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C3H8NO5P

par L’iena rabbioso

Publie le vendredi 20 septembre 2019 par L’iena rabbioso - Open-Publishing

A consommer avec modération

Les mauvaises herbes, ennemies de Bayer.

De plus en plus, je me rend compte que la désinformation la plus efficace était le silence total sur des faits qui contredisent d’une manière criante les paroles d’experts, beaucoup moins que ce qui est publié.

Ainsi, par exemple, sur la distance 10,15,100,150 mètres semble ne pas prendre en compte un phénomène naturel pourtant assez connu : le vent.

Je dis ça parce que, par curiosité, j’ai mesuré la distance entre un champ d’abricot et la demeure de mes frères, et j’ai trouvé 200 mètres.

Or, quand la machine passe, il vaut mieux que cela soit un jour sans mistral.

Mais quand je parlais du non-dit, c’est une obsession chez moi, c’est le manque de curiosité des journalistes professionnels.

Jean-Joffrin va publier un édito sur les écolos-populistes.

Sur Internet, il faudrait se méfier de toute information, de toute intox, alors qu’il suffit d’une simple recherche pour devenir un complotiste parano.
Je parle de ce site :

https://www.bayer-agri.fr/cultures/conseils-en-desherbage-en-grandes-cultures_4151/

Dans nos petites villes, on constate que de petites fleurs poussent dans des endroits assez inattendus, que bien sûr il ne s’agit pas de roses ni de belles de jour, mais que quand même des insectes butinent dessus.
Et le plus souvent c’est des anciens murs dont les joints ont été chassés par de la terre.

Les moins observateurs d’entre vous auront quand même remarqué qu’un petit carré de terre, même jonché d’emballage MacDo, permettait la naissance de plantes certes parfois disgracieuses, mais qui avaient, en miniature, des fleurs multicolores, les mêmes couleurs que les graines vendues en sachet.

Et je ne parle pas seulement des coquelicots, dont la floraison, à la sortie des villes, sur des étendues de terres incultivables, repeignent tout en rouge, alors qu’en s’éloignant des zones urbaines, elles se font rares.

https://www.bayer-agri.fr/cultures/le-mais-levier-agronomique-pour-reduire-la-pression-du-vulpin_5064/

Il semble que Bayer ait développé une sorte de phobie anti-herbe naturelle (adventis , dont une Étymologie est : qui vient en trop, qui est étranger)
Et que c’est une évidence que l’éradication de toute autre espèce que la céréale cultivée soit détruite, anéantie, GANZ VERBOTEN.

Alors un autre débat entre agriculteurs chimique serait peut-être de bannir la population des zones sous pesticides.

Par exemple par d’habitation à moins de 50 kilomètres d’un champ rentable.

C’est d’ailleurs la règles en Amérique (sud et nord) : les plantations sont situées très loin des zones urbaines.

En France, pas de chance, il reste des zones quelques habitants qui n’ont pas la démarche citoyenne de fuir la zone pestiférée.

J’ai observé aussi le phénomène étrange des champs de tournesol où la seule chose qui poussait, c’était des plants de tournesol.

Les journalistes qui se demandent pourquoi plus personne les croient, peut-être qu’au lieu de recopier les études d’experts, ils pourraient prendre un vélo et vérifier si ce que je dis est au moins partiellement vrai ou juste un délire.

Posez-vous la question : est-ce que cela se passe loin de chez vous ?

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