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Rêves d’atome et désastre du nucléaire (vidéo commémorative)

Publie le mardi 3 mai 2011 par Open-Publishing
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Lecture, paroles et à propos de Hiroshima, Tchernobyl et Fukushima ; en souvenir des liquidateurs et des victimes du nucléaire civil et militaire.

Représentation du 25 avril 2011 à Quimper, (une seconde représentation a eue lieu le lundi 26 avril à Brennilis)

Suivi de la plaidoirie de Gilbert Nicolas.

L’’indifférence du grand public est le mépris de l’ignorance entretenu par les gouvernants des États, des pouvoirs aveugles. Que serions nous devenus, si les liquidateurs ukrainiens et russes n’avaient été sacrifiés pour colmater ce réacteur en fusion, cette bombe à retardement ! Le 26 avril doit et devra être célébré en jour de souvenirs, au même titre que le 11 novembre. Le lobby nucléaire doit se mettre au pas, et de respecter l’HOMME.

Les gouvernants européens, et suite à la catastrophe du Japon, font à nouveau le bilan financier du chantier sarcophage sur la centrale de Tchernobyl et qui produit toujours de la radioactivité, il y manque des sommes colossales pour reconstruire et de pallier aux défaillances du bouclier improvisé et mis en place depuis 25 ans. La structure envisagée, un chantier de plus de 1.5 milliards d’euros, ne sera de toute façon , qu’une « rustine » temporaire , et elle devra être à nouveau remise à niveau dans moins de 100 ans (selon les bétonneurs). Tchernobyl, Fukushima les déserts nucléaires seront-ils un jour vidés de cette pollution atomique ? Ont-ils enfin compris, ou est-ce encore un effet d’annonce, au lieu d’une réelle prise de conscience ?

Combien de victimes sont-elles liées à cette catastrophe ?

L’AIEA et l’OMS veillent à ne rien dire ! Alors, des révisionnistes à la botte du lobby nucléaire ? Car à l’heure actuelle, toujours pas de chiffre réaliste du nombre de victimes directes ou indirectes de cet évènement majeur et moins encore l’idée de commémoration officielle en Europe occidentale pour ces soldats envoyés au FRONT ATOMIQUE, comme par le passé, leurs pères avaient été forcés à faire barrage au nazisme dans la bataille de Stalingrad.

Alors, pourquoi les soldats sacrifiés du nucléaire, n’auraient-ils pas de place dans la mémoire de toutes les chancelleries Européennes ?

Par l’association Sortir du nucléaire Cornouaille. Quimper

Le 25 avril 2011.

Le lien (15m.53s)

http://www.dailymotion.com/video/xi...

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