Accueil > Projection 25/10 ADAC Paris 13e

Projection 25/10 ADAC Paris 13e

Publie le dimanche 21 octobre 2007 par Open-Publishing
1 commentaire

’’BLOG Niouzes
http://consom-solidaire.over-blog.com/

FRUITS au gout des Pesticides
15 Octobre 2007 : C’est le début de la semaine du (mauvais) goût !

Le testing n’est pas l’apanage des assoces anti-discrimination, il y a aussi le test à l’aveugle pour les écolos. Le Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) a présenté les résultats d’analyses faites sur des fruits achetés dans une boutique du parlement européen. En juillet 2007, deux ONG (le Pesticide Action Network et Milieudefensie) ont acheté huit fruits différents. Dans leur panier des fraises, des abricots, une poignée d’oranges, des pommes, des poires et 3 sortes de raisins. Au lieu de déguster leurs achats, ils les ont portés au labo pour analyser leur teneur en résidus de pesticides...Les résultats sont édifiants : 28 résidus de pesticides différents ont été retrouvés dans les échantillons, avec en moyenne 5 résidus par fruit, tous les échantillons étant contaminés. L’enquête

Le Jeudi 25 Octobre à 20h30

Projection du Film documentaire : « Le Beurre et l’Argent du Beurre » de P.Baqué et A. Badini (Smac Productions)

Apéritif solidaire à 19h45
+ Débat avec un représentant de MINGA (association d’acteurs du commerce solidaire) et en présence du réalisateur

Commerce équitable : Marketing économique ou échanges justes et authentiques ?

Salle de l’ADAC 11, place nationale M° Nationale PARIS 13ème

+ D’INFOS : http://lebarbizon.org


Solidaires de la Miellerie du Gâtinais (91)


A Boutigny/Essonne : la Miellerie du Gâtinais, des apiculteurs professionnels Camille et Thierry Sergent, initiateurs du Collectif "Pas d’OGM dans mon Gâtinais"" qui entendent préserver un Parc Naturel exempt d’OGM, comme le souhaitent le Conseil Régional d’Ile-de-France, le Conseil Général de l’Essonne ; et la direction du Parc Naturel. Résistez avec l’abeille, parce que l’abeille et le miel sont le symbole du Gâtinais et de son Parc Naturel, parce que l’abeille est la sentinelle naturelle de proximité de l’équilibre écologique, parce que l’abeille nous représente, nous qui sommes petits, mais qui sommes nombreux, et dont le minuscule dard exprime un signal puissant. SOUTENEZ la BIODIVERSITE !

Produits : Miel Toutes fleurs, Chataigner (forêt), Acacia, Bruyère... Bonbons fourrés miel, Cuillère à miel, Bougie à la cire d’abeille, Savon au miel et au pollen Plus d’INFOS

 > A l’occasion de la soirée-projection du 25/10, vous pourrez rencontrez les producteurs !

Face à l’obésité, faut-il surtaxer la malbouffe ?
Faut-il rehausser la fiscalité sur la malbouffe pour lutter contre l’obésité ? C’est la revendication avancée par l’UFC Que-Choisir, qui demande qu’on passe à une TVA à 19,6% sur les "produits de grignotage" (contre 5,5% aujourd’hui). L’UFC réclame cette "TVA sociétale alimentaire" sur l’ensemble des "produits les plus riches en matières grasses, sucre ou sel". En France, les coûts de la junk food en termes de santé publique sont en effet énormes, alors que 5% des adultes sont obèses... et 12% des moins de 18 ans, selon l’Inserm. Reportage sonore sur Rue 89

------------------------------------
Journée de l’alimentation


Alors que 854 millions de personnes souffrent de sous-alimentation dans le monde, une question nouvelle hante l’édition 2007 de la Journée mondiale de l’alimentation, fixée à mardi 16 octobre : quel sera l’impact de la hausse actuelle des cours des céréales sur les populations ? Récemment, l’Agence des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a fait part de son inquiétude pour les populations des pays pauvres et importateurs de céréales, et évoqué des risques de troubles sociaux.
en savoir plus
L’alimentation est un droit de l’Homme La FAO a invité aujourd’hui la communauté internationale à renouveler son engagement à garantir le droit à l’alimentation aux centaines de millions de personnes sous-alimentées dans le monde...[...]


Mourir de faim pour la bagnole


"Qui profite vraiment du boum des biocarburants ?

Serez-vous surpris ? J’en doute : il existe sur terre des gens qui jugent moral de cultiver des plantes alimentaires pour faire rouler des bagnoles. Dans ce monde où croupissent un milliard d’affamés chroniques, on plante massivement du colza, du tournesol, de la canne à sucre, du maïs, du palmier à huile, du soja. Qui finissent dans le réservoir. Dans ce monde où près de trois milliards d’humains survivent avec moins de deux dollars par jour, et souvent bien moins, le prix des céréales explose. La raison en est simple : le marché alimentaire mondial est tendu à l’extrême depuis des années. D’une part, le dérèglement climatique en cours complique la tâche des paysans. Et d’autre part, la demande pousse d’année en année, massivement..." Tribune dans l’Humanité de Fabrice Nicolino, journaliste

Rouler "propre" et accélérer la faim dans le monde ?
Jean Ziegler, rapporteur spécial sur le droit à l’alimentation, met en garde contre les effets pervers du biocarburant. Il proposera à l’Assemblée générale des Nations Unies un moratoire de cinq ans pour suspendre cette production et expérimenter des solutions alternatives.
Voir aussi

Eau ou bio-éthanol : faudra-t-il choisir ?

Aux Etats-Unis, des spécialistes s’inquiètent des conséquences qu’aura sur la ressource en eau une extension des cultures de maïs destinées à la fabrication de carburants.

Une commission spécialement diligentée par le gouvernement américain auprès du National Research Council affirme que si l’augmentation de production d’éthanol se poursuit comme annoncé, de sérieux problèmes pourraient surgir concernant l’approvisionnement en eau au niveau régional et local. Et de suggérer la mise au point de nouvelles techniques agricoles afin de réduire l’impact des biocarburants sur les ressources d’eau.

Les hausses régulières du prix du pétrole, considérées conjointement avec les politiques de subventions par le gouvernement américain qu’elles ont elles-mêmes provoquées, conduisent irrémédiablement à une augmentation de la production d’éthanol de maïs. La suite

La crise mondiale du blé dans la presse africaine

Quelles sont les répercutions de la hausse mondiale des cours du blé dans les pays en développement ? Des exemples concrets au Mali, au Burkina Faso et en Côte-d’Ivoire au travers d’articles de leurs quotidiens nationaux. Le prix du blé sur le marché international est en hausse ces dernières semaines, mettant les minotiers et les boulangers au four et au moulin pour se tirer d’affaire. Lire

Un monde sans fruits ni légumes ?

Sur l’ensemble de la planète, les abeilles sont en déclin (Le Monde du 30 août). Ces pollinisatrices essentielles peuvent-elles disparaître ? Il y a cinq ans, j’aurais considéré cette hypothèse comme totalement futuriste. Aujourd’hui, je la prends au sérieux, car le déclin se mesure désormais à l’échelle mondiale. Chez les populations sauvages comme chez l’abeille domestique. Lire ...

Le village qui a gagné le pari du bio

A Correns (Var), « premier village bio de France », les agriculteurs, les élus, la cantine scolaire... ont réussi leur mutation vers le tout-naturel. Un choix économique raisonné. Lire ...

Argentine : Le boycott de la tomate fut un succès

À la suite de la protestation des associations de consommateurs et de l’augmentation de l’offre, hier le prix de la tomate sur le Marché Central de Buenos Aires est tombé 30 %. Selon les organisateurs du coup de force initié hier face l’augmentation du prix du produit, les ventes ont baissé de 40 %. Le boycott des associations de consommateurs et l’augmentation de l’offre a généré une baisse du prix de la tomate, qui sur le Marché Central a été vendue 30 % moins chère. Lire la suite...

Agriculture biologique : les jeux sont faits depuis longtemps

Monsieur Sarkozy ne craint pas les paradoxes : alors qu’il annonçait en mai dernier, en lançant le processus du « Grenelle de l’environnement », son engagement à ne pas prendre de décision importante concernant l’environnement avant la fin du dispositif, la représentante de la France n’a pas hésité en juin à voter en faveur du nouveau règlement européen de l’agriculture biologique proposé par la Commission, au mépris des propositions du Parlement européen et de la mobilisation des associations. Une réglementation déplorable, qui dénature la bio et ouvre un boulevard aux productions industrielles. Un exemple funeste pour le Grenelle de l’environnement ? La tribune

Campagne Lait (CFSI)

Chaque année, la faim progresse ! Elle touche aujourd’hui 852 millions de personnes et tue 6 millions d’enfants ! 80 % des victimes de la faim sont des paysans et leurs familles. Si les causes sont multiples, l’Union Européenne et la France portent une part de responsabilité. Les citoyens français peuvent et doivent interpeller leurs dirigeants. La production laitière en Afrique illustre parfaitement les causes de la crise de l’agriculture africaine. Au Mali, au Sénégal, au Kenya ou en Tanzanie, le lait est un aliment de base pour la population. Pourtant la production locale est rarement suffisante pour répondre à la demande. Ce secteur pourrait donc se développer, créer des emplois et ainsi contribuer à éradiquer la faim et la pauvreté dans les zones rurales. La campagne...

La réglementation du secteur de la distribution en cause dans la hausse des prix

Les annonces d’augmentation de prix des produits agroalimentaires se multiplient. Après Danone et Bonduelle, qui prévoient des hausses d’environ de 10 %, c’est au tour de Lactalis, numéro un européen du fromage, de "relever fortement ses prix", entre 15 % et 17 %, selon Michel Léonard, le président du directoire du groupe dans un entretien publié par Les Echos, jeudi 11 octobre. Les causes de cette flambée sont connues : les cours des matières premières ont bondi, tirant les prix à la production de l’industrie agroalimentaire vers le haut, +4,5 % en un an. En revanche, les prix à la consommation n’ont augmenté, dans le même temps, que de 1,2 % d’après l’Insee. L’institut de statistiques estime le délai de rattrapage entre les cours des marchés mondiaux et les tickets de caisse, d’environ six mois. Reste à savoir dans quelle proportion les consommateurs seront affectés...Suite

L’économie solidaire protège aussi l’environnement

Avec 1,3 milliards d’euros à fin 2006, soit 43 % d’augmentation sur un an, les finances solidaires vont bien. Elles alimentent l’économie solidaire à l’origine de projets d’insertion par le logement (40%) et le travail (40%), d’autres liés à la protection de l’environnement (15%) sans oublier le commerce équitable (5%). Lire ...

Des pesticides non autorisés en France dans les pommes de terre !

Cette année, on y regardera peut-être à deux fois avant de se resservir en purée ou en frites. Tout ça à cause du mildiou, cet affreux champignon qui a profité de l’été pourri pour ravager, entre autres, les champs de patates. Afin d’en venir à bout, les producteurs ont aspergé des pesticides à tout-va. Au point d’avoir épuisé les stocks dès la mi-juin, soit un mois avant la date prévue. Qu’à cela ne tienne, le ministère de l’Agriculture s’est dépêché de faire venir des Pays-Bas et de Belgique des produits non encore homologués en France. Et, surtout,
d’autoriser les "patatiers" à utiliser des pesticides normalement réservés à la vigne. 200 tonnes tombées du ciel auraient ainsi été joyeusement répandues sur les pommes de terre[...]

Inde : marche des paysans sans terre

Une marche pour la terre et pour la dignité.

Janadesh 2007. Ce nom ne vous dit sans doute rien mais il est porteur de promesses immenses pour des dizaines de milliers de paysans sans-terre indiens, intouchables ou issus des basses castes et des “tribus répertoriées” (selon la terminologie officielle). En hindi, Janadesh signifie “le verdict du peuple”. C’est le nom de la grande marche non-violente qui partira de Gwalior, dans l’Etat du Madhya Pradesh, le 2 octobre 2007. En parcourant les 350 km qui séparent Gwalior de New Delhi, les 25 000 marcheurs espèrent faire entendre leurs voix. Objectif : être 100 000 personnes à l’arrivée devant le parlement de New Delhi, pour exiger la création d’une Haute Autorié de la terre et de cours de justice entièrement dévolues aux litiges sur la propriété des terrains. La suite

THEME DU MOIS : COMMERCE EQUITABLE]]

La soirée du 25/10 : http://www.actionconsommation.org/p...

De l’équité dans la rébellion zapatiste ?

Café du Chiapas cultivé de façon biologique et cueilli avec dignité. Le 1er janvier 1994, date d’entrée en vigueur de l’Alena (Accord de libre-échange nord-américain), les sans-terre, les sans-voix, les « oubliés de toujours » que sont les Indiens, descendent des montagnes et, au cri de « ¡Ya Basta ! » [Ça suffit !], occupent plusieurs villes du Chiapas, État riche en ressources, où la population est la plus pauvre du Mexique sous l’impulsion de l’EZLN (Armée zapatiste de libération nationale) et des zapatistes qui s’organisent en communes autonomes. De nombreuses réalisations pour la mise en place d’une autonomie solide voient le jour - écoles, cliniques, coopératives, transports, agriculture, artisanat - dans une région où la plupart des paysans sont privés des services de base comme l’eau, l’électricité, l’éducation et la santé. Au Chiapas, la lutte s’organise aussi autour du café : Mut Vitz, Yachil Xojobal Chulchan et Ssit Lequil Lum, des coopératives zapatistes...[suite]

Max Havelaar ou les ambiguïtés du commerce équitable

Leader mondial du commerce équitable, Max Havelaar prétend répondre à une demande de consommation « différente » placée sous le signe de la solidarité entre consommateurs du Nord et petits producteurs du Sud. Toutefois, l’entreprise semble effectuer un tournant « pragmatique » en se liant à de grands groupes très éloignés de ses préoccupations d’origine. Il n’est pas certain que les producteurs et les citoyens s’y retrouvent. Contribution de C.Jacquiau

Paris brade le coton subsaharien

Depuis longtemps, les paysans du Sud, notamment africains, combattent les injustices du marché mondial du coton. En 2007, la bataille s’enrichit d’un nouvel épisode avec la discrète privatisation – pour ne pas dire le bradage – de Dagris. Parrainant des filières de production intégrées, ce holding agroalimentaire français avait au moins l’avantage de garantir des prix aux petits agriculteurs. Le démantèlement de ce système, sous la pression des institutions financières internationales, les fragilise dangereusement. Par ailleurs, quel que soit son propriétaire, le holding demeure l’un des géants de l’influence française en Afrique. Derrière cette crise se profile, comme toujours, la question des rapports Nord-Sud. Lire

AMAP - Aux paniers, citoyens !

Pour un Commerce équitable local !

Paysans en disparition, consommateurs en désarroi, l’évidence du rapprochement pour défendre les uns et rassurer les autres a trouvé son point de convergence et généré les associations pour le maintien de l’agriculture paysanne (amap). Un contrat garantissant qualité des productions fermières contre juste rémunération du travail agricole va lier les acteurs dans un souci de solidarité active. Chaque semaine, les membres du réseau recevront ce que le rythme des saisons et le savoir-faire paysan ont permis de récolter. Le " panier amapien " va devenir cette emplette de nature près de chez soi, pied de nez à l’agrobusiness et à sa mondialisation dévastatrice.
Un dossier dans Campagnes solidaires, octobre 2007

Messages