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Future nuk en Es coquerie : Alors, ça gaze le G4 ?

par Patrig K

Publie le lundi 21 novembre 2011 par Patrig K - Open-Publishing
3 commentaires

Pour plus d’info sur cette CCCG gaz 450 MW 29 le lien du SITE GASPARE *

* Garantir l’avenir solidaire par l’autonomie régionale énergétique. ( le scénario pour une bonne gestion de l’énergie qui est inscrit et revendiqué par l’ONU ...Plan Climat)
http://www.nonalacentrale.fr/

L’embrouille -25%, et à propos du G4 ...

Le CEA a déjà dans ses caisses un budget pour la R&D, de 650 millions d’euros rien que pour ce programme « G4 » (chiffre lu sur leur site), neutrons rapides et le retour phénix. Une loi (inscrite depuis 2006) repasse en lecture dans les deux chambres en décembre 2012, pour la poursuite de ce programme : "Oui ou Oui " ! Un projet qui est également international-moins connu mais bien réel, un montage et partenariat différent que ITER.

* le financement est assuré jusqu’en 2017, c’est le FIS de sarko qui l’a nourri, il me semble

Mon point de vue : Car au delà de l’embrouille sur les 25% en moins, ou de la poursuite de la filière EPR et/ou PWR qui est de toute façon compromise en France ! Ce qui n’est pas le cas en Asie. Par contre l’argument export est une escroquerie, car il ne faut pas se voiler la face, les Chinois vont en construire dans les 30 à 40 ans qui viennent. EDF et AREVA sont déjà liés en « joint venture » avec l’électricien national chinois, ce pour développer le réacteur ATMEA 1000MW ! L’EPR avec ces 1650MW est trop puissant et doit remettre en cause les infrastructures HT dans ces pays et probablement..Un « partenariat » post colonialiste, ce depuis le contrat EPR + uranium du Niger + les mines du Centre Afrique et Euramine, le mariage Cathomique-Confucius avec le libéral communiste.

Les ouvriers français auront le minimum, les chaudières à terme seront fabriquées là bas, pour le béton n’en parlons pas, et l’ingénierie, ça ne va pas durer plus de dix ans. Les gagnants, sont les actionnaires d’EDF qui recueilleront les pastilles, le contribuable et ce qui restera de l’État, auront la charge les démantèlements du parc nucléaire en France avec l’aide des factures des consommateurs, c’est du pillage, le casse du millénaire Colberto-Jacobin nucléaire !

L’embrouille médiatique est là, une droite qui fait mine d’être outrée, et un demi faux deal avec les PS/EELV qui n’à aucun sens, d’un point de vue technique sur le nucléaire je m’entends, pour le politique « franco-cocoricocotte », c’est encore une autre lecture.

Dès lors que cette technique PWR ou EPR, dans les grandes lignes c’est le mm concept, EPR étant un turbomox, et les capacités connus en ressources uranium selon l’AIEA, à un cout abordable et selon leurs critères, n’a pas d’avenir au delà de 65/80 ans actuellement.

Le plus de réacteurs Chinois, Indiens voir les Brésiliens, il est évident que ce Pic U235, est attendu vers 2050 si ce n’est avant, donc le début la fin.

Il me semble que si le nucléaire se poursuit en ce pays, c’est cette filière G4 qui mérite attention et le combat, et ne doit surtout pas être oublié dans tous ce fracas de gesticulations pré-électorales. C’est fondamental ... de mon point de vue

ASTRID, le proto G4 ; serait en service en 2040, la tète de série vers 2065 ..2070

Et pour le principal, du parc actuel, il sera accompagné en fin de vie, de la dépendance atomique gazière, des CCCG (centrales à cycles combinés gaz) qui sont déjà dans les tiroirs du Ministère de l’industrie. Les socialistes sont informés, et fatalement, ils ont par le passé, fait construire autant si ce n’est plus de réacteurs, ils ont leurs sources dans ce complexe militaro i,dustriel !

D’ou une certaine nécessité de commencer par notre région Bretagne une région très sensibilisé et mise en condition par le chef Nominoé Jean Yves Le Drian, un proche de Hollande qui a fait la promotion pour installer une CCCG de 450 MW dans le Finistère.
La mobilisation citoyenne (voir la revue de presse ci-dessous) prend de l’ampleur. Les suites et souvenirs de Plogoff surement aidant, le déni de démocratie, leur règle du mépris . (rappel Drian " la plage Plogoff est tournée " )

Cette CCCG 450MW 29, est de mon point un test grandeur nature, un peu comme pour l’ARH et les hostos dans la lutte à Carhaix qui avait secoué toute la région et au-delà. Ce n’est pas véritablement un débat droite/gauche, mais à chercher du coté obscure du dominant, ils sont en phase, c’est le cas de le dire.

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Le Bonus Brennilis ... EL4 et le premier réacteur en chantier de démantèlement !
EDF souhaite y installer une usine à gaz !

Gaspare & CCCG 450MW Réunion Brennilis Débat et Questionnement

Les réactions des habitants et des élus présents, ceux qui y étaient ici dans les Monts d’Arrée, et suite à la réunion d’information organisée’ par VDMA (Vivre dans les Monts d’Arrée) et le Collectif GASPARE. Une salutaire assemblée d’idées et d’échanges, de la lumière à Brennilis le 18 11 2011, et concernant le projet CCCG 450 MW ...! Tonnant non ... de la lumière, et de l’éclairage.




Autre vidéo :

Messages

  • j’y mettrai de la couleur jaune à l’avenir , juré promi, merci pk

  • Revue de prese du jour


     Télégramme > Finistère > 21 novembre 2011

    Centrale au gaz. Landivisiau sur les rangs

    Et si c’était à Landivisiau qu’était construite la centrale au gaz voulue par la Région ? Porté par Direct Énergie, un projet vient d’être dévoilé sur un terrain d’une dizaine d’hectares situé sur la zone artisanale du Vern. La majorité municipale y est favorable.

    Guipavas avait été le premier site à être évoqué. Puis Châteaulin, Briec et Brennilis ont suivi. On sait désormais que Landivisiau est également cité pour accueillir la centrale électrique à cycle combiné gaz de 450 mégawatts dans le Finistère. Elle devient ainsi la cinquième ville, sur les onze qui ont fait l’objet d’études par les quatre candidats intéressés, dont le nom est officiellement dévoilé.

    En bordure de la RN 12 sur un terrain de 11ha

    Alors que la date butoir pour la remise des offres a été fixée au 28décembre prochain, la société Direct Énergie a fait savoir qu’elle souhaitait s’implanter sur cette commune de 10.000 habitants. En bordure de la RN 12, sur la zone artisanale du Vern. Àl’emplacement de l’ancienne scierie Ollivier, à proximité immédiate des Cars de l’Elorn. « Les dirigeants de Direct Énergie nous ont informés, il y a quinze jours, qu’ils avaient signé un compromis de vente pour un terrain privé d’environ 11 hectares répartis sur trois parcelles », indique le conseiller général et maire UMP de la commune, Georges Tigréat, qui avait été approché une première fois en août par l’entreprise. « Mais ni la ville, ni la communauté de communes ne disposaient des réserves foncières nécessaires pour un tel projet ».

    Georges Tigréat : « On espère l’accueillir »

    Après en avoir informé sa majorité, Georges Tigréat a convoqué un conseil municipal exceptionnel afin de se prononcer sur ceprojet. Il aura lieu vendredi prochain, à 19h. Il sera demandé aux élus landivisiens s’ils acceptent, ou pas, de recevoir cette unité de production électrique. Mais très clairement, le maire et ses colistiers ne s’opposeront pas à la construction, sur leur commune, de la centrale au gaz voulue par le conseil régional dans le cadre du pacte électrique breton signé le 14décembre dernier. Au contraire, même. « On espère l’accueillir. Ce serait un plus pour Landivisiau. Économiquement, ce serait intéressant car durant deux ans il y aurait 500 à 800personnes sur place pour sa construction », indique le maire, qui évoque « un site parfaitement adapté avec de faibles contraintes environnementales et urbanistiques ».

    Le collectif Gaspare « un peu surpris »

    Reste désormais à attendre la décision de l’État, qui interviendra avant le 31mars prochain. Si le projet de Guipavas semble avoir du plomb dans l’aile et si celui de Châteaulin est encore flou, celui de Landivisiau vient rejoindre ceux de Brennilis et de Briec au rang de sérieux candidats. Malgré l’opposition qui ne devrait pas tarder à se manifester. Àl’image du collectif Gaspare(*). « On est un peu surpris d’apprendre que Landivisiau est dans la course. On avait rencontré le maire et sa première adjointe le 30septembre. Et ils n’avaient pas évoqué un quelconque contact avec un opérateur », souligne le porte-parole du collectif, Alain Le Suavet, qui répète qu’il est opposé à tout projet de construction de ce type dans le département. « Car il ferme la porte à toute autre option, dont les énergies renouvelables ».

    * Garantir l’avenir solidaire par l’autonomie régionale énergétique.


    Journal Ouest-France du lundi 21 novembre 2011
    Edition : Morlaix - Rubriques : Landivisiau Ville

    Un projet de centrale électrique au gaz sur la commune ?

    Selon plusieurs sources concordantes, un projet d’implantation de centrale au gaz est en réflexion à Landivisiau. Ce projet s’inscrirait dans le cadre du pacte électrique breton signé le 27 juin dernier entre la Région Bretagne et l’État. L’objectif de ce pacte est de lutter contre la dépendance énergétique de la péninsule bretonne, la région ne produisant actuellement que 8,5 % de l’énergie qu’elle consomme.

    Implantation à la zone artisanale du Vern ?

    Dans le but d’augmenter l’autonomie énergétique bretonne, l’État a ainsi lancé un appel d’offres en juin dernier visant la construction d’une centrale au gaz naturel à cycle combiné d’une puissance de 450 mégawatts dans la région brestoise.

    La ville de Landivisiau et la communauté de communes, approchées par le fournisseur indépendant Direct Énergie cet été, auraient répondu de manière favorable à ce dernier. Bien que les élus n’aient pu proposer directement un terrain capable d’accueillir un tel projet, Direct Énergie s’est mis à la recherche d’un emplacement. Un terrain de 10 ha, située zone du Vern, compatible avec le plan d’occupation des sols de la commune et déjà classé en zone industrielle serait susceptible d’accueillir le projet. Les anciennes scieries Ollivier, situées route de Saint-Pol-de-Léon, constitueraient l’emplacement repéré par Direct Énergie.

    À l’annonce de ce projet, un conseil municipal extraordinaire a été provoqué. Il se déroulera vendredi prochain. Il sera notamment demandé aux élus de se prononcer sur le principe d’une telle implantation.

    Pas de communication pour le moment

    Contacté afin de confirmer nos informations, Georges Tigréat, maire de Landivisiau et président de l’intercommunalité, n’a pas nié l’existence d’un tel projet, refusant par ailleurs toute communication sur le sujet pour l’instant.

    Le chantier de quelque 400 millions d’euros, s’il se concrétise, pourrait employer quelque 800 personnes pendant deux ans. Les retombées fiscales seraient en outre non négligeables pour la Communauté des communes du Pays de Landi et la commune elle-même, d’autant plus qu’une cinquantaine d’emplois devraient être créés à la fin de l’année 2015.

    Le site de Guipavas, un moment pressenti pour l’implantation d’une centrale, avait été rejeté à cause d’un trop grand risque industriel de par la proximité avec l’aéroport de Brest-Bretagne. Reste à savoir si la base aéronavale ne sera pas un frein pour Landivisiau également...

    Direct Énergie. Quelques chiffres-clés : premier fournisseur alternatif de gaz et électricité en France ; 680 000 clients ; 501 millions d’euros de CA en 2010 ; 3,425 tWh d’électricité consommés par ses clients en 2010.

     Journal Ouest-France du lundi 21 novembre 2011

    Edition : Chateaulin-Carhaix - Rubriques : Brennilis

    Centrale : « On s’informe, on débat, on décide, pas l’inverse »

    Plus de 200 personnes étaient venues s’informer sur le projet de centrale à gaz sur le site de Brennilis, vendredi soir dans la salle polyvalente. « On se bat pour que la population ait l’information ; puis on débat, puis on décide. Mais on ne fait pas l’inverse. »

    La réunion-débat qui se tenait vendredi soir à Brennilis a plutôt tourné à la mobilisation contre le projet de centrale au gaz d’EDF, faute de contradicteurs. La rencontre était organisée par l’association Vivre dans les Monts d’Arrée et le collectif Gaspare. Car si officiellement, onze sites et quatre opérateurs répondent à l’appel d’offres lancé par l’État, une rumeur persistance semble aujourd’hui désigner le projet d’EDF à Brennilis comme grand favori. Et le sujet mobilise ici : la salle polyvalente est archicomble pour écouter les arguments du collectif.

    « On veut que les gens aient une autre source d’information que celle d’EDF, explique un membre du collectif. La commission nationale du débat public nous a refusé le principe du débat. Les élus locaux nous ont fermé leurs portes. On cherche donc à informer les gens. Puis on débat, puis on décide, mais pas l’inverse. » Informer le public, car le collectif reproche aux élus locaux de donner un peu vite leur accord au projet de centrale. Et sans trop de concertation. En septembre en effet, EDF avait convié les élus de la CCYE à une réunion d’information sur son projet. Réunion à l’issue de laquelle, le président de la CCYE, Jean-Yves Crenn, avait demandé un vote sur une adhésion de principe, projet validé par 18 élus. De la même manière, lors du conseil municipal de Brennilis du 27 octobre dernier, EDF avait demandé un accord de principe pour l’achat de parcelle à la commune, accepté, là encore, à la majorité.

    Peu d’élus pour se justifier

    Dans la salle, un jeune homme interroge : « Les élus locaux qui ont voté pour cette centrale peuvent-ils nous expliquer leurs raisons ? Pourquoi ils n’en ont pas parlé aux gens du département ? » Une autre demande : « Que fait le parc d’Armorique ? L’ancien président du parc nous avait promis le retour à l’herbe dans 20 ans. Où en est-on ? » Pas de réponse directe. En l’occurrence, ni le maire de Brennilis, ni le président de la communauté de communes, ni celui du Parc d’Armorique ne sont là. Les seuls élus présents sont ceux qui ont voté contre le projet. Une habitante de Saint-Brieuc témoigne : « A Ploufragan, les élus, plutôt favorables au projet au début, ont voulu un débat entre EDF et les associations environnementales. Cela les a fait changer d’avis. Pourquoi n’y a t-il pas cela ici ? » Sous les demandes répétées, une élue de Saint-Rivoal, absente lors de la réunion avec ED, tente d’expliquer ses confrères : « Les raisons doivent être financières, et pour garantir à la population une fourniture électrique. Lors du dernier conseil communautaire, il a été demandé qu’un expert vienne donner le point de vue contradictoire. Mais la CCYE a voté pour que cela se fasse une fois que l’appel d’offres aura eu lieu, si le site est retenu. » Finalement, c’est Christian Troadec, le temps d’une apparition bien calculée, qui emporte les suffrages aux applaudissements en appelant ses confrères à la résistance : « Cela rappelle un autre combat, celui de Plogoff. On a les arguments pour faire en sorte de faire plier l’État, il faudra que les élus soient à nos côtés. » Et collecte un tonnerre d’applaudissements. La prochaine réunion d’information du collectif a lieu à Briec, où s’est montée l’association Briec dit non à la centrale, le 25 novembre prochain. Sibylle LAURENT.

    Journal Ouest-France du lundi 21 novembre 2011
    Edition : Loudeac-Rostrenen - Rubriques : Rostrenen

    Brennilis : l’UDB écrit à Jean-Yves Le Drian

    Dans une lettre ouverte à Jean-Yves Le Drian, président de la région Bretagne, qui passera à Carhaix, mardi 22, l’Union démocratique bretonne du Kreiz-Breizh l’interpelle « au sujet du pacte électrique breton, particulièrement de la centrale électrique à cycle combiné gaz prévue à Brennilis ou ailleurs dans le Finistère. La Bretagne n’a pas besoin de cette centrale puisque des objectifs précis de réduction des consommations d’énergie dans le bâti ont été fixés ».

    L’accord signé par le Parti socialiste et Europe Ecologie-Les Verts, le 15 novembre, prévoit de « réduire la consommation d’électricité. Le Pacte électrique breton, que vous avez cosigné avec le préfet de Région, a été construit sur l’hypothèse d’une augmentation continue de la consommation globale d’électricité en Bretagne. Il y a là plus qu’une contradiction ».

    L’UDB estime que la consommation d’électricité en hiver peut reculer rapidement, en remplaçant les radiateurs électriques par des chaudières plus économiques, « en généralisant l’opération Trak O’Watts à tous les foyers et la démarche Vir’Volt du Pays de Saint-Brieuc à tous les territoires de la Bretagne, vous obtiendrez des résultats probants ».

    Le parti poursuit : « Il est encore temps d’abandonner le projet de centrale électrique à gaz [...] et de reporter le lourd investissement financier qu’elle représente sur un pacte électrique breton réellement écologique ».

  • Comme indiquée en vidéo présentation et réactions ..

    La série vidéo des développements des arguments et éclairage ..

    Réalisé par Hubber, membre du collectif GASPARE

    Merci pour sa contribution ..

    http://www.dailymotion.com/playlist...