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Du Secret Défense au secret de licenciement !

Publie le mercredi 1er décembre 2010 par Open-Publishing

L’arborescence du réseau SDN serait-elle pourrie à la tète ?

Stéphane Lhomme* « expérimente »
la double peine « Secret Secret » !

La plainte déposée en justice par le réseau SDN, contre l’ancien porte-parole et les 7 anciens administrateurs du REZO, a été classée sans suite !

Pourtant, l’un a été licencié sans ménagement et est toujours au chômage actuellement, après avoir été calomnié sur la place publique, les 7 autres administrateurs ont été écartés, et sont « déprimés » pour certains d’entre eux ! A contrario, les inquisiteurs instigateurs de cette cabale, eux sont encore en place et à la tête du réseau SDN, ce malgré et après toutes ces manipulations honteuses aux conséquences graves et dommageables pour tous. D’autant que P Brousse veut conserver au secret la lettre du procureur !

Un antinucléaire ne doit en aucun cas admettre cela ! Un antinucléaire doit corriger ou faire corriger cela ! Ou alors c’est qu’il ne l’est pas, il ne peut y avoir de demi-mesure aux regards des méthodes staliniennes qui ont été utilisées par ces avatars de timoniers.

L’acceptation des grands : La démission … !

Le directeur refuse de publier son échec !

 Il ne suffit pas que de réclamer de la transparence à l’État, surtout quand on n’est pas en état de rendre soi même de la clarté à son action, d’en retenir et d’en assumer la responsabilité des conséquences le cas échéant. Ce qui est le cas ici précisément, rendez nous nos habits, votre grave erreur de jugement devrait vous guider à démissionner, ce qui est l’apanage des grands, à accepter son échec sans dégâts et de rejoindre simplement l’endroit de votre écueil !

 Je vous demande instamment , Monsieur Brousse, de démissionner de votre poste, une fonction que vous avez conservée depuis trop longtemps déjà ; car voyez vous, 12 ans , c’est bien plus que deux quinquennats ! Soyez à minima, moins avide de pouvoir que celui du prélat qui nous préside actuellement.

Quand le mode partisan sert l’intérêt bureaucratique de l’appareil !

Le petit personnel du secrétariat administratif lyonnais du réseau sortir du nucléaire est-il tombé sur la tète ? Et encore une fois de trop ?

Déjà que de porter plainte, à un pouvoir judiciaire qui n’attendait que cela - qui sait, contre ses propres collègues militants reconnus et considérés, est d’une gravité extrême qui méritait certainement des explications autres que tous les prétextes de soi disant comportements et infligés par on ne sait quel moyen à une distance de plus de 600 Kms, et parait-il d’où s’en offusquaient de souffrir les bien sensibles plaignants ! De sacrés militants, et résistants avec ça ; sauf bien sur au harcèlement imaginaire !

 Des plaintes déposées en doubles exemplaires voyez vous ! La première, celle qui déclencha ouvertement les hostilités au début de cette année, et qui avait subitement été retirée quelques jours seulement avant l’AG de juin dernier. (sans prévaloir de la décision du tribunal, cela ne changeait en rien de la gravité de ce dépôt) ! Machiavel a toujours son prétexte à la ristourne en négoce utilisée lors de l’assemblée générale, un retrait de plainte juste avant le congrès de l’apaisement nous disait-on , ce venant de cette direction et surtout une idée qui a servit à amadouer plus d’un des militants qui étaient présents. Manipuler les manipulations, il en restera toujours ….

 Mais c’était vite oublier qu’une deuxième plainte couvait, une procédure de secours du (ou pour) le directeur Brousse, une courbette judiciaire restée à l’abri du regard et du droit de savoir de tous les membres du réseau, une seconde plainte là derrière les murs des Tribunaux de justice, en quelque sorte , c’est presque une câlinerie grotesque et traîtresse, un lèche-cul remplit d’accusations, de mensonges et de diffamations, toutes ces façons nauséabondes gardées secrètes pendant longtemps à l’intention des militants !

 Machiavel est de retour par la grande porte, il a élu domicile dans les derniers étages bureaucratiques d’un REZO prit ici en flagrant délit de défaut ! Comment imaginer d’accepter cela, chez les antinucléaires : D’un coté dans les assemblées, on mime l’apaisement, et de l’autre on persiste et signe ! C’est grave, choquant, déstabilisant, bref plus que navrant, et ce serait désolant si rien n’était fait pour remettre de la raison dans la maison antinucléaire.

Des plaintes basées sur des appréciations de détournement de fichiers informatiques, dignes des rocambolesques et biens réels piratages d’EDF, et dont justement Stéphane Lhomme en est l’une des victimes ; le retour de bâton du patron ! Des accusations graves lancées en pâture et à la mitraille médiatique et juridique. Avec pour conséquence immédiate, la révélation d’une crise grave, surtout celle de la réelle représentativité (ce n’est malheureusement pas unique) du mouvement qui œuvre par ce réseau de citoyens pour la sortie au plus vite du nucléaire. D’autant que les échéances électorales et à deux ans à peine du scrutin pour les présidentielles, ou il y avait tout lieu de se présenter en ordre de marche, pour un moment fort de revendication antinucléaire et au-delà, du principe démocratique, dont le directeur Brousse en a ici oublié la pratique, ainsi que ses colistiers.

 Depuis le 4 novembre, l’affaire a été dite par la Justice, la deuxième plainte déposée en catimini par le directeur Philippe Brousse a été classée sans suite par le procureur ! Mais celui-ci et ses courtisans refusent de l’a faire connaître aux militants, sympathisants, donateurs ! Une seule raison est suffisante, qui est la moindre des choses a respecter un minimum d’éthique, cette cabale fabriquée de toutes pièces par le directeur, les conséquences dramatiques tant du point de vue du combat antinucléaire que d’un point de vue humain, la gabegie et les conséquences financières pour la structure, et de l’abus d’utilisation d’un certain positionnement partisan, à faire avaler n’importe quoi aux militants.

Cette cassure doit se refaire en soudure, le seul empêchement à cela, la poursuite ou non de la carrière bureaucratique du directeur «  juridico compatissant » et de ses courtisans !

Pour la réintégration des 7, et les plus justes excuses à Stéphane Lhomme ancien porte parole du réseau SDN.

Patrig Kéméner, démocratiquement et anti-nucléaire forcément

* Les 7 autres administrateurs déchus arbitrairement sont eux aux secrets également, tant qu’on y est dans la bêtise ubuesque issue de la pensée ordinaire d’apparatchiks paranoïaques !