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Vers un nouveau krach bancaire mondial ?

Publie le jeudi 8 avril 2010 par Open-Publishing
7 commentaires

Grèce : la Bourse d’Athènes chute de 5% jeudi en milieu de journée

ATHENES - La Bourse d’Athènes (Athex) chutait jeudi en milieu de journée de 5,06%, l’indice général reculant à 1.887,74 points à 13H00 (10H00 GMT).

08 avril 2010 12h23

http://www.romandie.com/ats/news/100408102336.j0jrweut.asp

La Bundesbank sceptique sur le plan d’aide pour la Grèce

FRANCFORT (Allemagne) - La Bundesbank est sceptique sur le plan d’aide pour la Grèce concocté par les Etats européens et le Fonds monétaire international (FMI), selon un document de travail interne de la Banque centrale allemande dont un journal publie jeudi des extraits...

on a déjà dit :

pas d’AFP sur BELLACIAO !
L’AFP ne le veut pas

la suite donc :

http://www.romandie.com/ats/news/100408102708.nnz9szus.asp

pas d’AFP sur BELLACIAO !
L’AFP ne le veut pas

pas d’AFP sur BELLACIAO !
L’AFP ne le veut pas

pas d’AFP sur BELLACIAO !
L’AFP ne le veut pas

pas d’AFP sur BELLACIAO !
L’AFP ne le veut pas

Messages

  • Après la Grèce le Portugal puis l’Espagne puis la Grande-Bretagne, l’Italie.La France ?

  • Exact. La cour constitutionnelle de Karlsruhe s’est livrée à une attaque en règle contre le système communautaire, c’était le 29 juin 2010.

  • Les valeurs bancaires chutent de 3% à 5%, inquiètes par la Grèce

    PARIS, 8 avr 2010

    Les valeurs bancaires affichaient de fortes baisses (entre 3% et 5% de recul) jeudi en fin de matinée sur le marché parisien, faisant nettement reculer le CAC 40 (-1,78%), dans un marché tendu et inquiet face à la situation en Grèce.

    A 11H20 (09H20 GMT), la Société Générale perdait 4,18% à 44,37 euros, le Crédit Agricole perdait 3,91% à 12,77 euros et BNP Paribas lâchait 3,69% à 54,3 euros. Les établissement de plus petite taille étaient encore plus touchés comme Dexia (-4,39% à 4,31 euros) et Natixis (-5,07% à 3,91 euros). Les compagnies d’assurance comme Axa perdaient également du terrain (-2,35% à 16,18 euros pour Axa).

    Les valeurs financières pèsent près de 18% dans la pondération de l’indice CAC 40.

    Sur les autres grandes places européennes les banques cédaient du terrain à l’image de la Deutsche Bank ou de la banque Santander.

    Jeudi dans les salles de marché les commentaires étaient très pessimistes et des rumeurs de difficultés importantes rencontrées par les banques grecques circulaient. Ces banques seraient sur le point de reclamer quelque 17 milliards d’euros à la communauté internationale pour faire face à leurs échéances, indiquait-on.

    Les investisseurs s’inquiètent des conséquences des participations des banques européennes dans les banques grecques et de la situation de leurs actifs et filiales dans ce pays, a expliqué Yves Marcais, gestionnaire de fonds chez Global Equities. Le Crédit Agricole a une importante filiale en Grèce, la banque Emporiki.

    Outre ces conséquences, des risques systémiques inquiètent également "en filigrane" les investisseurs, a-t-il ajouté.

    Jeudi l’inquiétude sur la situation de la Grèce est montée d’un cran alors que les mauvaises nouvelles s’accumulent et notamment des informations de presse sur un déficit public en 2009 qui serait plus élevé que prévu.

    Par ailleurs les éventuelles mesures d’aides demeurent très floues et les incertitudes sur une aide du FMI également en raison des contreparties exigées par l’institution internationale

    http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=242878&PHPSESSID=8b0d32440e2d7cdd0812d840a8625de7

    L’euro retombe sous 1,33 dollar, pénalisé par la crise grecque

    LONDRES, 8 avr 2010

    L’euro accentuait ses pertes face au dollar jeudi, chutant sous 1,33 dollar pour la première fois en deux semaines, victime des inquiétudes persistantes sur la capacité de la Grèce à refinancer sa dette et à sortir d’une crise financière sans précédent.

    Vers 09H00 GMT (11H00 à Paris), l’euro cotait 1,3299 dollar contre 1,3339 dollar mercredi à 21h00 GMT, après être tombé à 1,3283 dollar vers 08H20 GMT, un plus bas depuis l’annonce d’un accord européen pour aider la Grèce le 25 mars.

    La devise unique européenne perdait aussi du terrain face à la devise nippone à 123,86 yens contre 124,49 yens la veille.

    Le dollar baissait légèrement face au yen, à 93,13 yens contre 93,30 yens mercredi soir.

    "Le feuilleton grec continue de peser lourdement sur l’euro, qui s’affaisse de plus en plus sous le poids des problèmes d’Athènes", commentait Michael Hewson.

    Des experts du Fonds monétaire international (FMI) ont entamé mercredi à Athènes une mission de deux semaines pour aider la Grèce à assainir ses finances, sans parvenir toutefois à rassurer les marchés de plus en plus inquiets sur les déficits du pays.

    Et la monnaie unique n’est pas aidée non plus par de mauvais indicateurs économiques en Europe, comme la stagnation de l’activité dans la zone euro au quatrième trimestre, selon des chiffres révisés à la baisse mercredi, poursuivait l’analyste.

    Les cambistes attendaient jeudi la publication de la production industrielle allemande pour février, mais même s’il s’avérait meilleur qu’attendu, "aucun bon indicateur en Allemagne ou dans le reste de la zone euro ne réglera le problème fondamental des cycles économiques divergents au sein de l’union monétaire", prévenaient les analystes de Commerzbank.

    En effet, "si les pays qui forment le noyau de la zone euro connaissaient des progrès positifs sur le plan économique, la Banque centrale européenne (BCE) devrait faire face à un dilemme car une politique monétaire adéquate pour ces pays serait un désastre pour les +mauvais élèves+", expliquait Commerzbank.

    La BCE, ainsi que la Banque d’Angleterre (BoE), doivent toutes deux annoncer jeudi leurs décisions de politique monétaire, attendues inchangées par les cambistes.

    Le marché sera ainsi particulièrement attentif à la conférence de presse du Président de la BCE Jean-Claude Trichet, vers 12H30 GMT, en quête de tout commentaire sur la situation grecque et d’éventuelles mesures concrètes pour aider le pays à refinancer sa dette.

    Des commentaires d’autant plus importants que les cambistes craignent toujours une contagion de la crise grecque à d’autres pays du sud de la zone euro en proie à des difficultés budgétaires, comme le Portugal, l’Espagne et l’Italie.

    Vers 09H00 GMT, la livre britannique était stable face à l’euro à 87,50 pence pour un euro, et baissait légèrement face au dollar à 1,5201 dollar.

    La monnaie helvétique était presque stable face à l’euro à 1,4327 franc suisse pour un euro, et reculait face au dollar à 1,0774 franc suisse pour un dollar.

    L’once d’or valait 1.145,82 dollars contre 1.142 dollars mercredi soir..

    http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=242881&PHPSESSID=8b0d32440e2d7cdd0812d840a8625de7

    • tant que tu es là, lis ca et essaie de t’en souvenir :)

      pas d’AFP sur BELLACIAO !
      L’AFP ne le veut pas

      pas d’AFP sur BELLACIAO !
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      L’AFP ne le veut pas

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      L’AFP ne le veut pas

    • S’exciter dés que les actions baissent un peu n a aucun sens : ce qu’il faut c’est regarder la tendance , et la tendance est à la hausse...dommage sans doute pour l auteur de cet article mais c’est comme cela..

    • hum, le cac 40 toujours assez bas

    • et sur 10 ans

      Mais effectivement nous avons été dans une phase de remontée des indices boursiers depuis Mai 2009, donc du moyen terme.

      La raison ?

      Les amphétamines marquées $ ou € données à la louche aux grands groupes financiers.
      Ce pognon pris sur le reste de la société ou créé (ce qui revient au même) correspond à terme à une violente dévaluation le jour où il redescendra dans le circuit commercial.

      Pour l’instant cet oseille fourni par les états et les banques centrales par wagons (ou des dollars jetés par hélicos au dessus de Wall Street pour éteindre l’incendie comme disait le directeur de la FED), sert à une remontée en force de la spéculation boursière, contre les états prêteurs, contre les monnaies ailleurs, etc....

      Alors ?

      Sommes-nous dans la première vague de remontée qui a suivi 1929 avant que tout ne dérapes et que la course vers la 2eme guerre mondiale s’accélère ?