pays : une iniquité économique, politique et sociale profonde ; la majorité de de ce qui est mexicains nous nous trouvons exclus des droits constitutionnels les plus élémentaires ; en existant plus de 78 millions de de mexicains dans la pauvreté, de desquels 40 sont dans la misère complète ; nous souffrons un cadre juridique oligarchique qui nie toute expression de vie démocratique dans le pays, en existant prisonniers politiques et disparitions forcées ; le respect la pluralité et la diversité politique est un mythe, utilisé avec des fins propagandistes et de maquillaje au régime ; et faux est qu’on résolve en civilidad et dialogue les différences et les conflits sociaux, à à ceux-ci la seule réponse a été la répression sélective et massive, militarisation et crimes lesa d’humanité pour quines critiquent ou ils s’opposent au régime.

À quelle démocratie ce gouvernement se réfère ?, Aux canons qui ont assassiné aux jeunes manifestants dans le 68 ?, À la fraude électorale de de 1988 ?, Au halconazo de du 71 ?, À la fraude de du 2006 qui a fait abstraction de la volonté populaire ?, Au meurtre de plus de 600 perredistas en Gro. ?, Les massacres d’Eaux Blanches, Acteal, à la Forêt, la Flaque d’eau et l’Eau Froide ?, Aux brutales répressions Sicartsa et San Salvateur Atenco ?, À l’état d’emplacement en Oaxaca qui a abrité des crimes lesa d’humanité commis par le gouvernement criminel d’Ulises Ruiz ?, À la militarisation du pays qui annule de facto des garanties individuelles et droites constitutionnelles ?, À cas il se réfère à la violation systématique des droits humains et constitutionnels commises quotidiennement par des policiers et des militaires ?, Ou il se référera la majorité asservissante du PAIN et au PRI qu’imposent mañosamente les réformes néo-libérales qu’exige l’oligarchie nationale et transnationale ?, … ; Ceci n’est pas démocratie, est l’état de droit oligarchique avec lequel on impose une dictature policier avec l’argument puéril de combattre le crime organisé.

Pour l’actuel gouvernement démocratie il est synonyme de violence institutionnalisée. Pour lesquelles “el accomplissement de la loi et le respect plein à l’État de Derecho” ; il reflète la véritable vocation répressive de ce gouvernement qui voit dans les lutteurs sociaux et les organisations populaires à des terroristes et à des délinquants à auxquels il y faut “aplastar” ; sans aucun miramiento.

La violence avec laquelle se “atendió” ; le conflit magisterial d’Oaxaca, les disparitions enregistrées dans 2007 et la militarisation insultante du pays contredisent comme il se doit que ce gouvernement “haya vu des essais constants de sa volonté de dialogue avec tous les acteurs politiques et sociaux de notre pays, afin de conclure les accords nécessaires pour le développement économique, politique et social” ;.

Le gouvernement de Calderón soutient que “reitera de manière ferme qui n’a pas pris part supposée la retención-desaparición” ; de nos compagnons Edmundo Rois Amaya et Gabriel Alberto Cruz Sánchez et que “la Étude d’avoué Générale de la République a entamé l’enquête préalable et mène à bien les diligences correspondientes” ;. L’incongruité politique et l’aberration juridique des présents se font une fois de plus, dans notre pays et dans ceux qui ont vécu ces crimes lesa d’humanité, pour personne il est inconnu que ces crimes ne peuvent pas être des affectations à initiative personnelle ou de locaux cacicazgos, ceux-ci ont toujours disposé le consentement et la participation des structures fédéraux. Par omission ou commission le gouvernement fédéral est inséré tout comme celui d’Ulises Ruiz dans détention- la disparition de nos compagnons et d’autres lutteurs sociaux.

Il existent des preuves l’existence et le caractère opérationnel de groupes paramilitaires au niveau national, étant structurés par des policiers, marins et militaires, dirigés par ceux-ci qui se spécialisent dans la chasse de lutteurs sociaux, et que pour soutenir son caractère opérationnel sale et anticonstitutionnel effectuent des kidnappings, extorsions et assauts contre des chefs d’entreprise, des commerçants riches narcomenudistas, voleurs de peu de somme et pressions à des chefs syndicaux et de partis politiques, en se présentant dans leurs activités criminelles avec la couverture de de être “zetas” ;.

Résulte une moquerie de plus pour le peuple que les gouvernements de Calderón et Ulises veuillent diluer sa responsabilité qui est pactisée depuis la fraude électorale jusqu’à la répression brutale contre le mouvement magisterial en Oaxaca où ces groupes de de paramilitaires ont agi avec juridiction et impunité totale.

Tout tend à la fabrication de mineurs expiatoires chivos pour sauver aux véritables matériels responsables et aux intellectuels et ne pas casser l’accord PRI-PAN pour imposer les réformes néo-libérales que pose Calderón, en ayant comme porte-parole au Gamboa pederasta Patron et Manlio Flavio Beltrones, en armant de manière peu probable la farsa qu’il existait une enquête contre nos compagnons précédente à sa détention- disparition, argutie legaloide qui cherche justifier le meurtre de nos compagnons, en restant au découvert cette manoeuvre quand des parents et des organismes défenseurs des droits humains aux instances de justice étatique et fédérale ont demandé par eux, ils leur ont répondu qu’il n’y avait aucune cause pénale ni registre des “personas buscadas” ;.

Le harcèlement et le harcèlement contre des parents, amis, organisations populaires solidaires et organismes défenseurs des droits humains qui ont manifesté leur appui pour la présentation avec vie de des disparues est documenté par la dénonciation qu’ils ont faite dans les moyens de communication. Messieurs du gouvernement, le peuple mineur d’âge, ni n’est pas retardé mental, la répression est un fait quotidien.

Alerte compagnons, compagnons et frères ! Les “canales institucionales” ; à auxquels ils convoquent depuis le pouvoir ils sont remplis bureaucratie et pourriture qui transiter par eux signifie être victime des pires injustices ou succomber avec impotencia devant elles, recourir à “la ley” ; il est d’acquérir le passez “automático” ; à prison et devenir note rouge et nombre dans la statistique de la lutte présumée contre la délinquance organisée. Et il est dans ces canaux fétides et cadre juridique legaloide où il s’arrête extrajudiciairement, torture, condamne injustement, assassine et disparaît à à ce qui est pauvres, aux lutteurs sociaux, aux critiques du système et à ce qui est révolutionnaires.

Nous demandons Quel dialogue le gouvernement de Calderón se réfère ?, “ ; À auquel “realizaron” ; avec plus de le million de de mexicains que criait fraude et espurio à Calderón ?, Aux auditions sourdes qui ont été mises devant la demande d’URO est-il déjà tombé ! ? À la consultation qu’ils ont effectuée pour l’accroissement du maïs, la tortilla et les facteurs de production agricoles ?, Au débat qu’ils ont entamé pour que le peuple juge sur l’accroissement à l’essence et à plusieurs produits du panier de base ?, Aux forums qui ont fait pour que les travailleurs jugent sur la réforme de l’ISSTE élaborée par la dupla d’assassins Elba-Yunes ?, À l’enquête qu’ils ont levée dans les différents extraits de la population pour connaître leur sentiment sur la réforme énergétique ?, À l’avasallamiento de de ce qui est Législatif qui font le PAIN et le PRI pour imposer la réforme énergétique ?... À ce dialogue font-ils allusion ? “que Dieu nous saisis confesados” ; et sûrement le diable envierait l’enfer qu’ils ont tant créé priístas et panistas dans le pays.

Les travailleurs du domaine et la ville, les lutteurs sociaux et les hommes progressistes de notre pays savent en connaissance de cause qu’aucune de nos actions d’auto-défense a affecté notre peuple et civils étrangers au conflit été à l’origine à partir de détention- la disparition de nos compagnons, les personnes qui ont été blessé après entraîner il est allé physiquement et psychologiquement à des mains des corps répressifs qui les a arrêtés et les a inculpé sans avoir relation ou aucune culpabilité.

Du gouvernement nous recevons seulement la tentative de dialogue qui est conditionné avec prepuissance et formatage avec alevosía et avantage ; qui juge a priori ; qui brandit des menaces soutenu dans la supériorité de l’État est condamnée à l’échec parce que la seule paix qui est offerte est celle des tombes et les mazmorras de ses prisons d’exterminio.

Dialogue qu’ils comprennent et proposent les hommes du pouvoir et ses défenseurs comme le rendement et le désarmement inconditionnel pour dévier l’attention et ne pas résoudre notre demande principale en ce moment et ignorer tous les motifs économiques, politiques et sociaux qui donnent naissance notre lutte et à demandes. Quelle présence nous demander comme force insurgé révolutionnaire que nous cessons d’utiliser l’auto-défense quand ce sera celle-ci ce qui est seule qui garantit l’intégrité et la défense de notre peuple.

À notre peuple dont nous sommes partie nous lui disons avec franchise qu’autant de fois nous soyons attaqués, une réponse juste sera nécessaire.

N’est pas présumée détention- la disparition de nos compagnons et autres lutteurs sociaux, est réelle et concrète par pénible et aberrante que c’est cette fasciste pratique qui malgré le refus gouvernemental est effectuée par des groupes de de paramilitaires à l’abri du pouvoir.

Donnée à sa première réponse du gouvernement à notre mémoire arrivent les mémoires le meurtre et la trahison à Patin, à Ville, à Rubén Jaramillo, de Misael Núñez Acosta, qui ont été masacrados bien qu’étant dans un processus dialogue ou négociation ; nous arrive la mémoire de la trahison jouée par Zedillo contre les compagnons de l’EZLN et l’inaccomplissement des Accords de San Andres ; nous rappelons la détention injuste et arbitraire de M. Flavio Sosa, en allant à un dialogue avec le gouvernement. NON des messieurs, n’existent les conditions d’aucun type pour nous consigner d’avant parce qu’en arrière de de vous on trouve l’Enclume, Uribe, Bush et toutes les machines répressives.

Pour le peuple et ses organisations il est inacceptable qui aux personnalités qui recourons à leurs bons offices par la qualité humaine et moral laquelle ils disposent seulement ils sont des témoins oculaires muets, le pays mérite une occasion de résoudre le problème de des disparues de manière politique, non avec des mesures policières et autoritaires.

Il existe une intention gouvernementale pour affaiblir l’exigence de la promulgation d’une amnistie pour tous les prisonniers politiques du pays et la présentation avec vie de de toutes les attentivement- disparues pour motifs politiques. Cette attitude on encadre dans les paramètres de la Guerre de basse Intensité pour fausser une demande, l’user et dévier sa solution avec davantage de mesures policier- militaires.

Jamais nous ne nous protégeons dans d’autres et beaucoup moins nions nos actions, conscients nous sommes que faible ce régime d’extrême droite et avec cet état de droit oligarchique même si nous sommes des insurgés révolutionnaires ils ne douteront pas en juger et punir avec saña au compagnon qui tombe dans ses mains, sûrement sous ces lois qui criminalizan le mécontentement et la protestation sociale voudront nous juger comme terroristes et délinquants.

Ni dialogue, ni négociation qui signifie la rendición inconditionnelle et beaucoup moins qui est abandonnée la lutte armée pour avoir une incorporation à la vie institutionnelle, parce que les bases sociales, ainsi que les demandes populaires et les conflits sociaux par lesquels on a pris la décision de la voie armée ils ne sont pas résolus, parce que précisément ces chemins et ces institutions ne représentent pas l’intérêt de la société mais celui de puñado de politicastros au service des grands pouvoirs économiques de d’à l’intérieur et hors du pays.

Nous signalons à notre peuple que le gouvernement crée petits groupes qui disent propagandistement de être puissants et très forts politiquement et militairement sans qu’il soit remarqué plus que dans quelques documents incohérents sur la lutte armée au Mexique, ceci le demande l’État pour infiltrer à des organisations qui font un effort pour essayer de être révolutionnaires, des Soins !, ceux qui disent de être des organisations révolutionnaires ils sont seulement des individus. Comme exemple, la supposée organisation révolutionnaire qui existait et a causé la détention de Jacobo Silva Noyers et Gloire Sable Agis.

Nous saluons une fois de plus avec optimisme à la commission de médiation parce qu’avec ses gestions il constitue un effort collectif et un espoir d’haleine pour plusieurs familles de de mexicains qui sont restées dans l’orphelinage, les veufs, privées de leurs chers êtres, dans l’abandon affectif et matériel en raison de la pratique négligeable de détention- la disparition pour motifs politiques. Un espoir pour le pays de traiter la blessure que provoquent ces crimes lesa d’humanité.

Devant vous et notre peuple nous maintenons notre compromis et mot engagé bien que l’épée de Damocles soit blandida sur nos têtes, que tant que durera sa médiation par la recherche de nos compagnons attentivement- disparus n’effectuerons pas d’actions d’auto-défense.

Pour nous, pour les différentes organisations politiques et populaires, pour notre peuple travailleur, pour les hommes progressistes et les lutteurs sociaux, pour ce qui est révolutionnaires l’essentiel est qu’aucun crime d’État et lesa d’humanité ne soit impuni ; qui se termine avec la guerre sale contre les lutteurs sociaux, celui-là est la réclame généralisée, nos actions d’auto-défense n’ont pas endommagé les intérêts populaires !

Soyons vigilantes tous parce que de nouveaux crimes d’État sont préparés, chaque celui qui dans sa tranchée doit combattre contre la répression et l’impunité. La lutte par la liberté de tous les prisonniers politiques et la présentation de de toutes les attentivement- disparues doivent être les principales demandes que nous devons exiger de ce gouvernement illégitime soutenu avec l’étai des corps répressifs. La défense de la souveraineté nationale n’est pas problème de d’un ou quelques-uns, est le devoir de de tous À organiser et promouvoir la lutte par tous les moyens et manières contre la privatisation de PEMEX !

Nous appelons aux différentes organisations politiques, populaires, des défenseurs des droits humains et à à ce qui est révolutionnaires à documenter, dénoncer détention- la disparition d’autant de lutteur social soyez connu surtout, en Oaxaca et Guerrier, on doit avoir la valeur de rompre avec tout ligotage qui produit le terrorisme d’État pour faire taire ces crimes lesa d’humanité. L’exigence par la présentation avec vie et en liberté de de toutes les attentivement- disparues du pays est une demande qui doit être porte-drapeau par tous sans importer une affiliation partisan ou militantisme politique et idéologique.

VIVANTS ILS SE LES ONT EMPORTÉS, VIVANTS NOUS LES VOULONS !
EXIGER la LIBERTÉ de TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES Et de la CONSCIENCE du PAYS !
PAR LA PRÉSENTATION DE TOUS LES PRISONNIERS DISPARUS !

PAR LA RÉVOLUTION SOCIALISTE !
VAINCRE Ou MOURIR !
PAR NOS CAMARADES PROLETARIOS !
RÉSOLUS VAINCRE !
AVEC LA GUERRE POPULAIRE !
L’EPR TRIOMPHERAIT !

COMITÉ CENTRAL
DE le
PARTI DÉMOCRATIQUE POPULAIRE RÉVOLUTIONNAIRE.
PDPR

COMMANDEMENT GÉNÉRAL
DE le
ARMÉE POPULAIRE RÉVOLUTIONNAIRE
CG-EPR

Année 44
Depuis un certain lieu d’Oaxaca de Juárez, à au 12 mai 2008.

JE TOI NOMME LIBERTÉ, EN CRÉANT CONSCIENCE

Publié par Hugo dans 0:44

Étiquettes : disparus, EPR, Guerrier, Guérillas au Mexique, Oaxaca, répression