Accueil > QUAND BERLUSCONI ET ZAPATERO NE PEUVENT PLUS RIEN,SINON PARLER

QUAND BERLUSCONI ET ZAPATERO NE PEUVENT PLUS RIEN,SINON PARLER

par contagion de la crise de la dette.

Publie le mercredi 3 août 2011 par contagion de la crise de la dette. - Open-Publishing

BOURSE MILAN - 10% sur la semaine

http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?Code=FTSEMIB&Place=XMIL&Codif=TICK

BOURSE MADRID - 8 % sur la semaine

http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?Codif=ISI&Code=ES0SI0000005&Place=00055-TD

...Au royaume des illusions, qui ne manquent pas, figure l’idée que c’est en Asie que se trouve le salut.

Muni de ce viatique et se souvenant des promesses chinoises d’acheter de la dette européenne, faiblement concrétisées depuis lors, Vittorio Grilli, le directeur général du Trésor italien, a donc entamé la tournée des grands ducs, à Hong Kong et à Singapour, afin de rencontrer des acheteurs potentiels des obligations italiennes. La BCE ayant cessé ses achats et le Fonds de stabilisation financière n’étant pas encore en mesure d’accomplir sa nouvelle mission pour s’y substituer, il y a urgence. José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, a jugé « injustifiées » les tensions sur les marchés tout en reconnaissant « la gravité » de la situation.........

http://www.pauljorion.com/blog/?p=26966#more-26966

Dette : l’Italie et l’Espagne replongent la zone euro dans la crise

Les tensions sur l’Italie et l’Espagne ont à nouveau plongé la zone euro dans la tourmente, moins de quinze jours après un sommet censé empêcher la contagion de la crise de la dette. Les responsables politiques sont obligés de réagir en pleine trêve estivale.

A Madrid, le premier ministre José Luis Zapatero a convoqué une réunion dans l’après-midi avec la ministre de l’économie Elena Salgado "pour analyser les derniers mouvements des marchés financiers".

Les craintes suscitées par la dette américaine ont en effet par ricochet rallumé les tensions qui pesaient sur les pays les plus fragiles de la zone euro. M. Zapatero s’était entretenu mardi soir par téléphone avec le président de la Commission européenne José Manuel Barroso.

A cette occasion, "ils se sont mis d’accord sur le fait que les Etats membres doivent mettre en place le plus rapidement possible l’accord trouvé lors du sommet le 21 juillet", s’est contenté de dire la porte-parole de la Commission.

Rencontre d’urgence

En attendant, le ministre italien des finances, Giulio Tremonti, s’est rendu mercredi matin à Luxembourg pour rencontrer le chef de file des ministres des finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker.

Décidée dans l’urgence, cette rencontre avait des allures de réunion de crise, alors que l’Italie, comme l’Espagne, a vu les taux auxquels elle se finance sur les marchés atteindre mardi des niveaux inédits et difficilement soutenables.

Trop lourd à supporter

Or, l’Italie pèse à elle seule plus de deux fois plus que les trois pays sauvés à ce jour de la banqueroute : Grèce, Irlande et Portugal. Si elle cédait, toute la zone euro serait menacée.

Facteurs aggravants : en cette période estivale, rien ne semble prêt pour empêcher une contagion de la crise de la dette à un nouveau pays de la zone euro.

La Commission européenne exclut toute discussion sur un plan de sauvetage pour l’Italie ou l’Espagne et les outils définis lors du sommet de la zone euro du 21 juillet ne sont pas encore mis en place.

(ats / 03.08.2011 16h51)

http://www.romandie.com/news/n/Dette_l_Italie_et_l_Espagne_replongent_la_zone_euro_dans_la_crise030820111608.asp