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Précarité étudiante : le cinq décembre dans toutes les têtes
Publie le mercredi 13 novembre 2019 par Open-Publishing1 commentaire
Mardi 12 novembre, plus de 40 manifestations contre la précarité étudiante ont eu lieu en France après l’immolation d’Anas K., étudiant lyonnais. Alors que le gouvernement cherche à temporiser, la galère étudiante devient une question éminemment politique à l’approche du 5 décembre. Reportage à Toulouse.
« J’ai un pote à Paris, qui faisait ramollir ses pâtes dans de l’eau froide au lieu de les cuire, parce que le gaz, ça lui coûtait trop cher », raconte Paul, alors qu’on se déplace du campus toulousain de l’université du Mirail vers le centre-ville, où a lieu un rassemblement devant le CROUS. Des histoires de pates froides, les étudiants peuvent en raconter des milliards, elles font partie de ces rengaines auxquelles on ne prête même plus attention.
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Messages
1. Précarité étudiante : le cinq décembre dans toutes les têtes, 14 novembre 2019, 11:54, par Raymond H
En France soit disant les études sont gratuites, quasiment. Certes les frais d’inscription sont peu élevés (relativement à d’autres pays) mais pour ce qui est du logement, des faux frais, bref de tout ce qui permet de survivre, on n’y est pas du tout. C’est une sélection sociale XXXXL qui ne dit pas son nom, car discrète, peu palpable par celui ou celle qui ne la subit pas.