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Rira bien qui rira le dernier

Publie le vendredi 18 juillet 2008 par Open-Publishing
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LE BILLET

Rira bien qui rira le dernier

Le président de la République touché
par la maladie de l’hyperactivité, pour le
plus grand plaisir des médias, tous
complices, puisqu’ils considèrent que sur la
base d’une critique mise en scène, s’alliant
la grâce des lecteurs,en réalité, ils ne font
que servir la soupe au couple Sarkozy-Bruni,
la guitariste du conservatoire des supermarchés.
La ficelle est grosse.

On dit que plus le mensonge est gros,plus il a de chances
d’être cru. N’est pas Machiavel qui veut et ’
le petit doit encore grandir.

Ainsi, Sarkozy ironise sur la « faiblesse des
syndicats », constatant que les grèves se
font désormais sans grévistes.

Qu’il prenne garde !

C’est l’eau qui dort qui noie.
C’est mal connaître la classe ouvrière française,
capable à tout moment de se rappeler au bon
souvenir des princes qui nous gouvernent.
Les raisons d’ une explosion sociale ne
manquent pas.

La précarité que certains
veulent encadrer, le pouvoir d’achat des
salaires et des retraites, la casse de la
législation sociale et des conquêtes
ouvrières, tout cela forme un cocktail
explosif.

Rira bien qui rira le dernier
STENTOR

Messages

  • Ainsi, Sarkozy ironise sur la « faiblesse des syndicats », constatant que les grèves se font désormais sans grévistes. Qu’il prenne garde !

    C’est l’eau qui dort qui noie. C’est mal connaître la classe ouvrière française, capable à tout moment de se rappeler au bon souvenir des princes qui nous gouvernent. Les raisons d’ une explosion sociale ne manquent pas.

    La précarité que certains veulent encadrer, le pouvoir d’achat des salaires et des retraites, la casse de la législation sociale et des conquêtes ouvrières, tout cela forme un cocktail explosif.

    j’espère qu’il manque peux de chose au cocktail, pour que l’ont puisse enfin le savourer.