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Israël : Accord Bibi-Lieberman sur la colonisation

Publie le jeudi 26 mars 2009 par Open-Publishing
3 commentaires

Dépêche agence française, source radio armée israélienne

Romandie News

Accord secret de Netanyahu sur la colonisation en Cisjordanie

JERUSALEM - Le Premier ministre israélien pressenti Benjamin Netanyahu a conclu un accord secret avec le parti d’extrême droite nationaliste Israël Beiteinou prévoyant l’extension d’une colonie dans un secteur ultra-sensible de Cisjordanie, a rapporté mercredi la radio de l’armée.

Selon la radio, il s’agit d’un accord verbal qui, pour ne pas irriter Washington, n’a pas été formellement inclu dans les accords de coalition gouvernementale paraphés par le Likoud (droite) de M. Netanyahu et le parti d’Avigdor Lieberman.

De même source, cet accord secret prévoit la construction de 3.000 unités, en majorité des logements, mais aussi bureaux et hôtels, dans une zone dite "secteur E1" (bien E1), qui relierait la colonie de Maalé Adoumim (33.000 habitants) à Jérusalem-est, annexé par Israël après sa conquête en juin 1967.

Les Palestiniens dénoncent vivement ce projet de construction dans le secteur E1 parce qu’il coupe pratiquement en deux la Cisjordanie, rendant problématique la constitution d’un Etat palestinien indépendant.

Aussi bien le Likoud que le parti Israël Beiteinou se sont refusés à tout commentaire. Mais le maire de Maalé Adoumim, Benny Kashriel, a indiqué à la radio avoir reçu l’assurance de la part de M. Lieberman "que son parti ferait le nécessaire pour que les logements soient construits".

Le Premier ministre de transition Ehud Olmert avait indiqué en 2005 qu’Israël s’était engagé auprès des Etats-Unis à geler ce vaste projet de construction.

Toutefois Israël a depuis lors établi dans ce secteur le nouveau QG de sa police en Cisjordanie et effectué des travaux d’infrastracture en vue des constructions de logements.

A l’exception du petit parti Meretz (opposition de gauche, 3 députés sur 120) et des partis représentatifs de la poulation arbes (11 députés), toutes les formations politiques en Israël entendent conserver sous contrôle israélien des blocs de colonies, dont Maalé Adoumim, dans le cadre d’un règlement permanent avec les Palestiniens.

Mais seuls les partis de droite envisagent de braver le veto américain en construisant dans le secteur E1, en violation des engagements pris par Israël d’un gel de la colonisation, conformément à la Feuille de route, le dernier plan de paix international.

Israël considère l’ensemble de Jérusalem comme sa capitale indivisible, et les Palestiniens veulent établir leur capitale dans la partie arabe occupée de la ville

Messages

  • le parti travailliste sera aussi dans le gouvernent

    Israël : les travaillistes approuvent l’entrée dans le cabinet Nétanyahou

    Ainsi, le parti travailliste démontre qu’il accepte les thèses de l’extrême droite

    Boycott, Désinvestissement, Sanctions !

    Patrice


    demandez le programme d’un Etat Criminel, Raciste, en route vers le Nazisme !!!

    le vice président du CRIF, Meyer Habib est conseiller de Benjamin Netanyahu

    Mais non, vous ne rêvez pas : c’est sur France3 !

    http://www.dailymotion.com/search/habib%252Bmeyer/video/x8cr84_clash-shlomo-sand-vs-me%20yer-habi%20b-cr_news

    http://www.likoud.fr/index.php?option=com_contenttask=viewid=51

    Hier c’étaient les villes du Nord d’Israël qui étaient la cible des fusées du Hezbollah démontrant l’incompétence d’un gouvernement inepte qui a réduit à néant notre force de dissuasion.

    Désormais c’est dans le Sud que notre pays est attaqué. Une pluie de centaines de Kassams s’abat sur Sderot et les environs de la bande de Gaza. Pourtant pour le trio Olmert-Livni-Peretz sans parler du fauteur d’Oslo, seule la région de Sderot est déclarée "zone de conflit", nous ne sommes pas en guerre puisqu’on peut sereinement se baigner à Ramat Aviv et Herzlia. Les criminels ne sont que les "extrémistes" du Hamas et du Djihad Islamique. La population arabe de Gaza vit aussi paisiblement que d’habitude. Elle est constituée de civils à qui nous devons continuer notre assistance en eau, électricité et en travail !

    Nos spécialistes militaires nous expliquent qu’une opération terrestre coûterait de nombreuses vies, qu’une opération aérienne ne suffirait pas à arrêter les tirs. Nous payons ainsi le prix du sang pour nos erreurs depuis Oslo, pour notre honteuse fuite du Liban et pour notre criminelle destruction du Gouch Katif.

    Le problème essentiel dans une guerre est de définir l’ennemi et de déclarer l’état de guerre. Ces roquettes sont tirées par l’ennemi "palestinien" (puisque c’est ainsi que nos gauchistes l’ont inventé et dénommé et qu’il se qualifie lui-même).

    Il n’y a pas de civils innocents dans la bande de Gaza mais seulement des terroristes qui ont voté Hamas. Ce vote signifie une volonté claire de détruire l’Etat d’Israël et de massacrer les Juifs. Le bulletin de vote Hamas est une agression délibérée contre Israël. Le vote Fatah ne vaut guère mieux à notre encontre (et les hordes du chef de l’Autorité palestinienne tournent les armes que nous leur avons fournies contre nous dès qu’ils en ont la possibilité) mais au moins celui du Hamas est une volonté affichée de ne pas jouer la mascarade hypocrite des négociations. Le message envoyé par les arabes de Gaza est donc évident : des Kassams sur Israël, une préparation de guérilla sur le modèle réussi du Hezbollah et la volonté de toucher demain Ashdod, Ashkelon…

    Il est vrai qu’à force de considérer comme une bagatelle routinière le miracle incessant de tirs qui tombent dans le Néguev "sans dommage", on ne pouvait que les inciter à ajuster leurs tirs. Car en fait, le premier obus arabe tombé dans le désert aurait dû nous faire réagir immédiatement. Il y a dommage, dommage à la Terre d’Israël et dommage à l’honneur de notre Etat. Il s’agit d’un mot qui n’existe pas au singulier dans les couloirs de ce gouvernement mais uniquement au pluriel. Et en ce qui concerne "les honneurs", la bande Olmert est spécialiste.

    Les arabes de Gaza ne comprennent pas la langue hébraïque qui s’orne des mots "retenue", "civils innocents", "tirs ciblés", "destruction d’infrastructures uniquement terroristes"…Tous ces termes en arabe se traduisent par faiblesse et soumission.

    Le moment est donc venu de leur parler en arabe. Il faut en informer le monde entier. Après tout, une vie juive vaut bien quelques complications diplomatiques.

    Parler arabe signifierait par exemple que si nous vivons sous le feu des fusées arabes, les arabes vivront sous le feu de nos fusées. Nos civils sont touchés et en conséquence, nous considérons qu’il n’y a plus de civils chez nos ennemis.

    De la même manière, pour chaque Kassam tiré contre notre territoire ou même tiré vers notre territoire, Tsahal envoie dix fusées sur Gaza et Djebalya. Le monde hurlera et les assassins du Hamas tireront de nouvelles salves de Kassam. Pour chaque Kassam, Israël ripostera en tirant vingt fusées sur Khan Younes, Gaza … Dans un bref laps de temps, les arabes auront compris ce langage et lapideront tout terroriste qui provoquera autant de dégâts chez eux. Apres avoir enterré leurs pertes, ils supplieront d’obtenir un cessez le feu et la leçon sera profitable pour l’avenir de nos relations. C’est ce qui s’appelle parler arabe…

    En fait, pour mettre un terme au conflit, il faudrait peut être imiter les Alliés durant le seconde guerre mondiale. Les allemands de Dresde étaient des civils. Les Japonais de Hiroshima et de Nagasaki étaient "innocents", bien plus que les arabes de Gaza. Les bombes alliées les ont réduit à néant à juste titre et mis ainsi fin au conflit.

    Et si nous leur parlions en arabe !


    http://www.likoud.fr/index.php?option=com_contenttask=viewid=58

    |Gaza doit pleurer |

    |Ma confiance dans les actions de Tsahal et la détermination de nos combattants n’est pas exempte de méfiance envers ce gouvernement et les raisons profondes de notre intervention. Ceux qui ont accepté le transfert forcé des Juifs du Gouch Katif, la destruction des implantations sionistes sur la Terre d’Israël sans mentionner la deuxième guerre du Liban, ne me paraissent pas les mieux placés pour sauvegarder notre avenir. L’opération actuelle de Tsahal aurait du être réalisée dès le tir du premier Kassam. Autoriser dans l’impavide attente qu’un deuxième missile soit tiré contre Sderot a ouvert la voie au lancement de 8000 missiles sur toutes les villes avoisinant Gaza. Le soutien à l’opération "Plomb durci" qui est sans réserve ne doit pas empêcher de considérer que les préoccupations électorales des trois personnages déjà cités ont peut être pesé autant que le souci longtemps oublié de défendre la population d’Israël, de restaurer notre force de dissuasion et rétablir notre honneur national. La certitude que notre opération militaire sera couronnée de succès est tempérée par la crainte que les decisions politiques risquent une fois de plus de priver Israël d’atteindre les buts recherchés.

    Mon inquiétude provient du fait que certains dans l’actuelle équipe dirigeante étaient prêts à un nouveau cessez-le-feu avec les terroristes arabes et c’est finalement l’ennemi qui nous a poussé à la seule option restante qui aurait du être la première réalisable. Si le but de la guerre en cours est d’obtenir un cessez-le-feu, ce ne saurait être qu’une trêve plus ou moins longue. La tumeur à sa naissance peut être traitée par une intervention circonscrite mais laisser la tumeur se développer et devenir un cancer généralisé nécessite une opération définitive.

    Le but d’une guerre ne peut en aucun cas être un cessez-le-feu. Il peut être la reconquête d’un territoire et il doit être la victoire sur l’ennemi, sa reddition et la destruction de toute possibilité adverse de nuire. L’ennemi doit subir une défaite telle que même l’imaginaire arabe ne puisse en faire une victoire. Si après la trêve, une seule roquette Kassam est encore tirée depuis Gaza, les terroristes verront la situation comme une victoire. Certes, on nous présentera un éventuel cessez-le-feu comme garantissant la sécurité des habitants du sud d’Israël et on nous affirmera encore une fois qu’au moindre missile, nos forces interviendront !

    Pour que notre victoire soit réelle et efficace, un sentiment de défaite et de désespoir doit submerger Gaza et tous ses habitants. Ils doivent ressentir la perte non seulement de leurs "martyrs" qui partent retrouver les vierges au paradis, mais la douleur de la vie quotidienne comme résultat de leur soutien au Hamas et de leur haine viscérale d’Israël.

    La guerre contre des barbares assoiffés de sang ne peut être soumise à des lois civilisées. Nous menons un match de boxe anglaise où nous respectons des règles strictes avec une main liée derrière le dos par le regard attentif d’un arbitre partial face à des équipes qui utilisent pieds, poings et armes. Ils tirent sur nos villes et nous ouvrons des passages "humanitaires" pour leur fournir de quoi s’alimenter et se soigner. Ils utilisent les ambulances, les écoles et les mosquées comme lieux de guerre et nous veillons à organiser des frappes "chirurgicales" précises.

    Nous devons stopper tout convoi "humanitaire" et n’autoriser exceptionnellement leur passage qu’en échange de Guilad Shalit vivant et en bonne santé. Que la population de Gaza meure de faim et sache que c’est par la faute du Hamas si ce dernier ne veut pas libérer notre prisonnier.

    Il est certain qu’une victoire ne s’obtient que par l’entrée de forces terrestres sur l’espace tenu par l’ennemi. Il est pourtant regrettable de voir nos soldats risquer leurs vies pour conquérir des bâtiments et les fouiller. Que l’aviation et les bulldozers rasent des agglomérations serait préférable et que nos journalistes cessent de parler de victimes innocentes gazaouies. Ils ont voté Hamas, défendu le Hamas, participé aux manifestations de haine, ont lancé des cris de joie pour chaque attentat criminel réussi. Ils ne sont pas plus civils et certainement pas plus innocents que les habitants d’Hiroshima ou de Dresde.

    Nous devons également clairement déclarer que ceux qui font moult moulinets et s’agitent au Proche Orient pour établir un cessez-le-feu font un acte parfaitement inamical. Certains personnages politiques ne le comprennent pas encore en Europe. S’il faut attendre qu’un Kassam ou une Katioucha soit tiré de Barbes ou de Seine Saint Denis sur l’Opéra ou le Trocadéro à Paris pour qu’ils comprennent, prenons patience. Il n’y a pas longtemps à attendre !

    Si le Hamastan persiste après la guerre, ce sera un exemple suivi par les terroristes arabes dits "modérés" de Judée Samarie. Ce sera surtout un encouragement à la cinquième colonne arabe en Israël qui possède la nationalité israélienne. Il est impensable de continuer à permettre à des étudiants arabes parvenus dans nos universités à Jérusalem et Haiffa grâce à la discrimination positive, de manifester en faveur du Hamas. La preuve est faite que ces ennemis de l’intérieur qui prennent la place des enfants d’Israël, qui bénéficient de tout ce que notre société démocratique et parfois masochiste leur accorde, ne deviennent pas des adeptes de la coexistence comme le pensaient nos doux rêveurs. Ils deviennent nos pires adversaires car, nous connaissant parfaitement, ils exploitent notre amour de la liberté contre nous. Ces étudiants et ces manifestants arabes contre notre armée doivent être traités sans ménagement et expulsés du pays.

    Toute autre attitude que celle d’une absolue fermeté sur tous les fronts est interprétée par les arabes comme des signes de faiblesse et attise leur espoir de pouvoir nous détruire. Si nous sommes partis du Gouch Katif et avons détruit toute présence juive sioniste, si nous avons crée une zone d’Israël "judenrein", pourquoi ne quitterions nous pas Sderot, Ashkelon ou Ashdod ? Notre prochain gouvernement devra proclamer que le temps des concessions est définitivement révolu et alors, peut être aurons nous la possibilité d’un avenir de sécurité.

    Israël et le peuple Juif se retrouvent une fois de plus aux avant-postes de la guerre contre la barbarie et le terrorisme. Israël et le peuple juif doivent vaincre.

    C’est pourquoi Gaza doit pleurer. Pas faire semblant pour les télévisions étrangères mais réellement. Gaza doit pleurer des larmes de sang.

    Jacques Kupfer |

    • L’horreur tous ces propos !

      Les Français juifs seront heureux d’apprendre de la bouche de Meyer Habib (tout de même vice président du CRIF et conseiller de Netaniaou), qu’ils sont tous sionistes (dans la vidéo, FR3, à 11.20).

      Habib revendique un état israélien juif en excluant les israéliens arabes qui seraient des terroristes infiltrés, comme si la France se déclarait état catholique excluant toutes les autres composantes juives, musulmanes, protestantes, bouddhistes, hindou, etc... Quelle folie !

      J’en conclue que c’est dans l’intérêt des sionistes de faire monter l’antisémitisme pour attirer les Français juifs en vue de les installer comme colons dans les terres de l’Etat palestinien ! Il faut avoir un minimum d’intelligence pour ne pas tomber dans ce piège grossier ! Habib est donc un rabatteur au profit de l’extrême-droite israélienne ! Sale boulot méprisable !