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Suède : l’opposition à l’euro au plus haut (sondage)
L’opposition à l’euro a atteint un record en Suède, selon un sondage publié vendredi, au moment où la monnaie unique européenne traverse une crise en raison des graves difficultés budgétaires de plusieurs de ses membres....
PAS d’AFP sur BELLACIAO SVP
L’AFP ne le veut pas !
La suite donc :
http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=243011
Le taux à 2 ans grec dépasse celui à 10 ans
08/04/2010 10:47
(obliginfos) - Les taux des emprunts grecs continuent de s’envoler. Le taux à 10 ans a atteint un nouveau record historique depuis l’adoption de l’euro par la Grèce, à 7,43%. Il bondit de 25 points de base (pb) par rapport à hier.
Le spread -c’est-à-dire l’écart de taux mesurant la prime réclamée par les investisseurs pour acheter de la dette grecque- par rapport au Bund allemand s’établit désormais à 435 pb.
Le rendement de l’emprunt à 5 ans se tend de plus de 40 pb, non loin du taux à 10 ans, à 7,37%. Surtout, le taux à 2 ans dépasse celui à 10 ans à 7,62% (+90 pb) !
http://www.obliginfos.fr/2010/04/08/le-taux-a-2-ans-grec-depasse-celui-a-10-ans/
Grèce : une solution pourrait intervenir dès ce week-end
Le 09/04/2010 à 11:57
(CercleFinance.com) - Une solution visant à aider la Grèce à sortir de sa crise financière pourrait intervenir dès ce week-end, estiment vendredi les analystes d’UBS.
’
Nous nous sommes toujours montrés circonspects quant à la capacité de la Grèce à honorer ses besoins de financement pour le deuxième trimestre sans recours à une aide extérieure’, rappellent-ils dans une note de recherche.
Selon nous, la récente physionomie des marchés signifie qu’une intervention extérieure peut s’avérer inévitable et pourrait arriver très vite si la situation devenait intenable’, estime le bureau d’études.
Les Bourses européennes avaient décroché jeudi suite à une résurgence des inquiétudes concernant la santé financière de la Grèce. La Bourse d’Athènes avait ainsi décroché de plus de 3%.
UBS dit considérer un rôle clé joué par le FMI à la fois comme le scénario le plus probable et comme la meilleure solution possible.
’Une intervention potentielle du FMI résoudrait probablement le problème de liquidités du pays en permettant l’injection d’argent frais’, soulignent les analystes. ’
Elle permettrait également de restaurer une certaine crédibilité sous l’égide de l’expertise et de la surveillance du FMI’, poursuivent-ils.
UBS estime qu’à court terme, un défaut de la Grèce est extrêmement peu probable compte tenu du danger que la situation représenterait pour la zone euro.
A moyen terme cependant, le bureau d’études considère qu’un défaut du pays n’est pas impossible, même sous le patronage du FMI.
Fitch dégrade la note de la Grèce à BBB-
09/04/2010 17:22
(obliginfos) - Fitch a dégradé la note de crédit long terme de la Grèce de BBB+ à BBB-, soit deux crans de moins, et maintenu une perspective négative. La Grèce se trouve désormais à la limite de la catégorie spéculative.
L’agence de notation estime que les perspectives économiques peu florissantes et la récente augmentation des taux d’intérêt pourraient rendre difficile la tâche des autorités grecques pour réduire leurs déficits. La stratégie de financement menée par le gouvernement grec dans un contexte de de forte volatilité des marchés financiers est un autre sujet d’inquiétude, selon les analystes de Fitch.
Le seul salut pour la Grèce ne viendra que d’un soutien extérieur. A ce titre, le mécanisme d’aide financière concocté par l’Union européenne et le FMI doit être précisé, selon l’agence de notation.
La perspective négative reflère les défis qu’il restera au pays à moyen terme.
http://www.obliginfos.fr/2010/04/09/fitch-degrade-la-note-de-la-grece-a-bbb/
Messages
1. la Yoyo Crise de l’Euro, 10 avril 2010, 09:35
le principe de realité de la finance,s’assurer que les prets aux Etats,seront remboursés, se heurte a la realité du monde :
Article de
Une version abrégée de ce texte a paru dans le Financial Times du 8 avril
Par Michael Hudson, 7 avril 2010
La dette publique en Grèce n’est que la première d’une série de bombes européennes de la dette qui vont exploser.
Lettonie, Roumanie, Hongrie également….
En Suède, en Autriche, en Allemagne et en Grande-Bretagne, les banquiers vont découvrir qu’accorder de nouveaux crédits à des pays qui ne peuvent (ou ne veulent) plus payer pourrait devenir leur problème, et non celui de leurs débiteurs.
Personne ne veut accepter le fait que les dettes qui ne peuvent pas être honorées ne le seront pas.
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=3027
Il s’agit donc de gagner du temps en faisant croire qu’on fait quelque chose,pour que la société soit en permanence sur la defensive,dans l’attente de la solution d’en haut.
Pour empecher la naissance d’une solution alternative a Athenes,on a mis la police 24/24 h a chaque coin de rue et les directions syndicales sont suspendues aux annonces de Bruxelles :
Discussion de Papandréou avec les dirigeants économiques de l’UE
Le Premier ministre grec, Georges Papandréou, s’est entretenu vendredi soir au téléphone avec les dirigeants de l’UE, de la Commission et de la Banque centrale européennes, ainsi qu’avec le chef de file de la zone euro. Les discussions ont porté sur "une évaluation de la situation économique en Europe".
"Une activation du mécanisme de soutien financier adopté le 25 mars dernier par l’Union Européenne n’a ni été discutée ni demandée lors de ces discussions", a précisé à l’AFP un responsable du bureau de presse de M. Papandréou qui a requis l’anonymat.
M. Papandréou s’est entretenu avec le président de l’UE, Herman Van Rompuy, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker.
Les discussions ont porté sur "une évaluation de la situation économique en Europe" et sur "les actions de l’UE envers les marchés", encore selon le même responsable.
Le Premier ministre grec a eu ces entretiens téléphoniques alors que la perspective d’un plan d’aide européen à la Grèce s’est précisé, après un accord trouvé vendredi sur les conditions de prêts que les pays de la zone euro seraient disposés à garantir si nécessaire à Athènes.
"Il y a un accord sur le taux d’intérêt qui serait appliqué à la Grèce si elle devait faire appel au plan d’aide", a indiqué une source diplomatique européenne à l’issue d’une réunion de hauts fonctionnaires des ministères des Finances et des directions du Trésor à Bruxelles.
Cet accord permettrait à la Grèce de se refinancer à un taux "moins élevé que le taux actuel du marché pour la dette grecque", sans que "ce soit un cadeau pour autant", a encore ajouté cette source, alors que le coût de l’emprunt pour la Grèce est monté en flêche jeudi, au dela du double de celui de l’Allemagne, référence des marchés.
L’aide, dont le montant total a été estimé par un haut responsable européen à entre 20 et 30 milliards d’euros, serait associée à des prêts du Fonds monétaire international (FMI), comme en a décidé le sommet européen du 25 mars.
Avant cet accord, le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, avait réitéré vendredi que dans l’immédiat, son pays "n’a pas pour objectif de faire usage du mécanisme" UE-FMI.
Des sources du ministère ont dénié vendredi que le pays s’apprête à demander l’activation de ce dispositif ce week-end.
(ats / 10 avril 2010 01:09)
http://www.romandie.com/infos/ats/display2.asp?page=20100410010924420172019048000_brf003.xml