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Plainte en justice du Réseau et de brousse contre des antinucléaires : Stéphane Lhomme à nouveau convoqué par les gendarmes

Publie le dimanche 17 octobre 2010 par Open-Publishing
3 commentaires

Soutien à Stéphane Lhomme Brousse doit quitter son poste illico ....



http://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Lhomme

 Une de ses dernières contribution sur le journal Le Monde.fr

http://www.lemonde.fr/idees/article...

Stéphane Lhomme Militant antinucléaire et homme libre

Vendredi 15 octobre 2010

Plainte en justice du Réseau et de brousse contre des antinucléaires :

Stéphane Lhomme à nouveau convoqué par les gendarmes

Début 2010, un groupe de putschistes, emmenés par le directeur philippe brousse, a fait main basse sur le Réseau Sortir du nucléaire. Pour faire bonne mesure, ces gens ont ensuite porté plainte en justice contre des antinucléaires pourtant irréprochables : 7 ex-administrateurs (dont Didier Anger) et moi-même, Stéphane Lhomme, porte parole du Réseau de 2002 à mars 2010 (*)

Choqués par ces méthodes, de nombreux adhérents du Réseau ont exigé le retrait de la plainte. Lors de l’AG du Réseau de juin 2010, les administrateurs-putschistes et brousse ont abusé les militants en leur affirmant que la plainte avait été retirée, ce qui n’est pas le cas (il y a eu en réalité deux dépots simultanés, de la part du Réseau ET du directeur brousse).

C’est ainsi que, après avoir déjà été entendu le 17 septembre dernier, je suis à nouveau convoqué par les gendarmes le 25 octobre, à la demande du procureur de Lyon auprès duquel brousse a déposé plainte

Pour mémoire, cette plainte a été déposée sous des prétextes inouïs comme "faux et usage de faux" et "atteinte à un système automatisé de données". Pour accréditer leurs mensonges, brousse et ses amis sont allés jusqu’à prétendre que je serais entré en possession du fichier général du Réseau, qui contient parait-il 106 000 adresses.

Or, l’actualité le démontre encore aujourd’hui (voir note ci-dessous), brousse a de longue date fait main basse sur ce fichier : même les administrateurs, pourtant les seuls à être légitimes puisqu’élus par la base, n’ont pas accès à ce fichier qui est pourtant théoriquement celui du Réseau et non celui de brousse.

Pour revenir à la plainte : ce que brousse et ses amis putschistes reprochent, c’est la diffusion pourtant bien légitime, sur les listes du Réseau, d’un courrier (cf http://reseau.democratie.free.fr/VO... ) signé par les 7 administrateurs qui ont été débarqués illégalement lors du putsch en février 2010. (Leur seul tort était... de refuser de me licencier !)

Ce courrier, titré "Le Réseau "Sortir du nucléaire" est votre Réseau - Vous avez le droit de savoir" demande juste... le rétablissement de la démocratie dans le Réseau. On comprend que cette demande soit intolérable pour des putschistes...

Au lieu d’agir contre le nucléaire - par exemple, aucun d’eux n’a pris la peine de se déplacer à Carpentras pour le verdict du procès engagé suite à la fameuse fuite d’uranium du Tricastin - brousse et les putschistes continuent de jouer les auxiliaires de police en attaquant en justice les vrais militants antinucléaires.

J’ai ma conscience pour moi et je me rendrai en toute tranquillité à cette nouvelle convocation des gendarmes, mais je regrette presque le temps où j’étais arrêté par la DST, envoyée par lobby nucléaire : c’était quand même autre chose que d’être poursuivi en justice par un minable, bureaucrate nuisible et procédurier, qui ne "milite" que du fond de son bureau, et qui dévoie l’argent envoyé de bonne foi par les sympathisants et adhérents du Réseau.

Stéphane Lhomme

NOTE : la mainmise de brousse sur le fichier du Réseau

De temps en temps, quant il le décide, brousse diffuse un communiqué ou un document à tout le fichier du Réseau, avec le mail portant son nom, de façon à ce que tous les destinataires reçoivent bien une information envoyée par philippe brousse, bien que ce dernier n’ait rien produit lui-même. De cette façon, brousse se construit depuis des années une "légitimité" totalement indue. Il reçoit même parfois des félicitations... qu’il ne mérite aucunement. Depuis longtemps, il lui a été demandé de diffuser les informations avec un mail général , du genre info@sortirdunucleaire , mais il s’en garde bien : il a la main mise sur le fichier du Réseau, et il continue à s’en servir pour faire sa promotion personnelle, comme c’est le cas encore aujourd’hui avec l’envoi du communiqué titré "Sarkozy cache la prolifération nucléaire derrière le laser Mégajoule". A ce sujet, il est clair que la diffusion de ces communiqués ne vise que le maintien de la mainmise de brousse sur le Réseau, en interne. En effet, depuis mon départ, le Réseau a pour ainsi dire disparu des médias : m’éliminer était une chose, mais faire preuve de compétence en est une autre, de toute évidence hors d’atteinte pour les putschistes

NOTE bis : 13 salariés pour... plagier mes communiqués !

Notons d’ailleurs que ce communiqué "du Réseau" de ce jour est en réalité un véritable plagiat du communiqué rédigé la veille par moi-même dans le cadre du site web "Observatoire du nucléaire" que j’anime bénévolement (le chômage laisse du temps...). Comparez donc ici (http://www.observatoire-du-nucleair...) et là (http://www.sortirdunucleaire.org/ac... ). On notera quelques pauvres efforts pour ne pas mettre les éléments dans le même ordre, mais ça ne trompe personne. Question : comment se fait-il que les cotisations militantes servent à payer 13 salariés dont on se demande bien ce qu’ils font puisqu’ils finissent par recopier mes communiqués ?

(*) J’ai été licencié dans la foulée du putsch par les administrateurs installés à cet effet par brousse et les autres salariés. Ces derniers, fait unique dans l’histoire du salariat, ont fait grève pour faire licencier leur collègue (je n’étais le supérieur hiérarchique de personne !) Qui plus est, il s’agissait d’une fausse grève puisqu’ils avaient dès le début l’assurance d’être payés, ce qui a bien sûr été le cas. Cf http://salaries.jaunes.free.fr/ .

A noter : seul Jocelyn Peyret a eu la dignité de ne pas faire grève contre son propre collègue...

Messages

  • C’EST INTOLÉRABLE DE LAISSER CE JAUNE DANS LES RANGS DES ANTINUCLÉAIRES

    BROUSSE DOIT ÊTRE DÉBARQUÉ FISSA !

  • Pour mémoire :

    Ce que je dénonçais déjà ici en ce début d’année, ici comme ailleurs (cf affaire ex permanent de la Cf ?t de Brest) et de l’arrogance intolérable de bureaucrate à se prendre pour le timonier d’une organisation, usant de pratique de délation et d’accusation irrecevable dans notre partition à valeur déontologique et respectueuse de l’engagement des militants surtout quand il s’agit de personnalité qui a été menacée par les plus hautes instances policières de cet état ultra-nucléaire.

    Porter plainte à titre personnel pour régler via la justice ses propres contradictions, il faut se séparer du mauvais soldat brousse, il y a urgence au nom du combat antinucléaire, qui y perd toute crédibilité à laisser l’hurluberlu à la tête de fichier informatique, dont il a prétention d’en être le gardien en sanctuaire...

    extrait

    Une crise dont l’origine et le vrai motif sont loin d’être de ceux qui nous ont été présentés jusqu’à lors. Pour étayer le propos, combien d’entre nous sont en mesure d’accepter que Monsieur Philippe Brousse se permette d’écrire au CA (le 10 janvier 2010) :

    "… Je vous rappelle que, selon l’avenant à mon contrat de travail, mes fonctions de Directeur Administratif et des Ressources Humaines ne font l’objet d’aucune limitation de la part du conseil d’administration (…) Sont notamment concernées les procédures disciplinaires, parmi lesquelles ; toute procédure de licenciement …."

    On dirait du Sarkozy, moi je peux licencier ! C’est tout simplement un abus de pouvoir, qui a été probablement remis en perspective par un malicieux (ou une malicieuse) stratège juriste et qui en a détecté la faille juridique sur l’avenant au contrat de travail du DRH et Administratif. De la part d’un militant rémunéré pour le combat antinucléaire, cette opération de tripatouillage juridique, pourrait être de mon point de vue assimilé à de l’abus de biens sociaux. Pour la simple et bonne raison, que le service attendu et à venir de ce salarié, n’est pas de recadrer à lui tout seul les limites de son pouvoir disciplinaire, combien même ces limites ne sont pas inscrites au contrat. Des contournements de juristes et recherches réalisées sans aucun doute pendant les heures de travail, elles payées par l’ensemble des donateurs et contributeurs au réseau Sortir du nucléaire. D’autant plus qu’à cette date du 10 janvier 2010, la crise interne était largement entamée.

    Pour aller plus loin :

    http://www.facebook.com/note.php?no...