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Quand Libé parlait de "zones d’ombre" au sujet du 11/9
Publie le samedi 13 septembre 2008 par Open-Publishing2 commentaires
Il y a sept ans tout juste, deux jours après les attentats, la liberté de s’interroger était encore possible, le silence et la chasse aux penseurs libertaires n’était pas encore de mise, et des journalistes de Libération comme Nathalie Bensahel et Cedric Mathiot pouvaient encore couvrir honorablement les attaques terroristes et éclairer voire émanciper la conscience de leurs lecteurs de la sorte (http://web.archive.org/web/20051123...) :
« La planète entière s’interroge sur les failles béantes de la régulation aérienne aux Etats-Unis, se prenant à douter de tous les systèmes du monde. (…) Chacun tente de comprendre comment les terroristes ont pu franchir autant d’obstacles au sol et dans les airs (…)
Procédures d’alerte. A peu près partout dans le monde, les procédures sont identiques : lorsqu’un appareil change sa route ou disparaît d’un écran de contrôle, une série de procédures d’alerte se met immédiatement en place. De l’alerte technique (problèmes de transmission par exemple), à l’alerte de détresse (moteur en feu ou détournement terroriste), l’intervention des contrôleurs est extrêmement précise et minutée. « Tout est codifié, de l’alerte 1 minute, à l’alerte 10 minutes », explique un professionnel français du transport aérien. « A dix minutes à peine de détournement prolongé, les militaires prennent le relais. » [NDLR : rappelons que le vol AA77 aurait commencé à dévier de sa trajectoire 40 à 45 minutes avant son crash supposé sur une aile en travaux du Pentagone !] Un contrôleur français, interrogé par Libération, assure qu’il est « impossible » de ne pas voir immédiatement qu’un avion est dérouté. Selon la procédure usuelle, explique-t-il, « dix minutes avant qu’un avion entre dans un secteur de contrôle, on reçoit une "strip", une bandelette de papier qui annonce l’appareil et où apparaît son numéro de vol, la compagnie et la route à suivre. » Par la suite, « un contact radio avec le pilote permet de confirmer le plan de vol ». Et à partir du moment où l’avion entre dans le secteur de contrôle, le contrôleur suit sur son écran la route de l’appareil, via le transpondeur, « un émetteur embarqué » qui donne l’identité de l’avion, son altitude et sa vitesse. « Si l’avion dévie de sa trajectoire, on s’en aperçoit immédiatement. » Que se passe t-il alors ? « On a un contact avec le pilote. Et notre réaction dépend de l’explication qui est donnée par l’équipage. Si l’avion disparaît ou ne répond plus, on prévient immédiatement l’armée de l’air et l’avion est pris en chasse. »
Le Washington Post apporte des précisions à propos de l’avion qui s’est écrasé sur le Pentagone. Celui-ci aurait dévié de sa route en direction de Los Angeles sans répondre à la tour de contrôle qui l’interrogeait, et en débranchant également son transpondeur. Ces incidents ont ils dûment été transmis par les contrôleurs ? A quel moment les militaires ont-ils été prévenus ? Ont-ils bien identifié la menace terroriste ? Les avions ont-ils été pris en chasse ? Celui qui s’est écrasé près de Pittsburgh (Pennsylvanie) a-t-il été abattu comme la rumeur en a couru ?
Dernière inconnue : un avion peut-il disparaître des écrans de radars ? Dans au moins deux des quatre détournements, on sait que les transpondeurs ont été coupés au moment où l’avion quittait sa trajectoire. « A partir du moment où le transpondeur est coupé, explique le contrôleur, l’appareil disparaît des radars civils des tours de contrôle. » Mais cela ne le rend pas indétectable pour autant. Les militaires, à la différence de l’aviation civile, ont des radars dits « primaires » qui localisent toute masse métallique dans le ciel. A moins, que l’appareil n’ait volé sous le plancher des radars ou dans des « zones d’ombre ».
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A la suite de ces questions naturelles et fondamentales, tout autant que fondatrices, un enquêteur en herbe a essayé de comprendre pourquoi les avions n’avaient pas été convenablement pris en chasse pour être reconnus et secourus. Dans une partie de son livre auto-édité, Feu sur « Al Qaïda », manipulations fumeuses et sans scrupules au service d’un nouvel ordre oriental et mondial (http://www.lulu.com/content/980410) et datée d’avril 2006 (pp.51-57), que nous reprenons ici, Sacha Sher rassemblait des données troublantes sur leurs trajectoires qui confirment finalement en tous points les soupçons relevés par Libération, à savoir que les avions ont pu voler en dessous des planchers radars et disparaître dans des zones d’ombres. En termes de recherche des responsabilités, cela signifie que les pirates étaient de très bons pilotes et connaissaient même les failles du système de surveillance aérien. A cela s’ajoutait le déroulement concomitant d’exercices militaires, un fait à première vue gênant pour les autorités. Pourquoi l’armée US n’a-t-elle donc pas pris pour excuse ces exercices pour expliquer son retentissant échec ? Parce que cette excuse ne serait pas suffisante ? Parce qu’elle a longtemps voulu dissimuler cette coïncidence qui pourrait la rendre suspecte ? Ou parce qu’elle veut laisser d’elle une image infaillible – selon Ralph Eberhart, les exercices auraient même accéléré la riposte ? Et pourtant l’échec fut patent. Alors, d’où venait l’erreur ? Par où sont passés les avions ? Que s’est-il réellement passé ? Sept ans ont passé et la « planète entière » s’interroge plus que jamais. Chercher l’erreur et chercher l’ennemi n’est pas chose aisée. D’autant que les doutes et les tensions traversent même le FBI.
Voici donc, avec des liens mis à jour, une analyse ancienne de Sacha Sher qui mêle utilement éclaircissements et interrogations.
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11 septembre 2001 : éclaircies printanières
Qui est coupable ? Pourquoi personne n’avoue sur le web ? Parce que le complot était tout petit ?
Si le Pentagone a été frappé par un avion et non un missile, si les tours jumelles se sont effondrées naturellement et non à coup de bombes, si des espions étrangers ont volé les papiers d’agents doubles ou d’arabes en formation de pilotage sans doute connus de la CIA comme étant inoffensifs, pour jouer aux moyen-orientaux suspects sur les routes et dans les night-clubs, si des gens venus d’ailleurs avaient les capacités d’utiliser les systèmes de contrôle à distance des avions FANS, ARIES ou Home Run, si ces mêmes personnes étaient au courant de l’organisation, les 10 et 11 septembre, d’exercices militaires côté US, puisque ces espions avaient pénétré certains bases disposant de la technologie de surveillance AWACS (comme la Tinker Air Force), s’ils connaissaient les failles de la défense au Pentagone grâce à une approche en rase-mottes, rien n’interdit de penser que toute cette opération a été pensée de l’extérieur et a été mise en place en prenant soin de laisser aussi peu de traces que possible, hormis quelques fausses preuves, une fois que des complices fussent parvenus à d’éminentes fonctions au FBI (pour donner les noms des pirates pour chaque vol), à American Airlines (pour cacher éventuellement le fait que certains avions, sans ou avec des passagers en nombre réduit, étaient prévus pour participer à des exercices de routine), à la FAA (Administration Fédérale de l’Aviation, pour faire détruire les traces des conversations avec les pilotes), ou au N.M.C.C. (le Centre de Commandement Militaire National, pour savoir quand auraient lieu des exercices militaires qui feraient partir de leur poste les hauts gradés comme Montague Winfield, remplacé par un novice, ou pour mieux accuser ensuite les militaires – comme le fait l’anti-Skull&Bones/et anti-Nazis Alex Jones – qui auraient sans doute pu faire ces attentats un autre jour s’ils étaient à ce point au contrôle de la réponse aérienne). Les autorités américaines n’ont pas forcément laissé faire, mais elles empêchent assurément de savoir qui a pu détourner ces avions électroniquement, sans doute une petite équipe, puisque la chronologie montre très simplement que chaque avion a été détourné peu avant ou peu après la destruction du précédent. Thierry Meyssan et les autres sceptiques à leur suite auront simplement trop longtemps braqué le projecteur sur les services secrets et l’armée US, distraits en cela par des théories séduisantes, ou par les manœuvres de préposés à la désinformation grossissante et à la limitation des dégâts. Les raisons pour lesquelles les batteries anti-missile du Pentagone n’ont pu fonctionner laisse toutefois penser à un sabotage important au cœur même de l’armée ou au transport d’un transpondeur militaire envoyant un code ami depuis l’avion.
Petit tour d’horizon :
1) Le scénario officiel d’un détournement par des activistes musulmans est difficile à croire pour les raisons suivantes :
Le pilotage des avions, leur détournement loin de leurs cibles, et leur approche finale - surtout au Pentagone – supposerait, à l’actif des pirates, de nombreuses heures de vol à bord d’avions commerciaux, ce dont ils ne pouvaient se targuer. Aucun pilote n’a eu le temps d’actionner le code d’alerte en cas d’acte de piraterie : 7700 ou plutôt 1700 puis 7700 (soit seulement huit chiffres à taper), ce qui est très louche surtout aux USA où les cockpits sont fermés à clef. On ne sait quels noms auraient emprunté les pirates pour monter dans les avions. L’original de la liste de passagers du vol AA 77 écrasé au Pentagone est toujours indisponible (comme on peut le voir avec ces lettres de Sean Bentel, d’American Airlines http://www.aldeilis.net/english/ind...). La commission nationale dirigée par Thomas H. Kean et Philip D. Zelikow reprend la liste médiatique des pirates alors même que le FBI considérait dès le mois de septembre 2001 qu’une partie de ceux-ci ont pu utiliser des pseudonymes ou avoir leurs identités volées (« Expert : Hijackers Likely Skilled With Fake IDs », http://www.cnn.com/2001/US/09/21/in... « FBI probes Hijackers’ identities », http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/am..., http://www.islam-online.net/English...). Depuis le 27 septembre, le FBI cherche toujours à "confirmer la véritable identité de ces individus" (http://www.fbi.gov/pressrel/pressre...). Le fait que le FBI ne soit pas en accord avec les autres autorités suggère que le FBI n’était pas mouillé dans la préparation des attentats.
On ne nous montre aucune vidéo des pirates en train d’évoluer dans les aéroports de départ le jour même. Des images de Mohammed Atta ne le montrent qu’à Portland dans le Maine, le matin même. Plusieurs semaines avant les détournements, des gens de type nord-africain parlant arabe ont pu se faire passer pour Mohammed Atta et ses confrères pour les faire apparaître comme des gens suspects. On sait que le Mossad filait le train à certains d’entre eux en Floride. Or Atta n’était peut-être pas le fondamentaliste que l’on croit. Apparemment, il aimait faire la nouba dans les strip-clubs et mangeait du porc. A moins que ce soient ces doublures qui étaient des fêtards, que des gens ont confondu la doublure d’Atta avec le vrai, et qu’on a dû raconter ensuite, de la bouche d’Amanda Keller à Daniel Hopsicker, qu’Atta était de la CIA (http://quibla.net/amerique2006/11-9.htm). Son père pense, pour sa part, qu’il a été tué par le Mossad.
2) Des hommes au pouvoir, et aussi au FBI, nous cachent de nombreux éléments de preuves :
– Selons des pompiers et un employé du NTSB, l’équivalent de notre Bureau Enquête Accidents, le FBI dissimule les boîtes noires retrouvées à New York (http://www.counterpunch.org/lindorf...). Curieusement, le FBI a co-rédigé la transcription de l’enregistreur de voix du vol UA 93. Quant à la Fédération de l’aviation, le New York Times écrit qu’un employé, Kevin Delaney, aurait détruit les traces des conversations entre les pilotes des avions et les tours de contrôle. Qui lui a donné un tel ordre ? Il est fort possible qu’on veuille nous cacher la trajectoire réelle de ces avions. Soit que ces avions ont été remplacés par d’autres, selon le scénario de l’opération Northwood, soit aussi qu’ils ont été détournés à distance par des experts – de l’armée US, du Mossad, du FSB russe, ou d’un autre service – qui leur auront éteint leurs transpondeurs à distance avant de les faire voler en dessous du niveau de repérage radar. “Sous le plancher des radars”, ou “dans des zones d’ombre” les avions deviennent indétectables même pour les radars primaires des militaires (“Les failles de la sécurité aérienne, Les avions sortis de leur plan de vol auraient dû être détectés”, NATHALIE BENSAHEL ET CÉDRIC MATHIOT, http://web.archive.org/web/20051123..., 13/09/2001). Or, justement, les vols AA 11 et UA 93 ont eu leurs transpondeurs éteints dans des “zones d’ombres” à voir ce graphique :
http://img146.imageshack.us/img146/... ou http://s15.invisionfree.com/Loose_C...). Les détourneurs connaissaient donc bien les failles de la surveillance aérienne américaine. Aussi les avions de chasse de l’armée US n’ont-ils pas pu retrouver les avions perdus, ni, a fortiori effectuer une reconnaissance visuelle de ces appareils à haute altitude. En effet, il existe des traces que le vol UA 175 a été détecté à basse altitude non loin de l’aéroport Stewart International, juste après avoir eu son transpondeur éteint. Le 11 septembre, Jennifer Conklin se trouvait à Blooming Grove, exactement sous la trajectoire du vol UA 175, lorsqu’elle aperçut un avion d’United Airlines voler très bas, quelques minutes avant qu’il n’ait éteint son transpondeur, et quelques minutes avant la deuxième attaque contre les tours jumelles (http://www.911digitalarchive.org/st... ). Comme le rapportait Libération, Flore Mongin a vu le premier avion s’approcher de la tour en montant et en zigzaguant. De piètres pilotes n’auraient pas pu mener à bien une telle approche.
– Il manque les images de près du crash au Pentagone. Ce peut être pour nous cacher un avion militaire ou un missile, mais peut-être aussi un avion non immatriculé ou un avion modifié. Certains ont avancé l’hypothèse d’un missile, hypothèse contestée par des analystes comme Jean-Pierre Desmoulins et Eric Bart qui y voient plutôt un avion chargé d’une bombe ou d’un pénétrateur à l’uranium appauvri. On n’a donc plus affaire à un pur appareil militaire américain, mais à un appareil que des gens auraient eu les moyens de modifier et d’envoyer, téléguidé à distance, au travers des failles du Pentagone qu’ils connaissaient. Peut-être le vol AA 77 était-il vide dans le cadre d’un exercice, et chargé d’une bombe, chose qui se verrait de trop près comme pour le flash émanant du premier avion à frapper les tours, ce pourquoi on nous cache des images (d’après Jean-Pierre Desmoulins, les dégâts internes trahissent la présence d’une bombe, et les archives en ligne montrent que cet avion, comme le vol AA 11 disparu dit-on à New York, n’était pas programmé au départ ce jour-là pour des passagers, http://neplusfairefausseroute.blogs...).
Mais peut-être que le vol AA 77, même prévu pour un exercice militaire ou de routine, a été détruit ailleurs et que l’on a envoyé un autre avion, de plus près, contre le Pentagone. Jean Pomagalski écrit que “Des rumeurs ont couru qu’il se serait écrasé dans l’Ohio, ou le Kentucky, fondées cependant sur la déclaration confirmée de la directrice de la FAA, Jane Gervey, qui a averti la Maison Blanche de la chute de cet avion, et celle de Dale Watson, directeur de la branche « Terrorisme » du FBI, qui évoque le crash d’un gros avion de ligne entre le Kentucky et l’Ohio” (http://ummofiles.com/POMAGALSKY/Pomagalsky2.htm). On peut lire aussi sur le net que "Frank Levi, du site http://the-movement.com, émet plusieurs hypothèses au sujet du vol 77 : 1) il se serait écrasé dans l’Ohio, comme le croyaient des contrôleurs. 2) Une « technologie anti-radar » (ce sur quoi travaillait justement un passager, Stanley Hall [72]) aurait permis d’éteindre tous les signaux électroniques avant d’envoyer l’appareil s’écraser au Kansas, puisque c’est là que certaines cartes font prolonger son vol avant de faire demi-tour vers Washington. 3) Il se serait écrasé au Kentucky puisque des informations rapportées à la Maison Blanche y évoquaient un crash avant d’être démenties [73]. 4) Il a atterri à l’aéroport de Clarksburg, CKB, vers où sa trajectoire avait dévié et où les cartes animées de Flight Explorer le présentent deux fois au même endroit avec des altitudes différentes, 31 200 et 35 000 pieds, juste à la frontière entre deux zones de surveillance radar [74]. Et il ne nous paraît pas impossible de penser que c’est de là que décolla ce que les collègues contrôleurs radars de Danielle O’Brien ont pris pour un avion militaire venu protéger Washington, par sa vitesse, sa manœuvrabilité et la façon dont il tournait [75]." [72] http://www.usatoday.com/news/nation... [73] http://www.cooperativeresearch.org, chronologie, 10h42, citant USA Today, 13/8/01. [74] « Plane Swap : Part 3, Flight 77 Goes all the Way to Kansas » web.archive.org/web/20050206205328/...on/Flight77.htm, montrant la carte du Detroit News du 16 septembre, http://www.detnews.com/2001/nation/.... [75] « Air Traffic Controllers Recall 9/11 », ABCnews du 23 octobre 2002, http://more.abcnews.go.com/sections...".
Dans tous les cas, si le Pentagone a été visé sur une aile en travaux après que l’avion non identifié et dissimulé au public eût effectué un demi-tour et une approche en spirale parfaite, c’est que nos experts en détournement n’avaient rien contre les dirigeants du Pentagone situés aux ailes opposées, mais voulaient simplement leur foutre la frousse. Sans doute n’avaient-ils pas non plus vraiment l’intention de tuer des gens à la Maison Blanche en détournant si tardivement l’avion UA 93. Or, des agents russes du FSB n’auraient sans doute pas eu tant de scrupules. A moins de considérer ces attaques comme un premier avertissement. Toutefois, vu le tour anti-russe que prend de plus en plus la politique américaine, force est de constater que le deuxième avertissement n’a pas eu lieu.
3) De fausses preuves ont circulé :
fausse lettre d’instruction retrouvée dans un bagage miraculeusement abandonné (Robert Fisk, "What Muslims would write : ’The Time of Fun and Waste is Gone’ ?" http://www.freerepublic.com/focus/f...), passeport d’un pirate, Al Suqami, retrouvé miraculeusement dans le quartier de Wall Street, intervention truquée de Ben Laden en octobre 2004, juste avant les élections présidentielles, où il parle pour la première fois de sa complicité avec Mohammed Atta, et utilise aussi pour la première fois l’expression “Al Qaeda” (http://www.cnn.com/2004/WORLD/meast...). Ceux qui ont réalisé ces fausses preuves ne font pas forcément partie d’un seul et même groupe.
4) Des avertissements ont été donnés à des sociétés et des fonctionnaires. Des gens en haut lieu savaient que des détournements d’avions avec passagers auraient lieu.
Le 10 septembre des cadres du Pentagone ont annulé leurs voyages prévu pour le matin suivant (http://prisonplanet.com/pentagon_of..., copiant une page de Newsweek du 24 septembre 2001, “Bush : ‘We’re at war’”). Le maire de San Francisco Willie Brown a été averti le 10 septembre, la veille de son départ pour New York prévu à 8 heures du matin, de menaces concernant la sécurité aérienne (http://propagandamatrix.com/willie_...). Il aurait été averti par son amie Condoleezza Rice, qui, on le sait, est une personne prisée par les sionistes – ceux-ci l’ont formaté depuis longtemps, comme Colin Powell, qui a appris le yiddish pour se faire de l’argent durant son enfance à Brooklyn (Voir “Bronx Bomber” de Zev Roth, http://torah.org/features/secondloo...). Les employés de la société de messagerie israélienne Odigo ont reçu un avertissement concernant un attentat à New York deux heures avant qu’il n’ait lieu. La société israélienne Zim, située au 16e étage, avait déménagé complètement le 6 septembre (http://onzeseptembre.bravehost.com/...). Des employés de la société de déménagement Urban Moving System ont été aperçus en train de photographier les tours en feu et de s’en réjouir. Cette société employait des agents du mossad et on ne sait ce que les autorités ont vraiment appris de leur arrestation.
5) Quelques faits troublants sont repris sans sans critique pour accréditer un vaste complot.
– Le “container” aperçu sous le deuxième avion de New York, n’est, en réalité, qu’une ombre projetée par une aile. Le flash émanant du premier avion au moment du crash peut en effet trahir la présence d’une bombe. Et il paraîtrait étonnant que ce flash ait été rajouté par le FBI après saisie du film des frères Naudet pour impliquer un complot militaire sophistiqué. La question est ensuite de savoir qui savait que le vol AA 11 ne compterait pas de passagers et servirait à un exercice, et qui a placé une bombe à bord. Ce peut-être des militaires américains, mais pas seulement. Des espions infiltrés dans des bases militaires ? Peut-être, mais sans doute pas des arabes, des chinois ou des russes.
– Le fait que les responsables aériens de la défense aient donné trois versions différentes pour expliquer l’impossibilité de pister les trois premiers avions (voir David Griffin, http://www.voltairenet.org/article1...), n’est pas forcément une preuve de complicité. Les hauts gradés ont pu s’apercevoir que leurs subordonnés avaient mieux réagi qu’ils n’en avaient eu connaissance au départ, ou bien ces hauts gradés ne veulent-ils pas que l’armée soit totalement ridiculisée. La faillite complète de la défense peut provenir tout aussi bien du fait qu’elle a été brouillée par le déroulement, programmé à l’avance, de vastes exercices militaires aériens avec intervention d’avions de chasse loin de leurs bases et introduction de faux signaux sur les écrans radars (Northern Vigilance, Vigilant Guardian). Ralph Eberhart dit que ces exercices ont accéléré la réponse. Si c’est vrai, alors, le problème venait plutôt de ce que les avions détournés étaient descendus en dessous du plancher radar, ce qu’on cache pour des raisons de sécurité ou pour ne pas changer la version officielle.
– L’hypothèse de la démolition contrôlée des tours sert généralement à accuser l’élite de New York et le gouvernement Bush via la société de sécurité de son frère Marvin. Mais ces effondrements à partir du point d’impact peuvent s’expliquer par la physique des bâtiments (http://www.cyberarchi.com/actus&...) plutôt que par le explosifs placés à la hauteur des crashs, ou juste en dessous, et qui auraient résisté aux crashs pour être déclenchés des dizaines de minutes plus tard. Les quelques “bombes” entendues dans les tours avant et après les effondrements, et à des étages très différents, peuvent avoir été déclenchées indépendamment de la volonté de faire s’effondrer les tours, par exemple pour déclencher une fournaise en sous-sol et détruire toute trace d’au moins un avion sans passagers pour ne pas remonter aux comploteurs qui auront détruit au moins un avion avec passagers ailleurs dans l’océan ou dans des zones désertiques. En empêchant l’audition des coup de fils donnés par els pompiers ou les occupants des tours, la mairie de New York pourrait vouloir cacher l’existence de ces explosions qui lui vaudraient des procès pour négligence de surveillance à l’entrée. Des explosions secondaires ont bien été enregistrées par des sismographes après l’effondrement, ce qui est troublant. En revanche, les bruits tonitruants entendus lors des incendies peuvent venir d’autres phénomènes : bombonnes de gaz qui explosent, objets chutant dans les cages d’ascenseurs, flammes répandues le long des cages d’ascenseurs qui détruisent des boîtiers électriques, fracas des corps chutant sur le bitume. Il y eut aussi des bruits lors de l’incendie de la tour Windsor à Madrid (et qui a tenu) en février 2005. On ne doit donc pas tout mélanger.
– l’effondrement de la tour n°7, clairement contrôlé, six heures plus tard, peut avoir été décidé par le nouveau propriétaire Larry Silverstein, pour détruire les archives de a CIA et du gendarme de la bourse qui y étaient stockées et qui auraient pu révéler quelques magouilles financières. Il a pu se préparer à l’avance à cette opération, alerté par ses contacts, ou a pu enclencher un dispositif installé dans les tours dès la construction. L’avantage à toucher des assurances suite à la destruction des tours l’aura-t-il aussi poussé à faire totalement détruire les tours jumelles ?
– la réaction de Bush le matin du 11 septembre n’est pas aberrante. C’est faire de la basse politique que de dire qu’il aurait vu le premier avion en direct à la télévision. La chronologie montre le contraire. En revanche, on peut s’étonner qu’il n’ait pas été évacué en vitesse, même s’il n’y avait pas grand danger à l’endroit où il se trouvait.
Messages
1. Quand Libé parlait de "zones d’ombre" au sujet du 11/9, 14 septembre 2008, 21:28, par righttotruth
Dommage qu’une partie puis tout l’article ait disparu de reopen911.
Il n’y a même plus la carte où l’on voit - point crucial - que trois avions ont dévié de leur de trajectoire (dont deux en éteignant leur transpondeur) au milieu de "zones d’ombres" radars.
Celle-ci nous apprend aussi que deux témoins ont vu deux de ces avions à basse altitude, dont un une fois son transpondeur éteint.
L’image se trouvait sur la page d’accueil du site http://team8plus.org (géré notamment par Nico Haupt, chercheur acharné pas toujours facile à suivre désormais, mais bon...) mais les pages archivées ne l’ont pas gardé.
On peut toutefois revoir une des animations de ce site où l’on voit bien que les deux premiers avions se sont croisés vers Stewart International Airport (comme l’indiquait à chaud un contrôleur aérien qui les avait repérés à basse altitude).
http://web.archive.org/web/20060503155646/team8plus.org/news.php?item.32.3
L’animation rappelle qu’on a alors demandé aux pilotes du vol UA 175 de repérer le vol AA11.
Ce n’était pourtant pas une raison pour le vol UA 175 de perdre de l’altitude, les contrôleurs civils ignorant alors normalement tout de l’altitude du premier avion à cause du transpondeur éteint. A moins que ceux qui communiquaient avec le vol UA 175 étaient des militaires. A moins aussi que les mêmes personnes qui, pour une opération spéciale, avaient fait descendre le premier avion, aient demandé au même moment, et toujours pour une opération spéciale, au deuxième avion de descendre aussi.
Curieusement, longtemps après ce rendez-vous, et selon le témoignage Jennifer Clonkin, le vol 175 volait encore à basse altitude bien que non détourné officiellement. Etait-il alors encore sous le contrôle de militaires ? S’agissait-il d’un avion de remplacement ?
D’ailleurs, s’il contenait des passagers, pourquoi ceux-ci n’ont ils pas appelé leurs proches, puisque cela est possible à basse altitude ?
Ce qu’on voit sur l’animation est aussi qu’au même moment où le premier avion fonce dans la tour (8h46), le transpondeur du deuxième avion est éteint. Comme si ceux qui s’étaient occupés du premier avion s’occupaient maintenant (et à nouveau) du second. D’ailleurs, de même que pour le premier vol, les trajectoires des deuxième et troisième avions dévieront à proximité d’un aéroport. Il se passait décidément beaucoup de choses près de ces aéroports (parfois militaires).
2. Quand Libé parlait de "zones d’ombre" au sujet du 11/9, 4 février 2009, 18:57, par Nicolas
le 11 septembre c’est le plus gros mensonge de tout les temps
moi j’ai jamais cru la version officiel pas même le jour des attentats
l’explosion des tours n’a rien a voir avec un feu de kérosène
ceux qui défende la version a bush sont des criminel qui salissent la mémoire
et cache la vérité
JE DEMANDE QUE LE MONDE ENTIER FASSE PRESSION SUR L AMERIQUE
POUR QUE LA VERITE ECLATE
C URGENT