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La carte du chômage à venir, pour ceux qui sont fâchés avec Saint Gogol.

Publie le lundi 24 novembre 2008 par Open-Publishing
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Pour ceux qui sont fâchés avec Saint Gogol voir ici

Ci-dessous, les "détails" (comme dirait l’autre) :

Plans sociaux

Les suppressions d’emplois annoncées depuis septembre 2008 en France.

Créée le 26 oct. - Mise à jour le 24 novembre 2008

HEWLETT-PACKARD : 580 postes
HP va supprimer 580 postes dont 500 au sein de sa nouvelle filiale Electronic Data Systems (EDS), qui a des sites installés notamment à Brest, Nantes, Rennes, Tours, Toulouse, Lyon et Nanterre.

Les salariés dénoncent un plan social « financier »

ADECCO : 600 emplois.
Le groupe de travail temporaire va supprimer 600 emplois en France d’ici le mois de juin 2009 sur toute la France.

ALICE (Paris) : 330 à 350 postes.
Free supprime de 330 à 350 postes chez Alice, au siège, à Paris.

LA REDOUTE (Roubaix) : 672 licenciements dont 151 au siège
La Redoute (Redcats, PPR) va supprimer 672 emplois en 4 ans. Le plan prévoit une réorganisation du siège qui touchera 151 emplois, la fermeture étalée sur 4 ans des 81 points de contacts avec la clientèle qui emploient 430 collaborateurs et l’externalisation du traitement des commandes par courrier qui affectera 91 employés.

CAMIF (Niort) : 980 emplois
Cessation de paiement de CAMIF Particuliers et de CAMIF SA, la maison-mère. CAMIF Particuliers emploie 780 personnes et CAMIF SA, 140 personnes.
Le 27 octobre, Camif Particuliers a été liquidée. 900 emplois sont supprimés.

Une nouvelle secousse après le plan de licenciements dévoilé fin août qui prévoyait déjà 509 suppressions de postes sur un total de 1.370, dont un millier à Niort. Aujourd’hui, les syndicats parlent de « 940 emplois » rayés de la carte.

Source : La Charente Libre.

FORD (Blanquefort) : 1600 salariés menacés
L’usine automobile a fermé ce 24 octobre pour 10 semaines, baisse des ventes obligent. Le site va fermer en 2010. 1600 salariés sont menacés. Source : Sud-Ouest. Actualisation 21/11 : deux repreneurs ...

Source : Sud-Ouest.

Actualisation 21/11 : deux repreneurs discutent avec Ford en vue de la reprise du site. Leur nom n’est pas connu.

PSA (Rennes) : 850 emplois supprimés
La ligne de fabrication des 407 s’arrête 8 jours chômés sur octobre et novembre. Actualisation 20/11 : PSA annonce la suppression de 850 postes à l’usine de Rennes, dans le cadre d’un vaste plan de suppressions d’emplois de 3550 supressions d’emplois en France. Ouvriers, employés et cadres sont concernés. PSA promet qu’il n’y aura pas de plan social.
La ligne de fabrication des 407 s’arrête 8 jours chômés sur octobre et novembre.

Source : Les Echos, Ouest-France

TYCO (Pontoise) : 620 emplois
Le groupe électronique annonce le 4 septembre qu’il va fermer trois usines en France et en Espagne d’ici 15 mois, dans le cadre d’une restructuration de ses activités européennes. En France, quelque 620 emplois devraient être supprimés suite à la fermeture des usines de Chapareillan (Isère) et de Val-de-Reuil (Eure), qui produisent des composants électroniques pour l’industrie automobile, ainsi que du regroupement des activités administratives du site de Cergy-Saint-Christophe avec celles de Pontoise (Val-d’Oise).

Source : Les Echos

RANGER (Theillay) : 442 emplois menacés

Les 442 salariés ont appris, le 23 octobre la mise en cessation de paiements de l’usine Ranger de Theillay, près de Salbris.

CONTINENTAL AUTORADIOS (Rambouillet) : 400 emplois délocalisés
Après l’annonce début septembre d’un plan de restructuration sur l’usine de Rambouillet (Yvelines), Continental Autoradios a décidé de délocaliser sa production vers la Roumanie en 2009.

Source : L’Usine Nouvelle.

MOLEX (Villemur-sur-Tarn) 300 postes.
Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne) : Le groupe américain Molex, spécialisé dans la connectique électrique, fermera son site haut-garonnais, Molex Automotive en juin 2009. A la clé : la suppression de 300 postes, dont 275 CDI.

Source : La Dépêche.

JOHNSON CONTROLS (Gd Quevilly) : 280 salariés
Johnson Controls (batterie pour l’automobile) va fermer son usine d’ici à six mois. A Grand Quevilly, c’est la stupeur. L’annonce a été faite en dix minutes aux salariés. Source : Les Echos.

Source : Les Echos.

NXP (Caen) : 280 postes en moins
La direction de NXP France a présenté le 29 septembre son plan social final. 280 postes (sur 300) seront supprimés dans l’usine de circuits intégrés mise en vente au début du mois.

Source : L’Usine Nouvelle.

KLARIUS (Dreux) : 238 postes en mois
Le fabricant de pots d’échappement a été placé en liquidation judiciaire.

Source : La Nouvelle République de Centre

LEAR (Offranville) : 150 salariés sur le carreau
L’usine Lear qui fabriquait des garnitures de portières en lin n’avait plus qu’un client, Opel. Elle a fermé le 15 octobre. La direction justifie cette fermeture par des coûts trop élevés par rapport aux sites d’Europe de l’est.

Source : L’Usine Nouvelle

TREVES CERA (Reims et Paris) : 145 postes supprimés
Le sous-traitant Treves (3800 salariés en France/textile pour l’automobile) subit la crise de l’automobile. 145 postes seront supprimés à Paris et Reims, chez CERA.

TREVES PTPM (Ay) : 40 postes supprimés
Le sous-traitant automobile Treves (textile/3800 salariés en France) supprime 40 postes chez PTPM, à Ay. Source : Les Echos

Source : Les Echos

TREVES MATT (Montcornet) : 40 postes supprimés
Treves, sous traitant automobile (textile/3800 salariés en France) supprime entre 35 et 45 postes chez MATT. 140 avaient été supprimé en 2005. Ces dernières semaines, les contrats de 70 intérimaires n’ont pas été reconduits.

Source : Les Echos

TREVES MPAP (Ploërmel) : de 38 à 53 postes supprimés
Treves a annoncé mi-novembre entre 38 et 53 emplois supprimés. La MPAP avait déjà annoncé une période de chômage partiel en décembre (du 12 décembre au soir au 6 janvier au matin). L’équipementier travaille à 80% pour PSA Rennes.

Sources : Ouest-France et Les Echos

TREVES SODIMATEX (Crépy) : 14 emplois supprimés
Le groupe Treves (textile pour l’automobile, 3800 salariés en France) supprime 14 emplois chez Sodimatex

Source : Les Echos

TREVES TREVEST (Brognard) : entre 12 et 15 postes supprimés
Le sous-traitant auto Treves (textile, 3800 salariés en France) supprime entre 12 et 15 emplois chez Trevest, usine très ptroche de l’usine PSA de Sochaux.

Source : Les Echos

HARMAN BECKER (Château-de-Loir) : 134 licenciements
Ce sous-traitant automobile va licencier en décembre 135 salariés. Un choc pour cette ville de 5000 habitants.

Source : maville.com

RIETER (Rémy) : 135 suppressions d’emploi
136 des 185 salariés de Rieter (isolation pour poids-lourds) vont être licenciés. Une cinquantaine de postes sont menacés au siège du groupe à Aubergenville (Yvelines)

Source : Le Parisien.

KPI (Rochefort) : 139 emplois supprimés
Key Plastics supprime 139 emplois sur son site de Rochefort. Seul l’atelier de peinture (58 salariés) est maintenu.

Source : L’Usine Nouvelle

MAHLE (Persan) : 132 postes en moins dès la fin de l’année
L’équipementier allemand Mahle a annoncé la femeture du site qui fabrique des filtres à gaz dès la fin de l’année. 132 postes seront supprimés.

Source : L’Usine Nouvelle.

FAURECIA (Sandouville) : 130 postes supprimés
Conséquence de la suppression de 1000 emplois à Sandouville, l’équipementier Siemar (Faurecia) va supprimer 120 postes (sur 280). Le site est au chômage technique entre le 12 décembre 2008 et le 5 janvier 2009. Les guichet de départs volontaires est ouvert, mais les salariés veulent obtenir de meilleurs conditions d’indemnisation.

Source : L’Usine Nouvelle

EMT (Caudebec) : 120 postes supprimés
L’équipementier EMT (278 salariés) pourrait être repris par une entreprise suédoise, mais avec 120 suppressions d’emploi à la clé.

Source : L’Usine Nouvelle.

KEY PLASTICS (Voujeaucourt) : 114 licenciements.
Key Plastics supprime 114 emplois siur son site du Doubs.

Source : AFP.

FRUEHAUF (Auxerre) : 104 emplois supprimés.
Le fabricant de semi-remorques Fruehauf, supprime 104 postes sur 387. Résultat selon la direction d’une baisse drastique des commandes depuis le début du mois de novembre.

Source : L’Usine Nouvelle.

SKF (Saint-Cyr) : une centaine d’emplois menacés
La direction de l’usine SKF de Saint-Cyr-sur-Loire (1400 salariés) a annoncé aux représentants du personnel l’arrêt progressif de la fabrication des roulements à bille de type HBU sur le site de Saint-Cyr-sur-Loire. Cette décision prendra effet dans un délai de 12 à 24 mois, c’est-à-dire avant la fin 2010.
Une centaine de postes est concernée, mais la direction affirme ne pas envisager de départs contraints.

Les intérimaires (200) n’ont pas été renouvelés.

Source : La Nouvelle République

JTEKT (Dijon) : plusieurs dizaines d’emplois
L’équipementier automobile japonais JTEKT Europe (4200 personnes en France) va supprimer 200 postes en France. sans ses usines de Dijon et de Saint-Etienne (Loire), qui fabriquent des directions assistées.

MCA (Maubeuge) : 91 postes en moins, 25 jours d’arrêt
MCA assembla la Kangoo pour Renault. 91 postes vont être supprimés, il y aura également 25 jours d’arrêt de la production d’ici janvier.

EUROCEL (Dives-sur-Mer) : 80 postes
Spécialisée dans la fabrication de feuilles de cuivre, Eurocel, filiale du groupe Green Recovery, va fermer d’ici quelques mois. 80 salariés y travaillent.

Source : L’Usine Nouvelle

MAHLE (Colmar) : 69 postes supprimés
Mahle Pistons de Colmar à Ingersheim a annoncé, jeudi, la suppression de 69 postes de travail (sur 535) pour le 1er novembre. La direction motive cette décision par une chute de 20 % des commandes pour le trimestre en cours et une baisse prévisionnelle de 15 % pour 2009.

Source : L’Alsace

AB (Limay) : 64 emplois supprimés
AB industries, équipementier automobile, a fermé. 64 salariés sont sans emploi.

Source : Le Parisien

INERGY (Aulnay) : fermeture de l’usine
L’usine Inergy d’Aulnay-sous-Bois va fermer. Plusieurs dizaines de salariés sont concernés.

Source : Ouest-France

INERGY (Nucourt) : l’usine va fermer
Inergy, qui fabrique des réservoirs pour les voitures, va fermer son usine de Nucourt. 65 salariés sont concernés.

Source : Le Parisien

LAPRADE (Arudy) : 26 emplois sur la sellette
Les 26 salariés de Laprade échappent pour le moment à la liquidation judiciaire. Mais l’entreprise est en grande difficulté. Les salariés accusent l’actionnaire d’avoir "sciemment vidé de sa susbtance" l’entreprise.

Source : L’Usine Nouvelle

FONDERIE GM (Ponts-de-Cé) : 20 emplois
20 suppressions d’emploi sont prévues dans cette fonderie spécialisée dans la sous-traitance automobile.

Source : L’Usine Nouvelle.

FONDERIE LORRAINE (Grosbliederstroff), 19 licenciements
La fonderie qui travaille pour l’automobile traverse une passe difficile. L’entreprise (310 salariés) ne fait plus de bénéfices depuis plusieurs années. La direction s’engage à ne laisser « personne sur le carreau ».

Source : Le Républicain lorrain

PERFORMANCE FIBERS (Longlaville) : 7 salariés
L’usine fabrique des fils synthétiques, principalement pour l’automobile. Sept salariés ont déjà été licenciés. Les syndicats craignent un « plan social déguisé ».

Source : Le Républicain Lorrain.

SEALYNX (Villiers-La-Montagne) : 7 licenciements, arrêts de production
Les 77 salariés de ce sous-traitant automobile ont appris début septembre le licenciement de sept d’entre eux. Des rumeurs de délocalisation en Roumanie et en Tunisie circulent dans le groupe.

Actualisation 4/11 : Le site de Villers-la-Montagne connaîtra 2 semaines d’arrêt en novembre et une en décembre

Sources : Le Républicain Lorrain
& L’Usine Nouvelle

WAGON (St Pierre de Varengeville) : usine délocalisée
Ce sous-traitant automobile (235 salariés) va être mis en vente et la production délocalisée. La direction affirme que seuls les intérimaires feront les frais de cette vente.

Source : L’Usine Nouvelle.

MOTEURS BAUDOUIN (Cassis) : 123 salariés menacés
A cause de la crise, les banques n’ont pas suivi Moteurs Baudouin, une PME de 123 salariés très connue dans l’industrie nautique. Son propriétaire, un fonds d’invessissement, a jeté l’éponge. Moteurs Baudouin a dû être placée en redressement judiciaire, malgré un carnet de commandes enviable.

Source : L’Usine Nouvelle

YACHT INDUSTRIES (Mondeville) : 51 salariés inquiets
Yachts Industries (catamarans de luxe) s’est déclaré en cessation de paiements au tribunal de commerce de Caen le 12 novembre. Un client a annulé une grosse commande de 7 millions d’euros. La direction espère pouvoir vendre le bateau qui n’a pas été payé pour se relancer.

Source : maville.com

NEXITY : 500 licenciements
Le promoteur immobilier va supprimer 500 emplois d’ici 2009.

Source : Le Figaro.

CELEOS (Saint-Brieuc) : 247 suppression d’emplois.
En proie à des difficultés de trésorerie, le groupe immobilier briochin a déposé le bilan et supprime 247 emplois sur 406. L’activité a brutalement chuté.

KAUFMAN & BROAD : 165 licenciements
Le promoteur a annoncé 165 licenciements. Il pâtit du ralentissement immobilier.

Source : Le Figaro.

PIERA (Gap) : 70 licenciements
Le promoteur immobilier Piera, dont le siège est basé à Gap, va réduire son effectif total (120 personnes) de 60%, soit plus de 70 licenciements. Le plan de restructuration imposé suite aux importantes difficultés financières de l’entreprise prévoit la fermeture de 7 des 10 agences du groupe, toutes situées dans le Sud de la France.

Source : La Dépêche.

EXTREME DECORS (Lamastre) : 35 emplois supprimés.
Le fabricant de revêtements Extrême Décors a envoyé des lettres de licenciement à tous ses employés. Leur chance de retrouver un emploi dans le bassin sont très faibles.

Source : Le Dauphiné.

PARQUETS MARTY (Cuzorn) : 107 emplois supprimés.
Le tribunal de commerce de Villeneuve-sur-Lot a donné son accord à l’ouverture d’une procédure de sauvegarde des Parquets Marty (groupe Nybron) qui emploient 500 salariés à Cuzorn (Lot-et-Garonne).

Source : L’Usine Nouvelle.

Actualisation, 14/11 : Les créanciers ont donné leur accord à un plan d’apurement du passif. Le plan prévoit 6 millions d’euros d’investissement sur les trois prochaines années, avec un apport financier des actionnaires à hauteur de 5 millions d’euros. Mais l’horizon n’est pas totalement éclairci. Le secteur du parquet subit la dégradation de la conjoncture économique. Des mesures temporaires ont été adoptées : recours à des jours chômés, RTT, formation du personnel.

Source : L’Usine Nouvelle

FFMT (Le Fossat) : 12 licenciements
12 des 35 salariés de ce constructeur de "maisons transportables" ariégeois vont être licenciés, à cause de la crise de l’immobilier.

Source : La Dépêche.

SOPROFENE (Champagney), 10 licenciements
Spécialisée dans la fabrication de portes de garage métalliques, a annoncé fin septembre une vague de 10 licenciements économiques (un quart de l’effectif). L’entreprise est victime du retournement de l’immobilier.

Source : L’Est Républicain.

SUM TECH (Charleville-Mézières) : 9 licenciements.
La Sum Tech (mécano-soudure, activité liée au BTP) qui emploie 138 salariés a déjà renvoyé une vingtaine d’intérimaires, soldé les congés payés, RTT et repos récupérateurs puis entamé une mesure de chômage partiel. Mais cela n’a pas suffi : elle a annoncé 9 licenciements le 30 octobre.

Source : L’Ardennais.

THEALEC (Rosheim) : 7 licenciements
Le sous-traitant de cartes et câblages électroniques Théalec (groupe Altrics) va licencier sept de ses 49 salariés. La crise du secteur du bâtiment a entraîné un « ralentissement brutal » des commandes

Source : DNA (payant)

APMO (faux-plafonds, éclairage de mobilier) 3 licenciements
Apmo (17 salariés)vient d’en licencier 3. La faute à la concurrence internationale, selon la direction.

Source : L’Ardennais.

TIXIT (Haguenau) : redressement, mais pas encore de licenciements
Le fabricants de rayonnages et de cloisons Tixit a été mis en redressement par le tribunal de commerce à cause, notamment, de problèmes de trésorerie. Quatre repreneurs sont pressentis. Pour l’instant, aucun licenciement n’a été annoncé.

Source : L’Usine Nouvelle.

CALYON (Crédit agricole), 250 emplois.
Crédit Agricole SA a présenté le plan de recentrage de sa filiale de banque de financement et d’investissement, Calyon : suppression de 250 emplois en France.

KRONENBOURG (Strasbourg) : 214 suppressions d’emplois
Les Brasserie Kronenbourg vont supprimer 214 suppressions d’emploi d’ici fin 2010 sur 1.390.

AMORA MAILLE (Dijon) : 265 emplois supprimés
Amora-Maille (Unilever) va fermer son usine historique de Dijon, son site d’Appoigny et son centre logistique. Ces fermetures sont prévues pour 2009. 265 emplois au moins seront supprimés. La direction promet de les compenser.

Source : Les Echos

DANDY (Pontivy) : 238 licenciements
L’usine de découpe de volailles a fermé ses portes le 15 septembre. Les salariés n’ont rien obtenu.

Source : Ouest-France.

BEGHIN SAY (Nantes) : l’usine ferme en 2009
Le raffineur (groupe Tereos) fermera son usine nantaise en 2009. Il emploie aujourd’hui 172 salariés.

Source : L’Usine Nouvelle.

Une usine de viande (Maxéville) : 36 licenciements
Le 10 octobre, une usine de viande de Maxéville a fermé. 36 salariés sont licenciés.

Source : L’Est Républicain.

VALSPAR (Nantes) : 30 postes supprimés
La direction du fabricant d’encres alimentaires a confirmé en septembre la suppression de 30 postes.

Source : Presse-Océan.

SALAISONS GUEGUEN : 19 licenciements
Deux tiers des 30 salariés vont être licenciés. Le plan de sauvegarde de l’emploi prévoit moins de... 3000 euros pour chacun, en guise d’indemnisation.

Source : MaVille.com

ABATTOIR DE BELLEBRUNE, 18 salariés bientôt sans emploi
L’abattoir spécialisé dans les poulets label rouge subit la chute brutale de la consommation dans les grandes surfaces de la région. L’abattoir fermera le 31 octobre si aucun repreneur ne s’est présenté.

ALPLAST (Ste Marie aux Mines) : 108 licenciements
L’usine d’emballages plastiques pour la grande distribution subit la chute de la demande. 108 salariés ont été licenciés

Source : DNA.

LEPETIT (Saint-Maclou) : fermeture de l’usine historique
Le site de production historique du camembert Lepetit (groupe Lactalis) va fermer à cause de la baisse des ventes. Les salariés seront reclassés.

Source : Le Monde

EBREX (Pagny) : 51 licenciements
La société de transports frigorifiques est placée sous procédure de sauvegarde. D’après la CGT, 51 emplois vont être supprimés.

Source : L’Est Républicain.

TMT (Montauban) : 12 licenciements
Ce transporteur de matériaux pour le bâtiment qui emploie 26 salariés va en licencier 12.

Source : La Dépêche.

HYMER (Cernay) : 12 licenciements
Douze des 230 salariés de ce fabricant de caravanes et de campings-cars vont être supprimés.

Source : DNA

SANOFI-AVENTIS, 800 postes.
Le groupe a annoncé un "projet de réorganisation" qui entraîne la suppression de plus de 800 postes de visiteurs médicaux en France, et 110 au siège, à Paris.

MBO France (Boulogne) : liquidation judiciaire, 1100 emplois sur la sellette
Deux entités du groupe français MBO (1.100 salariés),spécialisé dans la visite médicale, ont été placées en liquidation judiciaire, avec une poursuite de l’activité jusqu’à fin décembre, par le tribunal de commerce de Nanterre. Selon les syndicats, les salariés ont été "brutalement avertis", lors d’un comité d’entreprise le 30 octobre, de la situation "catastrophique" de la trésorerie.

Le secteur de la visite médicale - environ 22.000 emplois en France - a déjà été marqué par l’annonce début octobre du laboratoire Sanofi Aventis France de la suppression de 927 postes.

Source : AFP

ASTRA ZENECA, Dunkerque, entre 95 et 400 suppressions d’emplois
Un plan de sauvegarde de l’emploi prévoit le départ de 95 salariés entre 2009 et 2010, suite à la délocalisation de la fabrication d’un médicament. La direction prévoit également une cession du pôle chimie (200 salariés).

BMS (Epernon) : 220 emplois sur la sellette
Le groupe pharmaceutique BristolMyers Squibb (BMS) a annoncé que son site d’Eperon serait touché par son plan drastique d’économies.

Source : L’Usine Nouvelle.

BMS (Meymac) : 160 emplois supprimés
Le groupe pharmaceutique américain BristolMyers Squibb (BMS), propriétaire de la marque UPSA, a annoncé la fermeture de son site corrézien de Meymac en juin 2010. Quelque 160 salariés devraient être licenciés.

Source : L’Usine Nouvelle.

RAFLATAC (Pompey) : plan social en vue
L’usine Raflatac (groupe UPM289 salariés) est bénéficiaire (10 millions d’euros en 2007). Mais la direction a annoncé le 13/11 la fermeture d’une ligne de production entraînant la suppression d’une centaine d’emplois sur les 288 actuels.

Source : L’Usine Nouvelle.

La direction explique les surcapacités par la crise économique. Les syndicats pensent qu’i s’agit surtout d’un transfert d’activité vers l’usine polonaise du groupe.

Source : L’Usine Nouvelle.

MATHUSSIERE & FOREST (Saint-Girons) : 160 emplois sur la sellette
La liquidation de cette papeterie centenaire a été prononcée en septembre. Le groupe M&F, inventeur du papier recyclé, n’a pas résisté à la crise.

Source : La Dépêche.

MATHUSSIERE & FOREST (Turkheim) : 183 licenciés
Les 183 salariés du papetier Meylan 50 en liquidation judiciaire ont obtenu 4400 euros d’indemnisation. Le 30 septembre, les personnels avaient retenu le liquidateur judiciaire pour protester contre ses propositions.
Des pistes de reprises sont à l’étude.

PAPETERIE CASCADES (Blendecques) 100 emplois supprimés
Touchée de plein fouet par le ralentissement de l’économie et donc par la chute de la demande d’emballages en cartons, la papeterie-cartonnerie Cascades, à Blendecques, près de Saint-Omer, envisage l’arrêt d’une de ses deux machines à papier, va entraîner une centaine de licenciements (sur 280).

Source : La Voix du Nord

GASCOGNE SOPAL (Givet), 50 emplois supprimés
Gascogne Laminates Givet, qui emploie 50 salariés va fermer à la fin de l’année. Un comité central d’entreprise a enteriné la décision. L’usine fabrique du papier gommé.

Source : Mediapart

DMC (Saint-Amarin), 88 emplois supprimés
DMC Tissus, filiale du groupe DMC, en redressement judiciaire depuis mai, va être reprise par Bernard Krief Consulting. 88 emplois seront supprimés, sur un total de 209 à Saint-Amarin et Illzach (logistique/administratif)

Source : Le Républicain Lorrain

DIM (Autun) : 83 emplois délocalisés
Le fabricant arrête son activité lingerie qu’il va délocaliser en Roumanie. Les 83 salariés doivent être reclassés sur les autres sites du groupe.

CYMBELINE (Nemours) : 10 postes délocalisés.
Le numéro un mondial des robes de mariée va délocaliser un atelier de coupe en Asie qui emploie 10 couturières.

Source : Le Parisien

ASTER (St Germain du Salembre) : 11 licenciements
L’usine Aster (chaussures) qui employait encore 200 personnes en 2001 ferme, a décidé la direction le 18 novembre. Une partie de la production est relocalisée à Blanquefort (Grironde). Mais 11 des salariés seront licenciés.

Source : merci à N., abonné de Mediapart en Dordogne de nous avoir alerté sur cette usine)

WITTENDAL (Roncq) : 9 licenciements
Un plan social prévoit le licenciement de neuf salariés (sur 45 salariés). La société, qui fabrique des pièces de métier à tisser, a vu ses commandes chuter ses derniers mois.

Source : La Voix du Nord.

SPERIAN (Plancher-Bas) : reclassements
Sperian (gants de protection) a annoncé des départs volontaires.

DEOUVELAERE (Lépanges) : 58 salariés
Le tribunal de commerce a déclaré en septembre la liquidation judiciaire de ce tisseur qui emploie 58 salariés.

Source : L’Usine Nouvelle.

FILATURE COSSERAT (Amiens), 20 salariés sur le carreau
La fabrique de velours Cosserat, un des derniers emblèmes du passé textile d’Amiens, a fermé ses portes. Son propriétaire allemand a délocalisé outre-Rhin.

Source : Le courrier picard.

SOPHIE HALLETTE (Caudry) : 9 licenciements envisagés.
Neuf licenciements sont envisagés chez ce dentelier qui appartient au groupe Holesco.

Source : La Voix du Nord.

LA CAUDRESIENNE (Caudry) : 5 licenciements
Cinq licenciements ont été annoncés en octobre dans cette teinturerie du groupe Holesco.

Source : La Voix du Nord.

APEX (Darois) : 70 licenciements
Le constructeur aéronautique a cessé son activité le 30 septembre, après avoir été placé en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Dijon. Ses 70 salariés ont été licenciés. Apex, qui travaille en sous-traitance, a souffert de graves problèmes de trésorerie.

Source : Le Bien Public.

LATECOERE (Toulouse) : 1000 emplois supprimés
Le sous-traitant d’Airbus a annoncé 1000 suppressions d’emplois en France, sur un effectif de 2200.

Source : La Dépêche.

FAMAT (Saint-Nazaire) :
Plusieurs jours de chômage partiel fin octobre.

SUN CHEMICAL (Brie-Comte-Robert)
Le N°1 mondial d’encres et de pigments d’imprimerie fermera en janvier 2009 son usine francilienne. 46 emplois vont disparaître.

Source : L’Usine Nouvelle.

HENKEL (Cosne-Cours/Loire) : 166 emplois
Le lessivier Henkel va fermer l’usine, ainsi que d’autres sites en, Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni.... Elle l’a annoncé après un comité de groupe européen le 20 novembre.

Source : AFP

HENKEL (Châlons-en-Champagne) : 62 postes supprimés
Henkel ferme cette usine dans le cadre de son plan européen.

Source : AFP

HENKEL (Villefrance/Saône) : 12 emplois supprimés
Le lessivier Henkel supprime également 12 postes dans cette usine.

Source : AFP

SONY (Pontonx) : 317 emplois en suspens
L’usine de vidéocassettes de Pontonx va fermer. Reste à savoir la date et le nombre de salariés concernés par les licenciements (ils sont 317 actuellement)

Source : La Dépêche.

NIPSON (Belfort) : 90 postes en moins
Nipson (imprimantes) a été placée en redressement judiciaire. Plus de la moitié des 178 salariés vont être licenciées. Une grande partie de l’activité va être délocalisée en Allemagne ou en Grande-Bretagne.

Source : Les Echos.

LIMOGES PHOTOGRAVURE : 56 salariés licenciés
Limoges Photogravure, en difficulté depuis plusieurs mois a été placé en liquidation judiciaire.

Source : L’Usine Nouvelle.

Actualisation 4/11 : 5 des salariés ont finalement repris l’entreprise. 36 des 56 salariés ont été réembauchés.

Source : L’Usine Nouvelle

MOTOROLA (Rennes) : fermeture de l’usine ?
Motorola, qui va supprimer 3000 emplois dans le monde, pourrait fermer son site de Rennes, qui emploie 150 ingénieurs en 2009. Décision lors d’un CE en décembre.

Source : L’Usine Nouvelle

ZODIAC (Buhl) : 43 licenciements
Zodiac European Pools subit la chute de la demande, mais aussi la concurrence asiatique et la fin de la mode des piscines enterrées. Le groupe a pour actionnaire le fonds américain Carlyle, mis à mal par la crise. Le groupe a supprimé 105 postes en France dont 43 à Buhl. Le site de Rochefort (Charente-Maritime) est aussi concerné.

CAUVAL (ameublement) : 3200 salariés dans l’attente
Le groupe Cauval Industries est une des plus spectaculaires victimes de l’absence de crédits, et la preuve que même le numéro un français du meuble (Epeda, Simmons, Dunlopillo, Les cuisines Mondial Kit... 3200 salariés en tout) peut se retrouver en manque de trésorerie, malgré un carnet de commandes rempli.
Le groupe, qui compte 16 sites en France, a été mis sous procédure de sauvegarde.

Source : L’Expansion

TEXAS INSTRUMENTS (Vill.-Loubet) : de 300 à 350 emplois supprimés
Le groupe de Dallas (Etats-Unis) a décidé la suppression de 650 emplois dont la moitié en France à Villeneuve-Loubet.La direction prévoit la cession d’une partie de l’activité mobile à un repreneur qui récupérerait de 100 à 150 ingénieurs licenciés.

Source : L’Usine Nouvelle.

IMPRESS (Laon) : 173 licenciements
L’usine spécialisée dans les aérosols va fermer. Les difficultés étaient anciennes, mais la crise a précipité l’annonce du plan social. Les premières lettres de licenciement seront envoyées fin décembre. L’usine a été occupée à la fin du mois d’octobre.

Source : L’Ardennais.

DENTELLES NOYON (Calais) 140 emplois supprimés
Noyon, le plus gros dentellier de Calais (Pas de Calais) a été mis en liquidation judiciaire. Un plan social est en cours. 140 emplois (sur 438) sont menacés. Chez un autre dentellier de Caudry (Nord), cinq licenciements ont déjà annoncés.

Source : La Voix du Nord.

BIJOUX GL (Ardèche) : 135 emplois menacés.
Le groupe ardéchois Bijoux GL pourrait supprimer 100 postes dans ses usines de Saint-Martin-de-Valamas et du Cheylard Ardèche), qui emploient 720 personnes actuellement. Dans le cadre du même plan, 35 autres emplois devraient être supprimés dans l’usine de sa filiale SLAM qui emploie 75 salariés au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire).
Les syndicats estiment que la direction veut ainsi privilégier son usine en Thaïlande.

Source : L’Usine Nouvelle.

NICOSOFRA (Evry) : 114 licenciements secs
Les mauvaises performances du site de Burnhaupt, en Alsace ont précipité le groupe dans le rouge. La maison-mère, déjà fragilisée par la concurrence asiatique, a été mise en liquidation judiciaire début septembre. 38 emplois ont été supprimés à Burnhaupt, 114 le seront à Evry.

NICOSOFRA (Burnhaupt) : 38 salariés
Le mois d’août, avec une chute des ventes, a été fatal à ce fabricant de circuits imprimés. Les 38 salariés ont reçu leur lettre de licenciement le 20 septembre. Aucune indemnité ne leur sera accordée.

Source : DNA

GARDY (Barentin) : 109 emplois supprimés en juin 2009.
Filiale de Schneider Electric, Gardy (284 salariés, disjoncteurs et d’appareillages électriques) va se séparer de 109 collaborateurs à partir du mois de juin 2009. Motif de ces suppressions de postes : la délocalisation de certaines fabrications dans les pays de l’Est.

Source : L’Usine Nouvelle.

DESHOULIERES (Chauvigny) : 82 emplois supprimés
Sur le site de production de Chauvigny (Vienne), où est installé le siège, 82 emplois sont supprimés, contre 97 annoncés.

Source : L’Usine Nouvelle

DESHOULIERES (Lamotte-Beuvron), 72 emplois
L’usine du porcelainier va fermer. 72 salariés sont touchés. Certains ont 30 ans de maison

Au total, Deshoulières divise ses effectifs en France par deux.

Source : Les Echos.

AKZO (Montataire) : 65 emplois en moins, délocalisation
Akzo Nobel Nippon Paint, un groupe japonais(peintures pour métal), annonce le 25 novembre les détails d’un plan social qui prévoit 75 suppressions d’emplois et la délocalisation de la production vers l’Allemagne.

Source : Le Parisien.

FORGES DE SYAM : 37 emplois supprimés en 2009
Les forges de Syam fabriquaient des profilés pour l’aérospatiale, le T.G.V. les chantiers navals. Elles ont forgé les grilles du château de Versailles. Le propriétaire, le groupe Experton, a décidé de les fermer en 2009.

Source : come4news.com

TERGAL (Gauchy, Picardie)
35 des 168 salariés de cette usine de fils synthétiques vont être licenciés. L’usine est en redressement judiciaire. Le retournement de la conjoncture a provoqué une chute des commandes et les banques n’ont soudain plus prêté.

Source : Le Courrier Picard.

SCIERIE NICOLE (Saint-Saëns) 21 emplois supprimés
La liquidation judiciaire a été prononcée par le tribunal de commerce de Neufchâtel-en-Bray le 2 octobre. Une fermeture qui laisse sur le carreau vingt et un salariés.

Source : Paris-Normandie.

HMS (Noyelles-Godault) 18 emplois supprimés
Les 18 salariés d’Hydrau Méca Services (HMS), filiale du groupe Stips TI en proie à des difficultés de trésorerie et liquidée mi-octobre, se retrouvent au chômage.

Source : La Voix du Nord

HELVETICAST (Angers) 18 licenciements.
La fonderie d’aluminium compte 90 salariés. 18 seront licenciés.

SERERO (Plancher-Bas) : licenciements en vue
En redressement judicaire depuis un an, la fonderie d’alliage léger Serero qui ne compte plus depuis les licenciements de la fin d’année dernière, que 52 salariés se trouve confrontée à une forte baisse de commandes. Le mois de septembre a été catastrophique. Des licenciements vont être annoncés dans les semaines à venir.

GICEP (Courlaoux) : 70 licenciements
Mis en redressement judiciaire, le groupe va licencier plus de 65% de ses 83 salariés jurassiens.
Sur décision de justice, le groupe Gicep est démantelé. Le site de l’Hérault sera repris sans licenciement. Celui de Lunéville rayé de la carte.

Source : France 3

NORZINCO (Anzin) : 34 emplois en moins
Catastrophe à Anzin (Nord). Le fabricant d’oxyde de zinc Norzinco a annoncé la fermeture de son usine. Trente-quatre emplois seront supprimés et les colectivités locales vont devoir dépolluer le site.

Source : La Voix du Nord.

BASTOR (mécanique) : 9 licenciements
Les salariés de Bastor (affûtage et mécanique de précision) ont reçu mardi 28 octobre leurs lettres de licenciement. Leur employeur est en panne de trésorerie.

Source : L’Ardennais

CARROY (Vierzon) : 6 licenciements
Six salariés (sur 40) de ce petit industriel de la métallurgie ont été licenciés depuis septembre. ``

Source : La Nouvelle République

SBFM (Caudan) : menaces de plan social
La direction dément, mais les syndicats craignent un plan social dans cette fonderie. Le carnet de commandes se vide, les constructeurs automobiles n’assurent plus de commandes. Le personnel est en grève, la direction a été séquestrée.

Source : Le Télégramme.

SERF (Caudan) : redressement judiciaire
La Serf, Société d’études et de réalisations en fonderie, installée à Caudan (70 salariés), travaille beaucoup pour SBFM, en grande difficulté. Elle a été placée en redressement. l’activité est nulle depuis le 1er octobre. Selon nos informations, les salariés craignent une liquidation.

Source : Ouest-France, Mediapart

RENAULT Sandouville : 50% de la production, chômage technique généralisé
Une équipe sur deux ne travaille pas jusqu’à la fin de l’année. 1000 emplois vont être supprimés. La production de Laguna, Espace et Vel Satis est en chute libre.

RENAULT Cléon : RTT obligatoires
La centaine d’intérimaires ne seront pas reconduits à la fin de l’année. Les 4500 CDI se verront proposer 15, 25 ou 30 jours de RTT obligatoire d’ici la fin de l’année.

Source : L’Usine Nouvelle.

Selon la CFDT l’activité a décliné de 40% au dernier trimestre 2008.

RENAULT Flins : nouveaux arrêts de travail
Le constructeur automobile Renault a annoncé qu’il arrêterait la production entre le 20 novembre et le 3 décembre sur le site de Flins en raison de la dégradation du marché automobile.

Source : Dépêche.

RENAULT Le Mans : chômage partiel
Le site est au chômage partiel pour deux semaines depuis le 24 octobre.

RENAULT Douai : fermeture de l’usine pendant un mois
Le site qui produit la Scénic sera femé du 11 décembre au 6 janvier (pour l’équipe n°1, l’équipe n°2 chômera elle une semaine de plus). Au total, le site aura fermé 88 jours en 2008

Source : CFDT, Mediapart

RENAULT TRUCKS (Blainville, Bourg-en-Bresse, Lyon) : chômage technique en vue
La direction de ce fabricant de cabines de camion (filiale de Renault) a annoncé un plan de réduction de la production le 19 novembre : 90 jours de chômage partiel sur les sites de Lyon, Bourg-en-Bresse et de Blainville-sur-Orne. Cette décision va toucher environ 5 000 salariés des trois usines.

Source : AP, via NouvelObs

RENAULT SPORTS (Dieppe) : chômage technique et menaces sur le site
Mi-novembre, la direction a indiqué que la nouvelle Twingo RS sera finalement produite en Slovénie. La question de la survie de l’usine est posée, d’après la CGT.

Source : Mediapart, CGT, L’Usine Nouvelle.

RENAULT STA (Ruitz) : site fermé un mois
STA Ruitz (boites automatiques, filiale commune de Renault et de Peugeot) ne produira rien entre le 5 décembre et le 5 janvier. La date exacte d reprise en janvier n’est toujours pas connue.

Source, CFDT Renault, La Voix du Nord

RENAULT SOVAB : 17 jours de chômage technique d’ici la fin de l’année
Cette filiale de Renault qui produit des utilitaires va fermer 17 jours d’ici la fin de l’année.

Source : CFDT Renault

PSA Mulhouse
10 jours chômés entre octobre et décembre.

PSA Poissy : congés forcés
La direction de l’usine Peugeot de Poissy a annoncé le 1er novembre huit jours de chômage partiel entraînant, avec la cinquième semaine de congés payés, une fermeture du site pour le pont du 11 novembre, puis du 15 décembre au 6 janvier.

Depuis le 6 octobre, déjà, les chaînes tournaient au ralenti, et les contrats de 700 intérimaires n’avaient pas été reconduits.

Source : Le Parisien

PSA Sochaux :
13 jours chômés à l’usine Peugeot sur octobre et novembre

ARCELORMITTAL (Dunkerque)
Le haut-fourneau numéro 3 du site de Dunkerque (environ 5.000 salariés au total), sera arrêté d’ici la fin de l’année.

ARCELORMITTAL (Fos-sur-Mer)
A Fos-sur-Mer (près de 3.400 salariés), un des deux hauts-fourneaux sera stoppé du 16 novembre au 31 janvier. A fin décembre, la production du site sera divisée par deux.

Source : Le Point.

ARCELORMITTAL (Florange)
A Fos-sur-Mer (près de 3.400 salariés), un des deux hauts-fourneaux sera stoppé du 16 novembre au 31 janvier. A fin décembre, la production du site sera divisée par deux.

ARCELORMITTAL (Isbergues) : fermeture trois semaines en décembre
L’usine va fermer du 15 décembre au 5 janvier. Elle a déjà fermé plus d’une semaine depuis octobre.

Merci à Francis qui nous a signalé cette fermeture.

ARCELORMITTAL (Montataire) : fermeture forcée en décembre
L’usine (770 salariés) sera fermée entre fin décembre et le 5 janvier.

Source : FMC Radio

PTMC : 12 jours de chômage technique.
Peugeot Motocycles, filiale de PSA, a programmé 12 jours de chômage technique partiel dans son usine de Mandeure (Doubs), qui emploie 850 salariés, en raison d’une baisse des commandes de scooters, a-t-on appris mardi de source syndicale.
Les arrêts de travail d’ici à la fin de l’année concerneront le personnel de production, à l’exclusion des cadres et de la maintenance.

Source : Le Point

MICHELIN (Blanzy) : 6 à 9 j de chômage partiel
L’usine Michelin de Blanzy (Saône-et-Loire), qui emploie 1.600 salariés, va connaître fin décembre une période de chômage partiel de 6 à 9 jours.

Source : AFP

MICHELIN (Vannes) : chômage partiel
Les salariés vont chômer du 13 décembre au 2 janvier.

Source : Ouest-France

SEALYNX (Charleval) : chômage technique en novembre et en décembre
Crise de la filière automobile oblige, l’usine Sealynx Automotive, spécialisée dans la fabrication de joints pour l’automobile (vitres...), est fermée pour trois semaines en novembre et le sera deux semaines en décembre. Elle emploie 750 salariés.

Source : L’Usine Nouvelle.

SPBT (La Barre-Thomas) : 10 jours de chômage technique
La société des polymères de la Barre-Thomas, sous-traitant de l’automobile (1300 salariés), va arrêter ses lignes de porduction 10 jours d’ici la fin de l’année.

Source : L’Usine Nouvelle.

BOSCH (Venissieux) : 31 jours chômés
Bosch Diesel Systems (760 salariés, pompes à injection) vient d’annoncer 31 jours chômés d’ici à la fin de l’année.

Source : L’Usine Nouvelle.

TOYAL (Accous)
Chômage technique prévu jusqu’en janvier pour les 135 salariés de l’usine Toyal (poudres pour peintures automobiles).

Source : L’Usine Nouvelle

FREUDENBERG (Langres) : 2 semaines de congés forcés, 2 semaines chômées
Baisse d’activité des constructeurs oblige, ce sous-traitant automobile (440 salariés) va arrêter son activité 4 semaines en décembre et en janvier.

Source : L’Usine Nouvelle.

GM (Strasbourg) : 18 jours d’arrêts
L’usine de boîtes de vitesses General Motors de Strasbourg (Bas-Rhin), pour laquelle le groupe automobile américain a lancé fin août des études en vue d’une cession, doit être mise à l’arrêt pendant 18 jours d’ici janvier.

Source : L’Usine Nouvelle

LIEBHERR (Colmar) : 5 jours de chômage partiel en janvier
Le constructeur d’engins de terrassement (1600 salariés) sera au chômage technique 5 jours en janvier, à cause du ralentissement du BTP.

Source : L’Usine Nouvelle

SEVELNORD : baisse des cadences
Le constructeur de monospaces et d’utilitaires, filiale de PSA et de Fiat, cesse sa porduction 11 jours d’ici décembre.

FAURECIA (Meru) : chute d’activité, menaces sur l’emploi
Selon la CGT, 80 emplois sont menacés à Faurecia qui subit une baisse de production jusqu’à 50% (tableaux de bord, portières...). Les salariés ont dû prendre leurs RTT, poser leurs congés, piocher dans les compte épargne-temps. Les intérimaires n’ont pas été reconduits.

Source : Le Parisien Oise

MICHELIN (Roanne) : trois semaines de fermeture en décembre
Du 15 décembre au 2 janvier l’usine sera fermée. Auparavant, la direction n’avait prévu qu’une semaine de chômage forcé...

PNEUS BRIDGESTONE (Béthune) : 21 jours d’arrêt
Le fabricant de pneus Bridgestone programme 21 jours d’arrêt d’ici octobre.

PLASTIC OMNIUM (St Romain) : chômage technique
L’usine Plastic Ominum fabrique des pièces moulées en plastique notamment des pare-chocs compte pour principal client le site Renault de Sandouville où 1.150 emplois vont être supprimés.

Pour s’adapter, la direction de Plastic Omnium qui emploie 240 salariés à Saint-Romain a supprimé deux jours de travail par semaine jusqu’à la fin 2008.

Source : AFP

Actualisation 20/11 : selon nos informations, la direction devrait annoncer plusieurs dizaines de licenciements le 9 décembre. La rumeur d’une fermeture du site circule dans le groupe.

CONTINENTAL (Clairoix) :
Le 15 octobre, les salariés ont appris du fabricant de pneus (ils sont 1200) ont appris que la production sera réduite au cours des prochains mois. Une centaine d’intérimaires est déjà partie. Les rumeurs de restructuration, voire de fermleture, vont bon train.

Source : L’Usine Nouvelle.

TIMKEN (Maromme) : 14 jours de chômage partiel
Les salariés de Timken France, l’entreprise spécialisée dans le roulement pour l’industrie automobile, vont subir des jours de chômage partiel - 6 jours en novembre, 8 jours en décembre -. Les salariés perdent entre 11 et 13% de salaire.

Source : La Nouvelle République.

GEVELOT (Offranville) : chômage technique
Cette usine de 300 salariés pourrait être touchée par des jours de chômage partiel.

Source : CGT Seine-Maritime

VERNICOLOR (Arbent) : redressement judiciaire
Vernicolor (220 salariés), spécialiste de la décoration sur pièces plastiquesvient d’être placée en redressement judiciaire, à la demande de la direction. La PMI dispose de six mois pour rétablir la situation.

Vernicolor est victime de la baisse des commandes dans le secteur automobile.

Source : L’Usine Nouvelle

MEFRO (La Chapelle St-Luc) : 39 jours de chômage forcé
L’ancienne usine Michelin de La Chapelle-Saint-Luc (700 salariés) vient d’annoncer 39 jours de chômage partiel. L’usine chômera une semaine tous les mois sauf pour trois d’entre eux : avril, juillet et août. La mesure entrera en vigueur le 1er janvier et durera toute l’année 2009.

Source : Est-Eclair.

PRECIPLAST (Ste-Savine) : chômage partiel
Sous-traitant de rang 2 (fournisseur des sous-traitants des grandes marques automobiles), cette usine de 126 salariés a annoncé (pour l’instant) 1 jour de chômage partiel par semaine.

Source : Est-Eclair

OXFORD (Douai) : 45 journées chômées d’ici mars
La direction va demander de recourir au chômage partiel en décembre, janvier, février et mars, 45 jours chômés au total. 530 des 600 salariés de ce sous-traitant automobile sont concernés.

Source : La Voix du Nord

NTN (Le Mans) : 800 salariés au chômage technique
Le japonais NTN, fournisseur de Renault, va placer 800 salariés au chômage technique après s’être séparé de 250 intérimaires.

Source : Le Figaro.

TRELLEBORG (Carquefou)
L’équipementier automobile est engagé dans un plan de suppression de 400 emplois depuis avril. Du chômage partiel a été décrété.

TECUMSEH (Cessieu) :
Plus de 350 employés de l’entreprise Tecumseh devraient être touchés par des mesures de chômage partiel, principalement sur le site de Cessieu. Dix-huit jours ont déjà été programmés

Source : Le Dauphiné Libéré

CATERPILLAR (Echirolles) :
Comme le site de Grenoble, celui d’Echirolles sera fermé plusieurs jours par mois à partir de kanvier.

Source : Le Dauphiné

CATERPILLAR (Grenoble) : 12 à 15 jours de chômage par mois à la rentrée
Le site sera fermé entre 12 et 15 jours par mois à partir de la rentrée.

Source : Le Dauphiné.

ST-GOBAIN SEKURIT (Thourotte) : chômage forcé
Deux des fours de la filiale vitrage automobile de


cette GoogleMap a été réalisée par l’équipe de la rédaction du site d’information Mediapart www.mediapart.fr

Messages

  • Coordination des Intermittents et Précaires d’ile de france

    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4117

    Manifestation samedi 6 décembre - Avec ou sans emploi, de nouveaux droits ! Nous ne payerons pas votre crise !

    Il y a des milliards pour sauver les banques Et leur permettre, une fois renflouées, de continuer à boursicoter et entreprendre ! On replâtre un système qui mène droit à la catastrophe, sociale et écologique, sans le mettre en cause. Nous avons pourtant besoin de changer de système !

    Ce n’est pas à nous de payer pour LEUR crise !

    Suite à la spéculation effrénée, la crise économique et les restructurations vont entraîner des centaines de milliers de suppressions d’emplois. Qui paye ? Ce sont les classes laborieuses, salariés, précaires ou pas, chômeurs. Or, le régime d’assurance chômage indemnise déjà moins de la moitié des chômeurs inscrits ; les primo-demandeurs d’emploi, les précaires aux périodes d’emploi courtes, en sont exclus alors même que les CDD représentent les ? des embauches. Il ne s’agit pas pour nous de sauver les banques et le système financier responsables de la crise, l’urgence est sociale : il s’agit d’éviter que des millions de personnes soient contraintes de survivre dans la pauvreté !

    Pour une protection effective contre le chômage

    Pour cela, une seule solution, outre l’interdiction des licenciements dans les entreprises qui font des bénéfices : renforcer, étendre et généraliser la protection contre le chômage et la précarité, afin que personne ne soit laissé sans un revenu suffisant pour vivre.

    Salarié en poste, au chômage ou en formation, à un moment ou un autre, dans des conditions diverses, chacun est concerné par le chômage : un salarié sur deux passe par le chômage.

    Nous exigeons une véritable protection contre le chômage et la précarité, par l’instauration d’une garantie de revenu décent pour tous et toutes, avec ou sans emploi, et la continuité des droits sociaux, à la formation, à la retraite, au logement à la santé, aux papiers.

    Cette revendication est d’ores et déjà celle des organisations de chômeurs et de précaires AC !, APEIS, MNCP, d’ATTAC, de la Fondation Copernic, de Génération Précaire, de la Coordination des Intermittents et Précaires d’Ile de France, de la Confédération paysanne, du SNU-ANPE, de Stop Précarité et de l’Union syndicale Solidaires.

    Revenu garanti pour tous avec ou sans emploi !

    Nous exigeons de la prochaine convention UNEDIC, qui régira l’assurance chômage, qu’elle garantisse à tous un revenu correct et la continuité de leurs droits sociaux. Nous appelons tous les salariés en poste ou au chômage, tous les collectifs et toutes les organisations de salariés, de chômeurs, de précaires à participer à la mobilisation contre le chômage et la précarité et pour de nouveaux droits sociaux !

    TOUS A LA MANIFESTATION contre le chômage et la précarité, pour de nouveaux droits sociaux, du samedi 6 DECEMBRE !!!

    14h30, Place Stalingrad en direction de Place Clichy

    AC !, APEIS, ATTAC, CIP-IDF, CNDF, Fondation Copernic, Marches Européennes, No-Vox, Stop Précarité, Union syndicale Solidaires

    Pour soutenir la coordination des intermittents et précaires, envoyez vos chèques (à l’ordre de AIP) à la CIP-IdF, 14-16, quai de la Charente 75019 Paris.

    Sur demande une attestation peut vous être fournie.

    pour les articles inferieurs a 150 €, les photographies sont possibles contre 5 € en cheque,renvoyé ou remboursés en cas d’achat .

  • Ca m’étonne que vous n’ayez rien dans le triangle des bermudas (Clermont-Fd, Nimes, Perpignan)...

    Aventis Montpellier : je ne sais pas combien
    Rodez : un GIE d’informatique (avec Inforsud et le crédit agricole)....

  • on se demande bien s’il va rester de l’industrie en france !!!! Mais que notre président du pouvoir d’achats.

    Un salarié d’un équipementier auto.