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de l’usine nouvelle à Libération !

Publie le mercredi 28 juin 2006 par Open-Publishing
4 commentaires

Ancien directeur général de L’Usine nouvelle, hebdomadaire industriel de référence, M. Clerget est président de l’Association pour la promotion de la presse professionnelle.

Libé au sce du medef .... ca ne va pas tarder !

Messages

  • Dire qu’il y en a qui se demandent pourquoi un grand financier met du pognon dans un quotidien déficitaire !!!

    Dans un premier temps pour le faire taire sur les sujets qui fâchent.

    Dans un deuxième temps pour qu’il serve la soupe des copains.

    Mission accomplie.

    Flash

  • Il est marrant de constater que les salariés et journalistes de Libération, contrairement à ceux de Paris-Match ne se sont pas mis en grève pour protester contre l’éviction de leur patron !

  • Ce que j’ai compris aussi des embrouilles à libé (en lisant le monde et libé ! ce n’est donc sans doute pas trop fiable ?!), ce que la majorité des personnels a en fait accepter la "co-gestion" du plan social et des licenciements (et que seuls 27 "vieux" journalistes (- vieux au sens d’anciens dans la boite, mais je ne voulais pas écrire "ancien journaliste" de Libé car ce pourrait leur porter la poisse, alors même que ce sont quand même les "meilleurs" journalistes de libé, meilleur au sens "professionnel") ont refusé et dénoncé cette entourloupe, ainsi que les sections syndicales (sauf SUD ! d’après ce qui est rapporté !). Rotschild a tout de même fait très fort en leur "offrant" l’option d’une sorte de quasi autogestion, du moment qu’ils diminuaient les pertes (en embauchant des stagiaires non-payés, en faisant entrer les "jeunes" journalistes contre une caution actionnariale de X milliers de dollars (ils peuvent éventuellement s’endetter auprès de banques comme les étudiants américains), en distribuant des "stocks option" négatives (vous achetez des dettes, ponctionnable sur vos salaires et vos revenus - par exemple des livres que vous vendrez en devenant "journaliste à Libé") ; les journalistes sont également inviter des "piges" et des "ménages" auprès d’une clientèle solvable (non pas faire la com des sans papiers et des taulards - sauf le très grand banditisme, mais celle de quelque lessivier à la trésorerie abondante), et ramener des "contrats" à l’entreprise (il faut sortir de cette conception non entrepreneriale du journalisme ! le journalisme , de nos jours, est d’abord business,et un esprit d’équipe. JFK pourrait vous l’enseigner : on se bat pour l’entreprise, on est pas des fonctionnaires) ; L’autogestion est la meilleure école pour cela, il faut revenir à l’esprit des "starts up" ! Privatisation des profits, socialisation des pertes, éternelle méthode des capitalistes !
    Bref le feuilleton va être très drôle. ce n’est qu’un début...